My Music, My PLAYLIST : https://www.youtube.com/watch?v=HQiYe_w78uA&list=PLRpA8pFcR6-gc-
le Seigneur des anneaux , cette oeuvre véhicule bon nombre
de valeurs et clichés dans le film on a
pu remarquer une esthétique très ethniquement homogène et empreinte de bon
nombre de « source » de notre imaginaire commun!
En dépit de la dérision générale de
l’establishment littéraire, qui ne put jamais comprendre son esprit
naturellement noble, le Seigneur des Anneaux de Tolkien a été récemment élu
comme la plus grande œuvre de fiction du vingtième siècle par des milliers de
clients de Waterstone [chaîne de librairies en Angleterre]. La récompense est
largement méritée, car le chef-d’œuvre de Tolkien est un classique du roman
héroïque. En tirant son inspiration de la mythologie européenne traditionnelle
et de son amour pour la campagne anglaise, Tolkien a créé un monde imaginaire
et une mythologie inventée qui se sont révélés éternels par leur attrait.
Publiée pour la première fois en 1956, la saga du Seigneur des Anneaux est
composée de trois livres, La Communauté de l’Anneau, Les deux Tours, et Le
retour du Roi. Bien que le regretté Walt Disney ait projeté de produire un
grand dessin animé pour toute la trilogie, qui aurait probablement rendu justice
à ce travail colossal, les droits du film furent malheureusement acquis par un
producteur «hongrois» au nom à rallonge. Il découpa l’histoire en morceaux et
perdit totalement le fil, représentant même les tribus elfiques blanches de
Tolkien sous la forme de Mexicains avec des traits orientaux. Il semble qu’un
film valable sur cette grande œuvre devra donc attendre que la victoire
politique du nationalisme britannique amène une nouvelle vague d’énergie
artistique, culturellement saine. En attendant, heureusement, nous avons
toujours les livres.
Mythe national
John Ronald Reul Tolkien, ancien soldat,
spécialiste de philologie et professeur d’anglo-saxon à l’âge de 33 ans,
affirma qu’il avait écrit ses nouvelles pour réaliser un désir profond de
«créer un mythe pour l’Angleterre». A cette fin il construisit un monde
hautement complexe et compliqué de son invention, quelque peu inspiré de la
mythologie nordique et de l’opéra de Wagner, L’Anneau des Nibelungen. Le monde
fantastique, la Terre du Milieu, était habité par diverses races d’hommes,
d’elfes, de nains, d’orques, de gobelins, de trolls et de hobbits. L’auteur
inventa des alphabets et des langues complets, tels que la «langue elfique»,
créa des calendriers et dessina des cartes détaillées des divers royaumes et
pays de la Terre du Milieu.
Bien que Tolkien n’aimait pas les
allégories, sa Terre du Milieu est en de nombreux points semblable à la nôtre,
et les réalités ethniques jouent un rôle important dans la vie de ses
habitants. Par exemple, les Numénoréens étaient une race d’hommes
aristocratiques, «… clairs de teint et de grande taille, et la durée de leur
vie était triple de celle des autres hommes de la Terre du Milieu. C’étaient
les Numénoréens, les Rois des Hommes, que les Elfes appelaient les Dunedains».
Mais trois grands maux menaçaient les
Numénoréens: la peste et le mélange racial:
«Après le retour d’Eldacar, le sang de la
famille royale et des autres familles des Dunedains devint plus mélangé avec
celui des autres hommes. Car beaucoup des grands avaient été tués dans la
Guerre Fratricide. Ce mélange ne hâta pas tout de suite le déclin des
Dunedains, comme on l’avait craint, mais le déclin continua, petit-à-petit,
comme avant …»
«Car les grands hommes de Gondor
regardaient déjà avec méfiance les hommes autour d’eux, et c’était une chose
jamais entendue auparavant que l’héritier de la couronne, ou tout autre fils du
Roi, épouserait une fille de race inférieure et étrangère …»
«Maintenant les descendants des rois
étaient devenus peu nombreux. Leur nombre avait été grandement diminué par la
Guerre Fratricide … pendant que d’autres avaient renoncé à leur lignage et
avaient pris des femmes de sang numénoréen. Donc il advint qu’on ne put trouver
aucun prétendant à la couronne qui soit de sang pur … et tous se rappelaient
avec crainte de la Guerre Fratricide, sachant que si de telles dissensions
survenaient à nouveau, alors Gondor périrait.» Tout comme les peuples blancs de
notre propre monde, peuples avancés, hautement doués et intelligents, les
Dunedains étaient de grands pionniers, administrateurs, dirigeants et
bâtisseurs d’empires, bien que ne formant qu’une petite partie de la population
totale de la Terre du Milieu:
«Pour tout dire, les Dunedains étaient
depuis le début beaucoup moins nombreux que les petits hommes parmi lesquels
ils vivaient, et sur lesquels ils régnaient, étant des Seigneurs à la longue
vie et à la grande puissance et à la grande sagesse.»
Cependant les qualités et les attributs
particuliers des Dunedains furent graduellement perdus au long des années de
dégénérescence, dilués et perdus du fait du mélange avec d’autres types, et
ainsi leur noblesse et leur longévité, qui leur furent accordées part leur Créateur,
«le Père de tout l’Univers», furent ramenées au niveau de celle de leurs
inférieurs.
Le « Mal »
Le «mal du mélange», comme l’appelle
Tolkien, est un thème majeur dans ses écrits, et c’est naturellement d’un haut
intérêt pour ceux qui souhaitent voir préservés les différents groupes raciaux
de l’humanité, plutôt que les voir détruits pour toujours par le mélange du
sang.
Lorsqu’il écrivit son épopée, Tolkien
envoya chaque chapitre terminé à son fils, Christopher, qui servait dans la
Royal Air Force en Afrique du Sud entre 1944 et 1950. Par coïncidence, c’était
précisément l’époque où ce Dominion auto-administré de l’Empire Britannique
instituait une politique de développement séparé pour les différents groupes
raciaux.
En totale opposition avec les Numénoréens,
les Normands, les Elfes, les Hobbits et les Nains, il y avait les Orques, une
race ignorante de Gobelins géants à la peau verte qui, d’après Tolkien,
parlaient le «snaga».
«Orque est la forme du nom que donnaient
les autres races à ce peuple immonde, dans la langue de Rohan. Les Orques
furent d’abord élevés par le Pouvoir Ténébreux au nord, pendant les Anciens
Jours. On dit qu’ils n’avaient pas de langue à eux, mais qu’ils prenaient ce
qu’ils pouvaient dans les autres langues, et le déformaient selon leur goût,
bien qu’ils n’en faisaient qu’un jargon brutal, à peine suffisant même pour
leur propre usage, sauf pour les malédictions et les injures. Et ces créatures,
étant remplies de méchanceté, haïssant même leur propre espèce, développèrent
rapidement autant de dialectes barbares qu’il y avait de groupes ou de colonies
de leur race, et ainsi leur parler orquien était de peu d’utilité pour eux
entre tribus différentes.»
Les Orques étaient généralement des
brutes lentes et maladroites, des sauvages créés par les sorciers Margoth et
par le Seigneur Ténébreux, Sauron, pour servir de chair à canon. Ils étaient
nécessaires pour l’aider à rassembler les Anneaux du Pouvoir, les moyens qui
lui permettraient d’instaurer un empire mondial du Mal, et l’asservissement de
tous les peuples de la Terre du Milieu.
Usure et manipulation
Le dernier livre de Tolkien, le
Sigmarillion, publié dans les années 70, poussa ce thème encore plus loin. Universellement
décrié par le monde littéraire, il parle d’une race mauvaise, intrigante,
souterraine, qui reste dans l’ombre, pratique l’usure, se complaît dans la
nécromancie et accumule l’or les bijoux, manipulant les événements en restant
derrière la scène.
Bien que la civilisation, la liberté, la
vie, l’honneur et la beauté semblent condamnées par les forces du mal envoyées
contre le «Blanc Conseil» d’Aragorn et contre Gondor dans le Seigneur des
Anneaux, finalement les armées des hommes, des nains et des elfes retournent la
situation par une fameuse victoire à la Bataille des Champs de Pelennor:
«A l’Est chevauchaient les chevaliers de
Dol Amroth, repoussant l’ennemi devant eux: les hommes-trolls et les Variags,
et les Orques qui haïssent la lumière du soleil. Au Sud avançait Eomer … et ils
furent pris entre le marteau et l’enclume. Car maintenant les hommes sautaient
des bateaux sur les quais de Harlond et se jetaient au nord comme une tempête …
Mais en avant de tous, il y avait Aragorn avec la Flamme de l’Ouest, Anduril,
comme un nouveau feu qui s’allumait …»
«Ils eurent encore de durs combats et un
long travail, car les Southrons étaient des hommes audacieux et brutaux, et
féroces dans le désespoir, et les Easterlings étaient forts et durs à la
guerre, et ne demandaient pas quartier. Et donc à cet endroit, en brûlant les
maisons ou les granges, sur les collines et les tertres, sous les murs ou dans
les champs, toujours ils se rassemblaient et se rallaient et combattaient
jusqu’à la tombée du jour.»
«Alors le Soleil disparut finalement
derrière Mindolluin et emplit tout le ciel d’un grand rougeoiement, et les
collines et les montagnes furent teintées comme par du sang; des feux se
reflétaient dans la rivière, et l’herbe du Pelennor était rouge dans le crépuscule.
Et à cette heure la grande Bataille du Champ de Gondor se termina, et pas un
ennemi ne fut laissé vivant autour du Rammas. Tous furent massacrés, sauf ceux
qui s’enfuirent à en mourir, ou qui se noyèrent dans l’écume rouge de la
rivière.»
Ce fut la première victoire pour les
armées du Blanc Conseil, dans une très longue guerre. Les hommes de la Terre du
Milieu veulent seulement vivre en paix et dans l’abondance parmi leurs femmes,
leurs familles et leurs proches, mais ils comprennent pleinement que c’est leur
devoir sacré de prendre les armes contre un ennemi qui cherche à les asservir.
Leur guerre est héroïque et juste: les humains à la peau claire, leurs alliés
elfes ou nains ne sont jamais cruels et ne maltraitent jamais leurs
prisonniers, contrairement aux Orques, qui ne pensent qu’à décapiter leur
prisonniers pour le plaisir.
Le destin d’un guerrier est entre ses
propres mains. Brandissant son épée et son bouclier, il a au moins une chance
de vivre, ou de mourir, par son propre courage au combat.
D’après les carnets personnels de Tolkien, il est
clair qu’il
détestait profondément la guerre moderne, en particulier le
bombardement aérien massif de civils en Angleterre et en Allemagne pendant la
Seconde Guerre Mondiale. Il considérait que le largage de bombes sur des bébés,
des femmes et des vieillards sans défense, depuis une hauteur de plusieurs
milliers de mètres, par ceux qui ne pouvaient pas voir la dévastation qu’ils
causaient, était répugnant et non civilisé, indigne de la civilisation européenne.
Patriote britannique
Tolkien n’était pas pacifiste, mais il
pensait que les soldats britanniques devaient être appelés à combattre
seulement pour la Grande-Bretagne et son Empire, pas dans des querelles
étrangères qui n’étaient pas notre affaire. L’hypocrisie de la déclaration de
guerre à l’Allemagne nazie, mais pas à la Russie bolchevique, qui avait aussi
envahi la Pologne en 1939, n’échappa pas à Tolkien. De même qu’un autre génie
littéraire des années 30, l’auteur de Tarka la Loutre, Henry Williamson, il
pensait en 1939 qu’une autre guerre fratricide entre nations européennes serait
un «désastre total». Plus tard dans sa vie, il décrivit le sanglant conflit qui
s’ensuivit comme «cinq années d’obscurité».
Dans l’avant-propos du Seigneur des Anneaux, Tolkien écrivit:
«Il faut en effet se trouver
personnellement sous l’ombre de la guerre pour sentir pleinement son
oppression; mais avec les années qui passent, on semble maintenant oublier
qu’être fauché en pleine jeunesse en 1914 était une expérience non moins
hideuse que de l’être en 1939 ou dans les années suivantes. En 1918, tous mes
amis proches, sauf un, étaient morts … Le pays dans lequel j’avais passé mon
enfance fut mesquinement détruit avant que j’ai dix ans, à l’époque où les
véhicules à moteur étaient des objets rares.»
Parallèlement à son antipathie pour la
guerre moderne, impersonnelle, Tolkien commença de plus en plus à rejeter et à
s’opposer activement à l’empiètement de la mécanisation, de l’automation, et à
l’urbanisation de la vie campagnarde traditionnelle. Il fut l’un des premiers
défenseurs de la Nature!
«Les Hobbits sont un peuple discret mais
très ancien, plus nombreux autrefois qu’ils ne le sont aujourd’hui; car ils
aiment la paix et le calme et la terre bien cultivée: une campagne bien ordonnée
et bien exploitée était leur lieu favori. Ils ne comprennent pas et n’aiment
pas les machines plus compliquées qu’un soufflet de forge, un moulin à eau, ou
un rouet, bien qu’ils soient habiles avec les outils.»
La vision de Tolkien était celle d’une
Angleterre de fermes familiales, de villages et de petites villes, avec des
cités d’architecture traditionnelle, où les scientifiques développeraient le
pouvoir de la technologie, produisant de nouvelles sources d’énergie qui ne
pollueraient pas l’environnement. Indubitablement, il aurait été horrifié par
l’étendue du sur-développement urbain dans les sites naturels aujourd’hui.
Noblesse et liberté
Il y a beaucoup de choses dans les écrits
de Tolkien avec lesquelles ceux qui aiment leur pays, peuvent s’identifier: la noblesse
des anciens peuples, confiants en eux-mêmes; le bon voisinage, la camaraderie
et l’esprit communautaire du Shire [le comté], avec son air pur et ses paysages
verdoyants; la vie héroïque ou le combat à mort pour une grande cause, entre
les forces de lumière, de liberté et de survie raciale, et celles de la
conspiration de la corruption et de la tyrannie.
Tolkien trouva indubitablement une source
d’inspiration dans l’imagination et dans les cœurs de nombre de ses
compatriotes britanniques, et aussi parmi les peuples apparentés dans le monde.
Le Seigneur des Anneaux en particulier continue à toucher un nerf profond dans
notre psyché raciale, qui effraie manifestement les champions pervers du
génocide par l’intégration. Toute littérature populaire qui a pour thème
l’identité ethnique, et la nécessité du combat pour la protéger, doit
inévitablement attirer l’hostilité du monde des arts et des critiques
littéraires cosmopolites, tout comme elle doit mériter notre attention.
Les histoires de Tolkien, saines, morales et idéalistes, remplies de
bravoure et de vérité, sont donc de bons cadeaux de Noël et d’anniversaire pour
les enfants des familles nationalistes. Le Hobbit est idéal pour les jeunes
enfants, pendant que le Seigneur des Anneaux réjouira les adolescents tout
comme les adultes. Ici il n’y a pas de perversion, pas de dégénérescence, et
pas de Politiquement Correct. Jetez-y un coup d’œil!
« Un des gardiens de l’Anneau rejoint le combat identitaire”
L’acteur gallois John Rhys-Davies qui
dans la trilogie du Seigneur des Anneaux tient le rôle du nain Gimli vient de
déclarer dans la revue World Magazine : « L’accroissement des populations noires
africaines en Europe est une catastrophe démographique qui menace la
civilisation occidentale (…). Personne ne veut en parler, personne n’ose en
parler parce que nous sommes très attentifs à ne pas offenser les gens racialement.
(…). En 2050, 50% des enfants de la France, benelux, royaume unis, Espagne, Italie et le maghreb seront d’ascendance noire africaine.
Je pense que Tolkien annonce que des générations feront face à un défi. Et que
si elles ne se réveillent pas pour faire face à ce défi, elles perdront leur
civilisation. Et je suis concerné par ça. (…) Je suis à fond pour la culture
traditionnelle de l’homme blanc.»
Sommé de se repentir par les médias
britanniques, John Rhys-Davies a répété : « Oui, je suis à fond pour la
culture traditionnelle de l’homme blanc. C’est une sacrément belle, sacrément
merveilleuse, sacrément formidable civilisation. Ça n’exclut pas les autres
cultures, mais ça ne diminue certainement pas la mienne. »
Et d’ajouter, lucide : « J’enterre
si substantiellement ma carrière dans ces interviews que c’en est douloureux.
Mais je pense qu’il y a des questions qui commandent des réponses
honnêtes ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.