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COMMENT UN MEILLEUR MOYEN ORIENT RESSEMBLERAIT POUR L’EMPIRE AMERICANO-ANGLAIS ET FRANCO-SIONISTE


Comment un meilleur Moyen-Orient ressemblerait pour l’empire Américano-Anglais et Franco-Sioniste


La France est devenue un pays sioniste, Contrairement à l’occupant allemand pendant la Seconde Guerre Mondiale, le CRIF, la LICRA , l’UEJF  ou le Betar, n’ont ni armée, ni camps de concentration. Mais petit miracle de dame nature, ils occupent et contrôlent tout le pays. Tout le monde est content et personne ne voit rien.
Depuis l’accession de Sarkozy au pouvoir, il y a eu une accélération de la prise en main sioniste. Les néoconservateurs avec leur puissance financière et leurs très nombreux réseaux ont tout nettoyé. Leur puissant pouvoir s’est affirmé grâce à l’infinie lâcheté et au manque de crédibilité, des journalistes, des intellectuels de droite ou de gauche et des politiques. D’ailleurs, le terme néoconservateur contrairement aux USA, n’est jamais employé  par les médias, mais c’est ce courant ou réseau politico-médiatique, qui dirige le pays et qui ne dit pas son nom.
Il a persiflé que la France est un hôtel dans une émission avec Elkabbach en avril 2011.  Le 6.03.2010, il a déclaré : Je rêve d’une Jérusalem capitale de la planète, unifiée autour d’un gouvernement mondial et le 29.01.2016, c’était la félicité avec : L’attente juive, c’est que nous sommes là pour réparer le monde. Peut-être qu’un jour,  quelqu’un, décidera que nous avons assez sauvé le monde pour venir nous aider à finir le travail. C’est sans équivoque et on y est en plein dedans.
les présidents passent et les « conseillers » sont toujours là pour conseiller. C’est toujours les mêmes. Ils sont élus par qui pour conseiller les présidents ? On n’en sait rien. Jaques Attali, en est l’exemple le plus frappant. Il a commencé  « à tamponner » ou plutôt «à conseiller » François Mitterrand à l’âge de 30 ans, à priori pour son immense expérience… Il est là depuis 1973 dans les plus hautes sphères de l’état. Pourquoi ? Là aussi, on n’en sait rien.
La France en jeune fille bien élevée, fait gratuitement le co-gendarme dans le monde pour le compte de l’empire Américano-Anglo-Sioniste. Au frais du peuple Français, en fournissant hommes, armes et munitions.
Sarkozy qui a été condamné pour une vulgaire histoire de fausses factures, mais pas pour les morts libyens, parce qu’ils ne comptent pas, a déclaré : Israël est un miracle. J’ai supporté Israël depuis très longtemps. C’est le combat de ma vie. Son boycott est inadmissible. Il prône sa défense quasi-inconditionnelle et pour lui toute critique envers cet état voyou serait un signe d’antisémitisme
Pour François Hollande, l’ex-de Valérie, c’est plus direct et plus rapide, lors d’une visite à Tel-Aviv, en novembre 2012, il a  brillé en déclarant lors d’un diner assis en face de Netanyahouda, qu’il était prêt à entonner un chant d’amour pour Israël et ses dirigeants. Un an plus tard, il a ronronné en novembre 2013 « Etre l’ami d’Israël pour toujours ». Si cela n’est pas diabolique, alors rien ne l’est.
Manuel Valls, l’israëlomane, lui non plus ne fait pas dans la dentelle. A radio Judaica à Strasbourg, le 17 juin 2011. Il a professé : je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël, le 25.01.2016 que la France et Israël sont deux nations sœurs. Que le lien avec Israël est unique et particulier et le 7 mars 2016 lors du diner du CRIF que l’antisionisme est synonyme d’antisémitisme.
C’est désormais officiel la France est un vassal d’Israël. L’année 2004,  a été un véritable tournant, en politique et en télévision. Le basculement officiel de la France dans le sionisme a été fait par Nicolas Sarkozy et la consécration absolue du sionisme par François Hollande. Depuis 2007, les différents  gouvernements français sont totalement asservis aux politiques guerrières Israélo-Américaines.
La synagogue de Paris est une des bases de recrutement de l’armée israélienne. La France est une réserve de l’armée sioniste. Ils sont entre 7000 et 8000 Français a y avoir fait leur service militaire. Ce qui met à la lumière du jour l’implication de certains Français avec Tsahal. L’ambassadeur de France en Israël a reçu un groupe de ces prescrits et les a félicités pour leur « engagement courageux ». Pour ce « diplomate »  très ambitieux, les Palestiniens ne sont surement pas humains.
La police nationale française a toujours prêté aux miliciens de « la ligue de la défense juive » ses bâtiments officiels pour leurs séances d’entrainement au Krav-maga, l’art martial de l’armée israélienne, qu’ilssuivent sous la direction technique de conseillers techniques venus d’Israël.
Quant au Conseil Français du culte Musulman, présidé par Anouar Kbibech, salarié par le milliardaire et patron de presse Franco-Israélien Patrick Drahi, tout récemment, il a annoncé que la formation des futurs imams serait dorénavant co-supervisée par des conseillers juifs. 


Comment un meilleur Moyen-Orient ressemblerait pour l’empire Américano-Anglais et Franco-Sioniste
Les frontières internationales ne sont jamais complètement juste. Mais le degré d'injustice qu'ils infligent à ceux que les frontières forcent ensemble ou séparés fait une énorme différence - souvent la différence entre la liberté et l'oppression, de la tolérance et de l'atrocité, la primauté du droit et le terrorisme, ou même la paix et la guerre.
Les frontières les plus arbitraires et déformées dans le monde sont en Afrique et au Moyen-Orient. Attirés par leur propre intérêt Européens (qui ont eu du mal à définir suffisamment leurs propres frontières), les frontières de l'Afrique continuent de provoquer la mort de millions d'habitants de la région. Mais les frontières injustes au Moyen-Orient - à emprunter de Churchill - génèrent plus de problèmes que peut être consommé localement.
Alors que le Moyen-Orient a beaucoup plus de problèmes que les frontières dysfonctionnelles seul - de la stagnation culturelle par le biais de l'inégalité scandaleuse à l'extrémisme religieux mortelle - le plus grand tabou dans l'effort de comprendre l'échec complet de la région ne sont pas l'islam, mais les frontières internationales terribles mais-sacro-sainte adorés par nos propres diplomates.
Bien sûr, aucun ajustement des frontières, cependant draconienne, pourrait faire toutes les minorités au Moyen-Orient heureux. Dans certains cas, les groupes ethniques et religieux vivent mêlés et se sont mariés. Ailleurs, des réunions à base de sang ou de conviction pourraient ne pas se révéler très joyeux comme leurs partisans actuels attendent. Les limites prévues dans les cartes qui accompagnent cet article réparer les torts subis par les plus importants "triché" groupes de population, tels que les Kurdes, les Baloutches et les chiites arabes, mais ne tiennent pas compte de manière adéquate pour les chrétiens du Moyen-Orient, Bahaïs, ismaéliens, Naqshbandis et de nombreux autres numériquement moins minorités. Et un mal obsédant ne peut jamais être réparé avec une récompense du territoire: le génocide perpétré contre les Arméniens par l'Empire ottoman mourant.
Pourtant, pour toutes les injustices les frontières ré-imaginées ici laissent sans réponse, sans que ces grandes révisions des limites, nous ne verrons jamais un monde plus pacifique au Moyen-Orient.
Même ceux qui abhorrent le thème des frontières altérant serait bien servi pour se livrer à un exercice qui tente de concevoir un plus juste, si elle est encore imparfaite, la modification des frontières nationales entre le Bosphore et l'Indus. Accepter que l'art de gouverner international n'a jamais développé des outils efficaces - court de la guerre - pour réajuster les frontières défectueux, un effort mental pour saisir les frontières «organiques» du Moyen-Orient contribue néanmoins à comprendre l'ampleur des difficultés auxquelles nous sommes confrontés et nous continuerons à faire face. Nous traitons avec des déformations artificielles colossales qui ne cesseront de générer la haine et la violence jusqu'à ce qu'elles soient corrigées.
Quant à ceux qui refusent de «penser l'impensable», déclarant que les frontières ne doivent pas changer et c'est que, il est utile de rappeler que les frontières ont jamais cessé de changer au fil des siècles. Borders ont jamais été statique, et de nombreuses frontières, du Congo par le Kosovo au Caucase, sont l'évolution même maintenant (comme ambassadeurs et représentants spéciaux détournent leurs yeux pour étudier l'éclat de leurs wingtips).
Oh, et un autre sale petit secret de 5000 ans d'histoire: Le nettoyage ethnique fonctionne.
Commencez par la question des frontières les plus sensibles aux lecteurs américains: Pour Israël d'avoir tout espoir de vivre en paix raisonnable avec ses voisins, il devra revenir à ses frontières d'avant 1967 - avec des ajustements locaux essentiels pour préoccupations légitimes de sécurité. Mais la question des territoires entourant Jérusalem, une ville colorée avec des milliers d'années de sang, peut se révéler intraitable au-delà de nos vies. Lorsque toutes les parties ont tourné leur dieu dans un magnat de l'immobilier, des batailles de gazon littérales ont une ténacité inégalée par simple avidité pour la richesse de pétrole ou de querelles ethniques. Donc, laissons de côté cette question simple et trop d'études se tournent vers ceux qui sont studieusement ignorée.
L'injustice la plus flagrante dans les terres notoirement injustes entre les montagnes des Balkans et de l'Himalaya est l'absence d'un Etat kurde indépendant. Il y a entre 27 millions et 36 millions de Kurdes vivant dans des régions contiguës au Moyen-Orient (les chiffres sont imprécis parce qu'aucun Etat n'a jamais permis à un recensement honnête). Plus grand que la population de l'Irak actuel, même le chiffre inférieur rend les Kurdes plus grand groupe ethnique du monde sans un état propre. Pire, les Kurdes ont été opprimés par tous les gouvernements de contrôler les collines et les montagnes où ils ont vécu depuis l'époque de Xénophon.
Les États-Unis et ses partenaires de la coalition a raté une chance glorieuse de commencer à corriger cette injustice après la chute de Bagdad. Le monstre de Frankenstein A d'un état cousu des pièces mal ajustées, l'Irak aurait dû être divisé en trois petits Etats immédiatement. Nous avons échoué par lâcheté et manque de vision, l'intimidation Kurdes d'Irak en soutenant le nouveau gouvernement irakien - ce qu'ils font avec nostalgie comme un quid pro quo pour notre bonne volonté. Mais ont été un plébiscite libre qui aura lieu, ne vous méprenez pas: Près de 100 pour cent des Kurdes d'Irak serait voter pour l'indépendance.
Comme on les Kurdes qui souffre depuis longtemps de la Turquie, qui ont enduré des décennies d'oppression militaire violente et une rétrogradation de plusieurs décennies aux «Turcs des montagnes" dans un effort pour éradiquer leur identité. Alors que le sort kurde aux mains d'Ankara a ralenti quelque peu au cours de la dernière décennie, la répression a récemment intensifié à nouveau et le cinquième est de la Turquie doit être considérée comme un territoire occupé. Quant aux Kurdes de Syrie et de l'Iran, eux aussi, se précipiter pour rejoindre un Kurdistan indépendant si elles le pouvaient. Le refus par les démocraties légitimes du monde à l'indépendance kurde champion est un péché d'omission bien pire que les maladroits, péchés mineurs de commission qui excitent régulièrement nos médias sur les droits humains. Et en passant: Un Kurdistan libre, allant de Diyarbakir à travers Tabriz, serait l'état le plus pro-occidentale entre la Bulgarie et le Japon.

Un alignement juste dans la région laisserait trois provinces à majorité sunnite de l'Irak en tant qu'Etat tronqué qui pourrait éventuellement choisir d'unifier avec une Syrie qui perd son littoral à un Grand Liban orienté Méditerranée: Phoenecia renaît. Les chiites au sud de l'ancien Irak formerait la base d'un Etat chiite arabe anulingus une grande partie du golfe Persique. Jordan conserverait son territoire actuel, avec une certaine expansion vers le sud aux frais de l'Arabie. Pour sa part, l'état non naturel de l'Arabie saoudite souffrirait aussi grand démantèlement que le Pakistan.
A cause de la large stagnation du monde musulman est le traitement de la famille royale saoudienne de La Mecque et de Médine comme leur fief. Avec sanctuaires les plus sacrés de l'Islam sous le contrôle de l'état de la police de l'un des régimes les plus bigots et oppressifs du monde - un régime qui commande vaste richesse pétrolière non acquises - les Saoudiens ont été en mesure de projeter leur vision wahhabite d'une discipline, la foi intolérante bien au-delà de leur les frontières. La hausse des Saoudiens à la richesse et, par conséquent, l'influence a été la pire chose qui puisse arriver au monde musulman dans son ensemble depuis l'époque du Prophète, et la pire chose qui puisse arriver aux Arabes depuis l'Empire ottoman (sinon le Mongol) conquête.
Bien que les non-musulmans ne pouvaient pas effectuer un changement dans le contrôle des villes saintes de l'Islam, imaginez combien plus sain du monde musulman pourrait devenir étaient Mecque et Médine gouvernés par un conseil représentatif de rotation des grandes écoles et des mouvements musulmans du monde dans un sacré état islamique - une sorte de super-musulman Vatican - où l'avenir d'une grande foi pourrait être débattue plutôt que de simplement décrété. La vraie justice - que nous pourrions ne pas aimer - donnerait également des champs de pétrole côtiers de l'Arabie Saoudite aux Arabes chiites qui peuplent cette sous-région, tandis qu'un quadrant sud irait au Yémen. Confiné à un territoire croupion saoudien Homelands indépendant autour de Riyad, la Maison des Saoud serait capable de beaucoup moins de mal envers l'islam et le monde.
Iran, un état avec des frontières de folles, perdrait beaucoup de territoire unifié l'Azerbaïdjan, le Kurdistan libre, l'Etat chiite arabe et Baluchistan libre, mais gagnerait les provinces autour de Herat en Afghanistan d'aujourd'hui - une région avec une affinité historique et linguistique pour Perse. Iran, en effet, devenir un Etat persan ethnique à nouveau, la question la plus difficile étant de savoir si elle doit ou non garder le port de Bandar Abbas ou les remettre à l'État arabe chiite.
Qu'est-ce que l'Afghanistan allait perdre à la Perse à l'ouest, elle gagnerait à l'est, que les tribus du Nord-Ouest Frontier du Pakistan seraient réunis avec leurs frères afghans (le point de cet exercice est de ne pas dessiner des cartes comme nous le voudrions, mais que les populations locales seraient les préfèrent). Pakistan, un autre état contre nature, perdrait également son territoire Baluch à Free Baluchistan. Le reste «naturel» du Pakistan serait située entièrement à l'est de l'Indus, sauf pour un éperon ouest près de Karachi.
Les cités-états des Emirats Arabes Unis auraient un sort mixte - comme ils le feront probablement dans la réalité. Certains pourraient être incorporés dans l'État arabe chiite sonner une grande partie du golfe Persique (un état plus susceptible d'évoluer en tant que contrepoids à, plutôt que d'un allié de, l'Iran perse). Comme toutes les cultures puritaines sont hypocrites, Dubaï, de nécessité, serait autorisée à conserver son statut de jeux pour les débauchés riches. Koweït resterait dans ses frontières actuelles, tout comme Oman.
Dans chaque cas, cette redéfinition hypothétique des frontières reflète les affinités ethniques et communalisme religieux - dans certains cas, à la fois. Bien sûr, si nous pouvions agiter une baguette magique et de modifier les frontières en discussion, nous préférerions certainement faire sélectivement. Pourtant, l'étude de la carte révisée, contrairement à la carte illustrant les limites d'aujourd'hui, offre un certain sens des grands torts des frontières tracées par les Français et les Anglais au 20e siècle que dans une région du mal à émerger des humiliations et de défaites du 19ème siècle.
Correction de frontières pour refléter la volonté du peuple peut être impossible. Pour l'instant. Mais étant donné le temps - et l'effusion de sang attendant inévitable - nouveaux et naturels frontières vont émerger. Babylone est tombée plus d'une fois.
Pendant ce temps, nos hommes et nos femmes en uniforme vont continuer à se battre pour la sécurité contre le terrorisme, pour la perspective de la démocratie et pour l'accès à l'approvisionnement en pétrole dans une région qui est destinée à se battre. Les divisions actuelles des droits et des syndicats forcés entre Ankara et Karachi, prises conjointement avec les malheurs auto-infligées de la région, sous forme aussi parfait un terrain fertile pour l'extrémisme religieux, une culture du blâme et le recrutement de terroristes que quiconque pourrait concevoir. Là où les hommes et les femmes regardent tristement à leurs frontières, ils regardent avec enthousiasme pour les ennemis.
De l'offre excédentaire dans le monde des terroristes à son manque d'approvisionnement en énergie, les déformations actuelles du Moyen-Orient promettent une aggravation, pas une amélioration, la situation. Dans une région où seuls les pires aspects du nationalisme jamais pris la main et où les aspects les plus avilies de religion menacent de dominer une foi déçu, les Etats-Unis, ses alliés et, surtout, nos forces armées peuvent chercher des crises sans fin. Alors que l'Irak peut fournir un contre d'espoir - si nous ne quittons prématurément son sol - le reste de cette vaste région offre l'aggravation des problèmes sur presque tous les fronts.
Si les frontières du Grand Moyen-Orient ne peuvent pas être modifiés pour refléter les liens naturels de sang et de la foi, nous pouvons le prendre comme un article de foi qu'une partie de l'effusion de sang dans la région continuera d'être notre propre.


Cela a conduit, en Janvier 2016, la Maison Blanche à décider de changer de stratégie, en introduisant les Kurdes en tant que forces terrestres dans leur offensive contre l’Etat islamique. Les Etats-Unis ont très bien pesé que les conséquences de leur plan stratégique pour vaincre l’État islamique entraînerait automatiquement la création d’un Etat kurde, garanti par la Maison Blanche. Le Kurdistan serait un territoire d’une superficie de 390 000 km² comprenant une partie de la Turquie, la Syrie, l’Irak et l’Iran et aurait une population de plus de 30 millions.

Le plan est basé sur un article du lieutenant-colonel Ralph Peters, professeur à l’académie de commandement et d’état-major des États-Unis publié dans l’édition de Juin 2006 du Journal des Forces Armées [[1]]. Soit quatre ans avant la guerre civile en Syrie et huit ans avant l’avènement de l’Etat islamique en Irak et en Syrie.
Et ici se pose la question de savoir si le conflit en Irak et en Syrie n’avait pas été planifié de longue date par les États-Unis pour redessiner les frontières du Moyen-Orient ? Surtout que ce plan permettrait aux Américains de créer un réseau de gazoducs kurdes ou qataris pour approvisionner l’Europe, en contournant la Turquie par le biais du Kurdistan tout en éjectant l’Iran et la Russie de l’équation.

Seulement la Turquie représente un objectif stratégique par le fait qu’elle est le point de passage du continent européen vers les continents asiatique et africain par les détroits du Bosphore et des Dardanelles, et que les opérations aériennes contre l’État islamique effectuées par les Américains sont menées à partir de la base aérienne turque d’Incirlik. C’est la raison pour laquelle les États-Unis ont besoin de la Turquie et non l’inverse. L’éventualité pour la Turquie de perdre 45% de son territoire a profondément irrité le président Recep Erdogan. Quelles que soient les critiques que l’on peut faire à l’impulsivité de Erdogan, tout lui est pardonné par le peuple turc, par patriotisme. Cela signifie que, tant que Erdogan sera le président de la Turquie, aucun autre coup d’Etat militaire n’aura de chance de succès.
Cette caractéristique de Erdogan est connue des Américains et, après la mise en œuvre du plan stratégique en Syrie, il semble que la Maison Blanche a préparé un plan de destitution de Erdogan, au cas où ils n’auraient pas réussi à le persuader de démissionner. Le plan de destitution de Erdogan devait être mis en œuvre par les élites « euro atlantistes » fidèles aux Américains, formées à partir du réseau de Gülen. Erdogan affirme que son ennemi, réfugié aux Etats-Unis, serait un paravent de la CIA et que le réseau « euro-atlantiste » en Turquie serait semblable à celui de George Soros implanté dans les anciens pays communistes, après la chute du rideau de fer. Le processus de recrutement utilisé par le réseau de Gülen se ferait à partir de bourses d’études ou de spécialisation dans les institutions occidentales prestigieuses, offertes par le gouvernement américain et la CIA.
Le réseau de Gülen vise particulièrement les jeunes officiers de l’armée turque, qui reçoivent des cours importants organisés par l’OTAN et le Pentagone. Le Pentagone peut ensuite faire pression sur l’état-major général turc pour que ces officiers occupent les fonctions revenant à la Turquie dans les diverses structures de l’OTAN. Comme ce sont des officiers subalternes sans expérience militaire de terrain, leur avancement se fait sur place, sur le mode exceptionnel, montant de deux à trois grades pour atteindre le grade de major, lieutenant-colonel ou colonel, comme l’exige la règle d’encadrement de l’OTAN. Dans l’armée turque, pour dépasser le grade de major et accéder au commandement d’un bataillon, une brigade, une division, un corps d’armée ou une armée, ils est nécessaire de passer des stages suivant l’ancienneté, et obtenir d’excellents résultats de préparation au combat, pour être autorisés à passer les examens d’entrée à l’Académie de Commandement et d’Etat-major d’Istanbul. Après un mandat de 1 à 2 ans dans l’OTAN, le Pentagone fait pression sur les chefs militaires Turcs pour que ces officiers supérieurs d’opérette, sans passer par l’Académie, obtiennent de nouveaux avancements dans des grades leur permettant d’occuper des postes importants à l’Etat-Major ou dans des structures de commandement de corps d’armée et de l’armée turque.
Selon les partisans de Erdogan, des milliers d’officiers turcs recrutés dans le réseau de Gülen auraient effectué leur carrière militaire selon un parcours « d’avancement rapide », pour atteindre les grades de général et de colonel dans des postes clés. Il existe un contraste frappant avec la base kémaliste de l’armée, en ce sens que leurs camarades de promotion kémalistes sont restés capitaines ou majors, dans des fonctions d’exécution. Cette différence, créée artificiellement, est à la base de l’échec du coup d’Etat militaire en Turquie [[2]].
Erdogan dit que le réseau de Gülen a réussi à attirer près de 20-25% des hauts fonctionnaires (l’Armée, les établissements d’enseignement supérieur, les médias, la justice, la police, l’appareil gouvernemental, etc.). Erdogan dit que tout le réseau Güleniste est toujours prêt à trahir la Turquie, sur ordre des ennemis de la Turquie. C’est pourquoi Erdogan a immédiatement commencé à démettre de leurs fonctions tous les membres du réseau « euro atlantiste » sur le modèle des purges staliniennes des anciens pays communistes, en début des années 50. Maintenant, l’enjeu pour Erdogan est de maintenir l’intégrité territoriale de la Turquie, quels que soient les plans américains au Moyen-Orient.

La stratégie militaire iranienne?
Selon une étude, publiée par une académie militaire américaine, la stratégie de guerre de l’Iran est l’une des plus performantes de toute la région:
« L’Iran évite, en général, des combats conventionnels, pour recourir aux guerres, par procuration, ou utiliser des guerres psychologiques, qui consistent à combiner le soft et le hard power, et c’est ainsi qu’il fait avancer ses objectifs. »
Une première étude, publiée par cette même académie, datait de 2011, et évoquait, elle aussi, la stratégie militaire de la RII. L’étude fait allusion, cette fois, aux « méthodes uniques de la RII », dans le domaine de la gestion du pays, ainsi que dans celle de ses potentialités et ses forces. « Ce pays utilise, intelligemment, ses talents, pour faire face à des problèmes internes et externes ».
« La stratégie militaire iranienne est basée, essentiellement, sur la possibilité d’élargir des capacités dissuasives. »
L’Iran a fixé des lignes rouges, qui seraient les suivantes : toute attaque militaire directe contre l’Iran, tout tentative destinée à réduire la capacité de l’exportation de son pétrole, toute menace contre son intégrité territoriale, et des tentatives de renversement de l’Ordre de la RII, ou encore, le retour des militaires américains, en Irak.
L’Iran s’appuie sur la politique de la réponse ferme et destructrice, contre les agresseurs américains et israéliens.
Si les Américains et les Israéliens menacent l’Iran, ce dernier réagirait, en frappant les villes, comme Haïfa et Tel-Aviv, par le biais des missiles, et en utilisant le système de défense anti-balistique. L’Iran repousse, quotidiennement, des menaces venant de l’Irak, et, pour cette raison, il a déployé ses forces, sur ses frontière avec l’Irak. Idem, pour ses bases de lancement de missiles, dans le Nord-Ouest et dans l’Ouest du pays, ou encore, pour sa puissance aérienne, déployée dans le golfe Persique. Il en est, également, de même, pour sa force maritime, présente dans le golfe Persique, et qui reflète la volonté iranienne de maintenir sa présence, dans les eaux internationales, et faire une démonstration de force.
L’étude mentionne, ensuite, les axes ci-dessous, comme les piliers stratégiques de la RII :
Les politiques de l’Ordre de la RII sont basées sur des approches réalistes et tendent vers une dimension défensive, qui conjugue philosophie et religion.
L’Iran cherche à éviter des combats conventionnels,  et, en même temps, en se faisant aider par les guerres, par procuration, et des guerres psychologiques, il combine puissance soft et hard, pour faire avancer ses objectifs nationaux.
 L’Iran pratique, constamment, un mélange des puissances soft et hard, mais sa préférence va à l’usage du soft power. Cependant, des changements sont permis à ces principes, comme c’est le cas, en Irak et en Syrie.
Pour confronter l’ensemble des menaces qui l’entourent, l’Iran possède, aussi, des forces asymétriques, des commandos marins et des unités de missiles et roquettes .
Les mots d’ordre de la stratégie militaire de la RII souligne la guerre indirecte, la patience et la  retenue.
Les autres caractéristiques de la stratégie iranienne à évoquer sont l’importance accordée aux relations réciproques, la souplesse tactique et la tendance à provoquer des fissures, dans les rangs des opposants.
Le texte conclut: le Guide suprême iranien est un homme logique, et il évite de mettre son pays en danger, et cela pourrait, largement, compliquer la donne et rendre difficile toute tentative destinée à former un équilibre dissuasif et stable, en présence d’un Iran nucléaire.

L’Iran dispose d’une quantité de missiles de croisières amplement suffisante pour anéantir en grande partie, voire totalement, la Cinquième Flotte, qui se trouve à portée des lanceurs de missiles mobiles iraniens, stratégiquement installés tout au long de ses cotes montagneuses qui dominent le Golfe Persique. Par cette nouvelle ‘donne’ la Russie et les Etats-Unis sont arrivés à un accord du démantèlement du bouclier antimissile devant être installé en Europe de l’Est.


L’administrationAméricaine minimise délibérément la vulnérabilité de sa flotte à la technologieavancée de l’Iran en matière de missiles, lesquels ont été achetés à la Russiedès le début du conflit et actuellement fabriqués en série sur le sol iranien,l’aide de la Chine et de la Corée du Nord complète la réussite de ce programmede défense.  Les plus sophistiqués de ces missilesiraniens sont les « Sunburn » et les « Yakhonts », correspondantsrespectivement  au Shahab-4 et au Shahab-5. Ce sont des missiles contrelesquels les vaisseaux de guerre américains, devant eux ils fondent comme dubeurre, car ils n’ont pas de parade efficace, avertissent tous les grandsexperts militaires du monde. Les néoconservateurs  américainsprovoquent  délibérément des représailles de riposte iraniennes négligeantaux conséquences dramatiques contre une intervention armée US ; ils veulentsacrifier la totalité de la Cinquième flotte. Cela risque d’aboutir à unnouveau Pearl Harbor, qui créerait l’environnement politique idoine en vued’une guerre totale contre l’Iran et d’actions armées s’étendant à l’ensemblede la région du Golfe Persique. Toutes les bases militaires opérationnellesaméricaines se trouvent dans les pays arabes domestiqués par les américains etle sionisme. La cinquième flotte dont on vient de parler a son QG dans le petitEtat de Bahreïn, situé face à l’Iran, dans le Golf  Persique à uneparfaite portée des missiles air-mer iraniennes. La base de la cinquièmeflotte,  au Bahreïn, n’est qu’à 150 miles marins de la côte iranienne, etelle serait elle-même facile à la portée d’une nouvelle génération de missilesair-mer iraniens. Par ailleurs, n’importe quel bâtiment de la Navy, dans leterrain d’opération confiné du Golfe Persique, aurait des difficultés àmanœuvrer et se trouverait à faible distance de la côte rocheuse et en dents descie de l’Iran, tout au long du Golfe Persique, jusqu’à la Mer d’Arabie. Cinqporte-avions et six portes-hélicos patrouillant dans les eaux du Golf Persiqueet de l’Océan indien seront mobilisés dans le cas ou les Etats-Unis persistentsur leur erreur pour envahir l’Iran, reste à comprendre que toute cette armadaaméricaine massée dans la région, n’est qu’une forme d’intimidation connue etune ‘dissuasion périmée’ qui risquent  de mettre définitivement fin aumythe de la suprématie militaire des Etats-Unis, engagée déjà dans son déclin.La Russie n’accepterait  que l’armée américaine camperait américaine à sesfrontières, dans le but d’envahir plus tard la le reste du monde,  dont laRussie blanche, ferait partie dans la prochaine étape.                                                                                                Le projet de bouclier antimissile imaginé sous laprésidence de George Bush prévoyait l'implantation de missiles d'interceptionen Pologne et d'une station radar en République tchèque dans le butd’intercepter en cas de guerre les missiles Russes et éventuellement ceuxiraniens. L'éventualité d'une présence militaire américaine accrue dans unezone que la Russie considère comme faisant partie de sa sphère d'influenceavait soulevé l'hostilité farouche de Moscou pour se dégénérer encore une foisen guerre froide. La Russie membre du conseil de sécurité et deuxième puissancemilitaire mondiale, reste éternellement méfiante à l’égard du des américains,d’Israël, de l’Union européennes et surtout de certains pays arabes égarés,alliés au sionisme et sous domination américaine comme: l’Egypte, l’ArabieSaoudite et le Maroc, elle est seul en mesure de  prendre des décisionsfermes pour épargner la région du Moyen-Orient du pire. L’Iran pays musulmanpar excellence, deuxième puissance militaire et économique du Moyen-Orient,doit aussi se porter garante de l’unité du monde musulman et de son Islam etprotéger la région de la convoitise des croisés; cet engagement lui  avalu qu’il soit mis dans l’œil du cyclone. L’Iran  a était discrètementsurarmé par la Russie et la Chine faire face aux éventuelles attaquesaméricaines et/ou européennes. L’Iran a commencé à acheter de la technologiemilitaire à la Russie peu après que celle-ci se soit rétractée, en 2000, duGore-Chernomyrdin Protocol (Protocole Gore-Chernomyrdin), lequel limitait lesventes d’équipement militaire par la Russie à l’Iran. À la suite de quoi, la Russiese mit à vendre à l’Iran de la technologie militaire susceptible d’êtreutilisée dans n’importe quel conflit avec les États-Unis, notamment dessystèmes de défense anti-aérienne et des missiles sol-mer, équipements danslesquels la Russie s’était spécialisée précisément afin de contrebalancerl’écrasante supériorité maritime des États-Unis. Des usines de production de missiles ont étaientconstruites par les Chinois et les Russes spécialement pour faire face à unelongue guerre contre les Etats-Unis et leurs alliés. L’Iran produit en série,le missile SS-N-22, dit « Sunburn », atteint la vitesse de mach 2,5, soit 1 500miles/heure. Il utilise la technologie furtive et sa portée atteint les 130miles. Il véhicule une tête explosive conventionnelle de 750 livres, capable dedétruire la plupart des bâtiments de guerre, ce missile a était amélioré parles iraniens pour recevoir une tète nucléaire. Plus préoccupant encore est leSSN-X-26 de fabrication russe, dit « Yakhont ». C’est un missile de croisière d’uneportée de 185 miles, qui rend tous les bâtiments de l’US Navy présents dans leGolfe Persique vulnérables. Plus grave : les Yakhonts ont été mis au pointspécifiquement pour être utilisés contre des porte-avions, et ils ont étévendus par la Russie aux pays amis fidèle à la politique russe. Plus encore,les missiles Yakhont et  Sunburn sont conçus pour esquiver les radars desurveillance Aegis, actuellement équipant les bâtiments de l’US Navy, grâce àleur technologie furtive et à leurs manœuvres en vol à très basse altitude, quiépousent les aspérités du terrain. Dans leur approche terminale, ces missilesadoptent des trajectoires d’esquive qui leur permettent d’échapper aux tirsanti-missiles terre-mer. Si importante est la menace représentée par les Sunburn,les Yakhonts et d’autres missiles mis au point par la Russie et vendus par elleà la Chine, à l’Iran et à d’autres pays. Tout cela, fait mal au cœur Israël etBenyamin voyant la menace de sa sécurité s’élargissant à tous les horizonscommencent à avoir la fièvre et reproche à poutine la vente de ces armes à sesennemis. Une bonne nouvelle pour les pays en guerre avecIsraël et les Etats-Unis ; le service de testage des armes du Pentagone a prisla décision, cette année, de cesser la production de tous les nouveaux types deporte-avions tant qu’une défense anti-missile efficace n’aurait pas été mise aupoint. A présent les Etats-Unis sont dans l’incapacité d’envahir l’Iran ni parmer, ni par air, si une attaque contre l’Iran devait intervenir, elleentrainement assurément la destruction sa marine de guerre, la destruction del’USS entreprise fleuron de la Navy US Force entrainera la mort de 5000 hommesqui servent ce navire de soutien et le reste des forces navales. Des pertesultérieurs en termes de croiseurs  par mer faire la guerre à l’Iran etdoivent se retirer par la petite porte des négociations. Quant aux pertesultérieures en termes de croiseurs de soutien et d’autres forces navalesappartenant à la Cinquième Flotte dans le Golfe Persique, elles seraientcatastrophiques. Les Etats-Unis veulent éviter une catastrophe similaire à PerlHarbor, ou l’attaque par missiles de croisières iraniens rééditerait la mêmecatastrophe qui a envoyé au fond de l’océan cinq bâtiments, la destruction de188 avions et la mort de 2 333 soldats américains ce qui a entrainé trèsrapidement la déclaration d’une guerre totale contre le Japon par le Congrèsdes Etats-Unis. Les Etats-Unis n’ont plus de moyens financiers etle soutient des Nations-Unis pour faire face à une éventuelle déclaration deguerre entre  les deux pays. Une  déclaration d’une guerre totalecontre l’Iran par le Congrès US entraînerait une campagne de bombardementsintensifs sans l’intervention de l’US Navy et une grave aventure qui mènera àla débâcle de l’armée américaine, comme au Viêt-Nam et n’entraîner aucunchangement dans la région, bien au contraire elle renforcera la solidaritéentre les pays du monde musulman. Le plan d’attaque de l’Iran par lesÉtats-Unis sous les mandats Bush prévoyait  de sacrifier la Cinquièmeflotte afin de justifier une réplique nucléaire. Il ne s’agit pas là d’unscénario hypothétique, mais d’une option discutée au sein de l’état-majorinterarmes US. Selon les informations, recueillis auprès de la presseaméricaine spécialisée,  l’amiral William Fallon a fait savoir que si untel ordre d’attaquer l’Iran était donné, il refuserait de le suivre etprésenterait sa démission, ainsi que celle de l’ensemble de l’état-major duCentcom. C’est pour une résistance des officiers supérieurs de la Navy et del’Army qui ont empêché les néoconservateurs et l’Air Force de lancer cesopérations suicidaires. Des jeux stratégiques mis au point par lePentagone   devaient servir à tester une série de nouveaux conceptsopérationnels, recours à un ensemble d’attaques asymétriques, à des stratégiesutilisant des navires civils maquillés afin de lancer des offensives, desavions sans pilote , des avions pour des attaques kamikazes , et des missilesde croisière Silkworm, c’est la quasi-totalité de la Cinquième Flotte qui s’estretrouvée par le fond et par le piège . Les simulations ont révélé à quel pointdes stratégies asymétriques étaient susceptibles de tirer profit de lavulnérabilité de la Cinquième Flotte face à des missiles de croisière terre-mer,en particulier dans les eaux confinées du Golfe Persique. Des fuites rapportéespar la presse libre américaine font état de fait de ce qui suit : Prenant unedécision éminemment discutable, le Pentagone choisit, tout simplement, de «remettre à flot » la Cinquième Flotte afin de poursuivre l’exercice, quiaboutit, au final, à la défaite du pays du Golfe Persique fictif choisi. Lesrésultats de ce test  amenèrent le lieutenant général Paul Van Riper,commandant de l’État du Golfe mythique, à qualifier les résultats officiels decet exercice de « slogans creux ». Au cours d’une interview télévisée réaliséepeu après, le général Riper a déclaré : «  les concepts en cours de testpar le commandement ne s’étant pas révélé à la hauteur, le commandement s’estmis à réécrire le scénario de l’exerce à sa façon, afin de démontrer lavalidité de leurs concepts hypothétiques du départ. C’est là-dessus que porteessentiellement ma plainte. » Au début 2006, les néoconservateurs du Pentagonetravaillant fidèles à  l’administration Bush ont commencé à faire unepromotion vigoureuse d’une nouvelle guerre contre l’Iran, en raison de lamenace alléguée censée qu’est nucléaire est parfaitement légal et qu’ilrespecte le traité sur la non-prolifération nucléaire (TNP). Depuis 2004,l’administration Bush cite des données provenant de ses services derenseignement selon lesquelles l’Iran serait en train de mettre au point desarmes atomiques, et qu’il ne faut en aucun cas laisser ce pays y accéder. Busha contraint les services de renseignement et l’AIEA à fournir de faux rapportsur l’évolution du nucléaire iranien, pour pouvoir motiver son agression. Unrapport bourré d’ambigüité fut présenté par Bush aux congrès  sur le plusgros du développement nucléaire de l’Iran, disant qui  aurait été mené àbien dans des usines souterraines construites à une profondeur de 70 pieds,avec des dalles de béton armé qui les protègent contre toute attaque par lesarmes conventionnelles connues. Quant à la protection des sites nucléaire ellesensée être protégée de nouveau par des missiles SS 330 fournis par la Russieet peuvent-être fabriqués dans les usines iraniennes. A la base desdéclarations des responsables iraniens, la portée du missile iranien Shahab-3 est d’environ, 3000 Km, irrépérable par le système radar du bouclierantimissile européen, utilisable pour la défensive et l’offensive et dontl'Iran soit en mesure d'en produire des centaines. Un nouveau pas a étaitfranchi par l’Iran avec les tests du Shahab-4, d’une porté de 5000 Km, cemissile est également capable de "frapper différentes cibles en mêmetemps, alors que l’Iran est réputé disposer seulement au stade du Shahab-3,produit par centaines.  Revenons au bluff américain sur laprotection des installations nucléaires iraniennes, un succube qui a amenél’administration Bush à prétendre, que des armes nucléaires tactiques devraientêtre utilisées afin d’éliminer les installations nucléaires iraniennes. Cela occasionna une controverse enflammée entre des néoconservateurs de premierrang comme Dick Cheney et Donald Rumsfeld, et les chefs des états-majorsréunis, qui restèrent catégoriquement opposés à cette éventualité, ces derniersconnaissent bien la capacité de riposte de l’Iran et les conséquences qui s’ensuivent. Le Pentagone s'est défendu de céder aux exigences russes, et les deuxparties se sont assuré avec un  accord secret a été conclu entre les deuxparties rassurant Obama de ne pas vendre la technologie de missiles à longueportée aux iraniens nuisibles à la sécurité européenne. La sécurité desEtats-Unis sera également renforcée, a-t-il assuré Obama par cette phrase ;"Le meilleur moyen d'améliorer notre sécurité et la sécurité de nos alliésde manière responsable, c'est de déployer un système de défense antimissile quiréponde mieux aux menaces auxquelles nous faisons face et qui utilise destechnologies éprouvées que nous paierons le juste prix", a-t-il expliqué.Le chef de la minorité républicaine de la Chambre des représentants, JohnBoehner, a exhorté "le président à revoir cette mauvaise décision, à seranger aux côtés des alliés des Etats-Unis, et à faire ce qui convient pour lasécurité des Américains". M. Boehner a estimé que la décision del'administration "renforce la Russie et l'Iran au détriment des alliés desEtats-Unis en Europe". Le jour commence à se lever sur le faux problèmedu nucléaire iranien et prend l’allure de  la ‘ Crise de Cuba’ ou l’exUnion Soviétique utilisa la Havane pour résoudre ses différents avecWashington, la Rt prononcé vendredi le 11/sept./2009 pour relier "lemoment venu" les systèmes de défense antimissile des Etats-Unis, del'ussie vient de démanteler le bouclier anti-missile et améliorer ses relationsavec les Etats-Unis, peut-être sur le dos des iraniens? Le secrétaire généralde l'Otan Anders Fogh Rasmussen s'esOtan et de la Russie. "Nos pays et nosarmées vont toutes devenir de plus en plus vulnérables à des attaques demissiles et l'intérêt fondamental de l'Otan et de la Russie est d'explorer lapossibilité de relier, le moment venu, les systèmes de défense antimissile desEtats-Unis, de l'Otan et de laRussie."                      Les loups ne se mangent pas entre eux ! Conclusion Les tensions américaines secondées parcelles  européennes, exercées sur l’Iran mènent à une escalade avec lesautres puissances majeures, comme la Russie et la Chine, qui ont fourni àl’Iran des systèmes d’armes sophistiquées susceptibles d’être utilisées contreles avant-postes militaires américains. L’administration américaine  acaché à l’opinion publique états-unienne la gravité de la vulnérabilité de laCinquième Flotte, ainsi que la manière dont elle risquerait d’être prise aupiège et détruite, dans le cas d’un conflit de grande ampleur avec l’Iran.L’accord tacite du démantèlement du bouclier antimissile, n’est qu’un camoufletsur les graves erreurs commises par l’administration de Georges Bush pendantsses deux mandats. 

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