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LE METISSE EST MOINS INTELLIGENT ET MANIPULABLE

My Music, My PLAYLIST :  https://www.youtube.com/watch?v=HQiYe_w78uA&list=PLRpA8pFcR6-gc-



La Régression du QI des pays touchés par l’immigration massive sub-saharienne
https://www.youtube.com/watch?v=Qr-eBm69clw&t=17s
Country/Region IQ (2002) IQ (2006) Pays/Région QI (2002) QI (2006)
Hong Kong  107 108   
Singapore   103  108        
North Korea 105*106*
South Korea 106 106
Japan 105 105
Taiwan 104 105
China 100 105
Italy 102 102
Iceland 98* 101
Mongolia 98* 101*
Switzerland 101 101
Austria 102 100
Luxembourg 101*100*
Netherlands 102 100
Norway 98 100
United Kingdom100100
Germany 102 99
Belgium 100 99
Canada 97 99
Estonia 97* 99
Finland 97 99
New Zealand 100 99
Poland 99 99
Sweden 101 99
Andorra N/A 98*
Spain 99 98
Australia 98 98
Czech Republic 97 98
Denmark 98 98
France 98 98
Latvia 97* 98*
United States 98 98
Belarus 96* 97*
Malta 95* 97
Russia 96 97
Ukraine 96* 97*
Moldova 95* 96*
Slovakia 96 96
Uruguay 96 96
Israel 94 95
Portugal 95 95
Armenia 93* 94
Georgia 93* 94*
Kazakhstan 93* 94*
Romania 94 94
Vietnam 96* 94*
Argentina 96 93
Bulgaria 93 93
Greece 92 92
Malaysia 92 92
Ireland 93 92
Brunei 92* 91*
Cambodia 89* 91*
Cyprus 92* 91*
Lithuania 97* 91
Macedonia 93* 91*
Thailand 91 91
Albania 90* 90*
Bermuda N/A 90
Bosnia N/A 90*
Chile 93* 90
Croatia 90 90
Kyrgyzstan 87* 90*
Turkey 90 90
Mexico 87 90
Cook Islands N/A 89
Costa Rica 91* 89*
Laos 89* 89
Mauritius 81* 89
Suriname 89 89
Ecuador 80 88
Samoa 87 88
Azerbaijan 87* 87*
Bolivia 85* 87
Brazil 87 87
East Timor N/A 87*
Guyana 84* 87*
Indonesia 89 87
Iraq 87 87
Myanmar 86* 87*
Tajikistan 87* 87*
Turkmenistan 87* 87*
Uzbekistan 87* 87*
Kuwait 83* 86
Philippines 86 86
Seychelles 81* 86*
Tonga 87 86
Cuba 85 85
Fiji 84 85
Kiribati 84* 85*
New Caledonia N/A 85
Peru 90 85
Trinidad 80* 85*
Yemen 83* 85
Afghanistan 83* 84*
Belize 83* 84*
Colombia 88 84
Micronesia 84* 84*
Iran 84 84
Jordan 87* 84
Marshall Islands 84 84
Morocco 85 84
Pakistan 81* 84
Panama 84* 84*
Paragay 85* 84
Puerto Rico 84 84
Saudi Arabia 83* 84*
Solomon Islands 84* 84*
The Bahamas 78* 84*
Arab Emirates 83* 84
Vanuatu 84* 84*
Venezuela 88* 84
Algeria 84* 83*
Bahrain 83* 83*
Libya 84* 83*
Oman 83* 83*
Papua New Guinea 84*
Tunisia 84* 83*
Bangladesh 81* 82*
Dominican 84* 82
India 81 82
Lebanon 86 82
Madagascar 79* 82
Egypt 83 81
Honduras 84* 81
Maldives 81* 81*
Nicaragua 84* 81*
Northern Mariana Islands N/A 81
Barbados 78 80
Bhutan 78* 80*
El Salvador 84* 80*
Guatemala 79 79
Sri Lanka 81* 79
Nepal 78 78
Qatar 78 78
Comoros 79* 77*
Cape Verde 78* 76*
Mauritania 73* 76*
Uganda 73 73
Kenya 72 72
South Africa 72 72
Tanzania 72 72
Ghana 71 71
Grenada 75* 71*
Jamaica 72 71
Saint Vincent and the Grenadines 75* 71
Sudan 72 71
Zambia 77 71
Antigua and Barbuda 75* 70*
Benin 69* 70*
Botswana 72* 70*
Namibia 72* 70*
Rwanda 70* 70*
Togo 69* 70*
Burundi 70* 69*
Côte d'Ivoire 71* 69*
Malawi 71* 69*
Mali 68* 69*
Niger 67* 69*
Nigeria 67 69
Angola 69* 68*
Burkina Faso 66* 68*
Chad 72* 68*
Djibouti 68* 68*
Eritrea 68* 68*
Somalia 68* 68*
Swaziland 72* 68*
Dominica 75* 67
Guinea 63 67
Guinea-Bissau 63* 67*
Haiti 72* 67*
Lesotho 72* 67*
Liberia 64* 67*
Saint Kitts and Nevis 75* 67*
São Tomé and Príncipe 59* 67*
Senegal 64* 66*
The Gambia 64* 66*
Zimbabwe 66 66
Congo 73 65
Cameroon 70* 64
Central African 68* 64
Democratic Congo 65 64
Ethiopia 63 64
Gabon 66* 64*
Mozambique 72* 64
Sierra Leone 64 64
Saint Lucia 75* 62
Equatorial Guinea 59 59


Toutes les nations occidentales sont dirigées par une conspiration sioniste déterminée à métisser, supplanter et exterminer la race blanche.
Les systèmes religieux, politiques et économiques peuvent être détruits et ressuscités, mais la mort de la race blanche sera éternelle.
Les gouvernements d’occupation sioniste en Amérique et dans les autres nations occidentales promeuvent l’acte contre-nature d’homosexualité, sachant très bien que le puissant instinct mâle d’union sexuelle doit être dirigé à des fins de procréation vers les femmes de même race afin d’assurer la survie de l’espèce
Les gouvernements d’occupation sioniste en Amérique et dans les autres nations occidentales promeuvent et protègent l’infanticide, aujourd’hui appelé avortement, de bébés blancs bien-portants, au détriment immense de notre race
Après la pollution de la population Maghrébine par les négriers juifs. Les juifs passent à la touche finale pour leur projet de métissage et de déracinement des peuples pour les manipuler, par l’immigration massive vers l’Europe des 2 autres races asiatique et africaine.https://www.youtube.com/watch?v=I5qljkUzzIY&feature=youtu.be

Les recherches génétiques actuelles démontrent que les races existent.
On s’en doutait, mais aussi qu’il existe des différences d’intelligence importantes entre elles.
Ainsi, lorsque les médias parlent d’échec scolaire, ils font référence aux Africains en général. En revanche, jamais, il n’est fait référence aux Asiatiques car ces derniers réussissent plutôt mieux que la moyenne à l’école.
Les différences d’intelligence entre les races sont à l’origine et pour une grande part des problèmes de l’échec scolaire. Il faut cesser de feindre l’égalité de tous. Cette égalité n’est qu’un fantasme de gauchistes et de lâches qui se préservent ainsi des questions fondamentales de notre société.
Chaque race est porteuse de caractéristiques physiques largement reconnaissables de l’extérieur et auxquelles tout le monde s’accorde. C’est ce qu’on appelle la race du corps. Mais le plus important est que les races se définissent également par une âme et un esprit qui leurs sont propres. C’est ce qui les amènent à créer des traditions, des lois, une certaine façon de penser, de concevoir la nature et le monde, d’imaginer leur relation au divin, de créer etc. Et c’est de ces paramètres que naissent les civilisations.
Toutes les nations d’Europe sont nées de la race caucasienne qui les a enfanté il y a bien longtemps. Plus elles se trouvent en périphérie éloignée de la source originelle, plus elles en diffèrent. C’est pour cela qu’ils existe des différences culturelles et physiques notables en Europe. Mais ces différences de cultures et de coutumes sont perçues comme cousine lorsque les observe depuis l’extérieur du territoire européen.https://www.youtube.com/watch?v=yCKhy0Y2Rfs
Au delà de l’esthétique physique raciale caucasienne, une culture, une civilisation sont les produits d’un peuple, d’une race. C’est-à-dire que si l’on vient modifier la substance génétique d’un peuple, par des apports extérieurs, donc par le métissage, on modifie inexorablement l’univers mental de toute la société et donc la civilisation (l’univers matériel) qui en est le fruit se trouve ébranlée. D’autre part, sur un plan spirituel, les peuples, les races se doivent de respecter et de rester fidèles à ce qu’à fait d’eux le créateur. ,
C’est d’ailleurs l’un des raisons actuelles des forces hostiles aux aux Blancs de combattre toute forme spiritualité enracinée. Mais c’est aussi ce qui montre que le néo-écologisme gauchiste est une escroquerie qui a du mal à se dépêtrer de sa contradiction majeure à savoir ; militer pour la diversité animale et végétale tout en militant pour le métissage des hommes. Et je dois préciser que c’est par cela que l’on doit juger de la bonne foi ou non des écologistes. Il faut dire que le vrai cheval de bataille des « Verts » se situe plutôt sur le plan de la lutte des classes, en bons marxistes qu’ils sont vraiment, que dans la défense de la nature.
La défense et la protection d’une race se situent donc autant dans l’esthétique physique, que dans son univers mental, car une race se distingue aussi et surtout d’une autre par son esprit et son âme.
Ses réalisations artistiques et culturelles sont donc le fruit de la race de l’âme et de l’esprit.
La science est en train de découvrir les preuves de la diversité génétique au sein des groupes de personnes ainsi qu’entre les individus. Cette découverte devrait être acceptée, pas crainte, disent Bruce T. Lahn et Lanny Ebenstein.
Un corpus croissant de données est en train de révéler la nature de la diversité génétique humaine à une résolution de plus en plus fine. Il est maintenant reconnu que, malgré le degré élevé de similarités génétiques qui lie l’humanité en tant qu’espèce, il existe une diversité considérable, tant au niveau individuel que du groupe (race et ethnie). La signification biologique de ces variations, reste à explorer pleinement. Mais assez de preuves ont été accumulées pour justifier la question suivante : Et si les données scientifiques démontraient finalement que les variations biologiques à base génétique qui existent entre individus, étaient aussi valables pour les groupes ? À notre avis, la communauté scientifique et la société en général sont mal préparées à une telle possibilité. Il nous faut une réponse morale à cette difficile question, indépendamment de ce que la recherche met au jour sur la diversité humaine. Ici, nous plaidons pour la position morale que la diversité génétique, de l’intérieur ou entre les groupes, devrait être acceptée et célébrée comme l’un des principaux atouts de l’humanité.

Quand la science se heurte à des questions idéologiques.
L’actuelle position morale dominante consiste en une sorte d’ « égalitarisme biologique». Cette position dominante a émergé ces dernières décennies, essentiellement pour corriger les graves injustices historiques, y compris le génocide, qui ont été commis avec le soutien de pseudo-compréhension de la diversité du groupe. La théorie de l’hygiène raciale promue par les généticiens allemand Fritz Lenz, Eugène Fischer et d’autres pendant l’époque nazie est un exemple notoire de cette pseudoscience. l’égalitarisme biologique est la position adoptée selon laquelle il n’existerait aucun sens génétique dans les différences biologiques existantes entre les groupes humains, à l’exception de quelques traits superficiels comme la couleur de la peau. Les partisans de ce point de vue semblent espérer que, en faisait la promotion d’une similitude biologique, la discrimination contre des groupes ou des individus deviendront sans fondement.
Nous croyons au contraire que cette position est dangereuse car s’il s’avérait que des différences notoires et importantes étaient établies, cela pourrait justifier la discrimination. Au contraire, l’égalité des chances et le respect de la dignité de l’homme devraient être les aspirations communes de l’humanité, malgré les différences humaines petites ou grandes. Nous pensons également que l’égalitarisme biologique ne survivra pas à la lumière de la masse croissante de données accumulées.
Beaucoup de gens pourraient admettre l’existence d’une grande diversité génétique au niveau des groupes humains, mais y voient là une menace pour la cohésion sociale. Certains chercheurs ont même appelé à un arrêt à la recherche sur le sujet ou sur ses aspects sensibles, en raison des risques de mauvaise utilisation de l’information. D’autres de demander : Si l’information sur la diversité du groupe peut être contournée, pourquoi ne pas se concentrer uniquement sur les différences individuelles et ignorer toute toute les différences au niveau raciale ?
Avertissement clair des scientifiques !
Nous affirmons avec force que la société se doit de rester vigilante contre tout détournement de l’information génétique, mais nous croyons aussi que la meilleure défense consiste à adopter une attitude positive à l’égard de la diversité, y compris au niveau du groupe. Nous plaidons pour notre position à partir de deux perspectives : D’abord, que la recherche et la médecine peuvent tirer profit d’une meilleure compréhension de la diversité des groupes humains et, deuxièmement, que la diversité génétique humaine dans son ensemble, y compris la diversité des groupes, enrichit grandement notre espèce.
2. Compréhension émergente de la diversité génétique humaine.
La diversité génétique est la différence dans la séquence d’ADN entre les membres d’une espèce. Il est présent dans toutes les espèces du fait de l’interaction des mutations, de la dérive génétique, de la sélection et de la structure de la population. Quand des groupes d’une espèce isolés de part la géographie ou d’autres moyens se reproduisent entre-eux, ils se différencient les-uns des autres dans le temps autour de leur pôle génétique.
L’homme anatomiquement moderne est apparu en Afrique orientale il y a environ 200.000 ans. Certains membres ont émigré hors de l’Afrique depuis 50.000 ans pour peupler l’Asie, l’Australie, Europe et éventuellement les Amériques. Pendant cette période jusqu’à présent, les barrières géographiques naturelles ont divisé l’humanité en plusieurs grandes races, délimitées essentiellement les lignes des continents, qui ont grandement réduit le flux de gènes entre eux. Les barrières géographiques et culturelles existent aussi au sein des grands groupes, mais à des degrés moindres.
Cette histoire de la démographie humaine, avec conjointement la sélection naturelle, a donné lieu à des modèles complexes de diversité génétique. L’unité de base de cette diversité est le polymorphisme – des sites spécifiques du génome existent sous des multiples variantes . De nombreux polymorphismes impliquent seulement un ou quelques nucléotides, mais certains peuvent impliqués d’importants segment du matériel génétique. La présence de polymorphismes conduit à la diversité génétique au niveau de l’individu est tels qu’il n’y a pas deux individus porteur du même ADN, à l’exception des vrais jumeaux. Les allèles de certains polymorphismes sont également présents dans des fréquences sensiblement différentes entre les groupes géographiques. Un exemple extrême est le gène SLC24A5 de la pigmentation. Un allèle du SLC24A5 qui contribue à éclaircir la pigmentation est présente chez presque tous les Européens, mais, est presque toujours absent dans chez les Asiatiques de l’Est et chez les Africains.
Compte tenu de ces polymorphismes géographiquement différenciés, il est possible de constituer
des groupes humains sur la base de leur constitution génétique. L’éloignement géographique de grands groupes de population séparées par des barrières continentales durant de longues périodes historiques sont telles que l’identité géographique d’une personne peut-être désignée dans une quasi certitude sur la base de son ADN seule (c’est d’ailleurs devenu une pratique acceptée dans le milieu judiciaire). Il y a plus de preuves que certains des polymorphismes géographiquement différenciées sont fonctionnels, ce qui signifie qu’elles peuvent entraîner des effets biologiques différents (juste combien est l’objet de recherches en cours). Ces polymorphismes peuvent affecter les traits tels que la pigmentation, l’adaptation alimentaire et la résistance aux pathogènes (où la preuve est plutôt convaincant), et le métabolisme, le développement physique et la biologie du cerveau (où les preuves sont plus préliminaires.
Pour la plupart des caractères biologiques, la différenciation génétique entre les groupes est probablement négligeable par rapport à la variation à l’intérieur du groupe. Pour d’autres traits, tels que la pigmentation ou l’intolérance au lactose, les différences entre les groupes sont si importantes que le caractère affiche une différence négligeable au sein du groupe, et à une autre extrémité, un caractère peut être sur-représenté au sein d’un même groupe.
Plusieurs études ont montré que de nombreux gènes dans le génome humain peuvent avoir subi des épisodes récents de sélection positive – à savoir, une sélection qui procure un avantage biologique à son porteur. Ces études se heurtent à la position défendue par certains spécialistes qui prétendent que les humains auraient cessé d’évoluer il y a 50,000-40,000 ans. Cette dernière théorie va à l’encontre du fait que les mécanismes de sélection au sein d’un même groupe augmentent le polymorphisme (différences physiologiques et physique) entre les groupes raciaux.
La lutte pour la préservation ethnique des peuples est un enjeu majeur, bien sur par le fait qu’il correspond au respect de l’ordre naturel, mais aussi parce qu’il est un moyen majeur pour combattre la machine mondialiste.
Au delà des débats d’ordre de « valeur » des races, la simple nécessité de préservation ethnique des peuples devrait être promue, et de façon beaucoup plus marquée, par TOUS ceux qui se réclament de la lutte anti-mondialiste.
Il n’y a rien de plus rationnel que de voir des pays comme par exemple l’Ecosse , l’Islande, (ou le Japon) qui ont une vraie homogénéité ethnique.
Les prosélytes du métissage ne sont que des apprenti sorciers voulant renier la nature.
Les mondialistes qui ont non seulement pour objectif de fondre les races de goyim en une race mondiale unique , mais aussi de convertir cette race au noachisme ( la déclinaison du judaïsme destinée aux goyim). Donc pour atteindre cet objectif il est nécessaire d’éradiquer toutes les religions autres que le judaïsme .

La spéciation est le mécanisme de sélection naturelle par lequel les êtres les mieux adaptés survivent dans leur milieu, ou « niche écologique ». 
Cette diversification est une constante de la vie, une stratégie évolutive pour pouvoir perdurer et surmonter les menaces dans le temps. Et plus le temps passe plus la diversité s’accroît, selon Darwin.
La consanguinité ? Si vous êtes si fort en écologie ou en biologie, vous devriez savoir qu’un seul couple mâle / femelle d’humains pourraient engendrer 70 millions d’enfants différents avant d’en produire deux semblables. De plus, il est reconnu dans la communauté scientifique travaillant à la conservation des espèces menacées, qu’une population de 50 individus est suffisante (dans les cas extrêmes et malheureusement de plus en plus fréquents) pour sauver une espèce animale et régénérer une population entière sans menace de consanguinité. Les problèmes de consanguinité ne se rencontrent que dans les cas des animaux domestiques dont la sélection n’a plus rien de naturelle depuis que l’homme les a destiné à la production. Ces pauvres bêtes seraient bien incapables de survivre plus de quelques jours dans une nature devenue hostile pour elles.
Vous êtes-vous posé une seule fois les questions suivantes ; pourquoi existe-t-il différentes races de tigres ? Pourquoi n’ont-t-ils pas dégénéré bien que les tigres blancs et les tigres jaunes ne se soient pas mélangés depuis des milliers voir des dizaines de milliers d’années ? Observe-t-on chez eux des traces de dégénérescence ou bien au contraire, une remarquable, une formidable adaptation au milieu et une santé/beauté sauvage qui émerveille tout les amoureux de la nature ?
Et est-ce la poursuite de cette spéciation ou bien le mélange, entre tigres blancs de Sibérie et tigres du Bengale qui pourrait favoriser leur survie ?
Et vous pouvez transposer cela à tout les êtres vivants.
Ces pseudo scientifiques qui sont en-pétrés dans l’idéologie mondialiste autant que dans les non-sens.
C’est ainsi que l’on peut entendre dans un même discours métissage et diversité, alors que le métissage est perte de diversité et que la diversité s’accroît par la spéciation.
La spéciation, qui résulte de l’adaptation au milieu ou en d’autres termes à l’environnement bio-géographique, augmente les chances de survie de l’espèce. D’un point de vue donc biologique la spéciation, moteur de la diversité est un facteur de survie. Il est évident que pour la tribu nomade qui nous mène à notre extinction, toute notion de race ou d’ethnie ou simplement de peuples enracinés est un obstacle et doit être combattu par tout les moyens. Car pour rendre un homme malléable, marchandisable, il faut le couper de ses racines, il doit oublier qu’il est. Et quoi de mieux qu’un métisse.
L’idée même de « brassage génétique » est une escroquerie mondialiste qui ne repose sur aucun fondement scientifique. La reproduction sexuée étant déjà un brassage génétique.
Le métissage n’est pas un phénomène naturel. la vie tend toujours à se diversifier, les individus tendent à se regrouper par groupes homogènes, c’est une question de survie ; la spécialisation et l’adaptation. Le métissage est une invention récente appuyé par un groupe humain pour détruire les nations et mieux dominer un monde où les hommes seront sans racines, donc plus manipulables.
Richard Coudenhove Kalergi est le père fondateur de l’Union Européenne
déclare que les habitants des futurs Etats Unis d’Europe ne seront plus les peuples originaires du Vieux Continent, mais plutôt une sorte de sous-humanité bestiale issue de mélanges raciaux. Il affirmait, sans demi-mesure, qu’il était nécessaire de « croiser » les peuples européens avec les Asiatiques et les Noirs, pour créer un troupeau multi-ethnique sans qualités spécifiques et facile à dominer pour les élites au pouvoir. Eliminer les nations en utilisant les mouvements ethniques séparatistes ou l’immigration allogène de masse. Pour que les élites puissent dominer l’Europe, il prévoyait de transformer les peuples homogènes en un peuple métissé; il attribuait aux métis des caractéristiques de cruauté et d’infidélité, entre autres. Ce peuple, selon lui, devait être créé et ce nouveau peuple métissé permettrait à l’élite de lui être supérieure.
En éliminant d’abord la démocratie, à savoir le pouvoir du peuple, et ensuite le peuple lui-même avec le métissage, les Blancs devaient être remplacés par une race métissée facile à dominer. En abolissant le principe d’égalité de tous devant la loi et en préservant les minorités de toute critique, avec des lois extraordinaires les protégeant, on réussirait à contrôler les masses.
les puissances occidentales se sont basées sur son Plan, les journaux et les services secrets américains ont financé ses projets. Ce qui est révolutionnaire dans son Plan, est qu’il ne préconise pas un génocide pour atteindre le pouvoir, mais qu’il prévoit de créer des « sous-humains » qui, en raison de caractéristiques négatives comme [l’incapacité] et l’instabilité, toléreront et accepteront cette « noble race ».
Ainsi, l’unique but de ces mesures est de dénaturer complètement un peuple, de le transformer en un ensemble d’individus sans plus aucune cohésion ethnique, historique et culturelle.
les thèses du Plan Kalergi ont constitué et constituent jusqu’à aujourd’hui la base de la politique officielle des gouvernements qui poussent au génocide des peuples européens à travers l’immigration de masse : les « enfants de Kalergi ».
Sous la double poussée de la désinformation et de l’abêtissement du peuple, grâce aux moyens de communication de masse, on a poussé les Européens à renier leurs propres origines, à oublier leurs propres identités ethniques. Les partisans de la globalisation s’efforcent de se convaincre que, renoncer à sa propre identité, est un acte progressiste et humanitaire, que le « racisme » est erroné, mais uniquement parce qu’ils aimeraient faire de nous des consommateurs aveugles.
En ces temps, il est plus que jamais nécessaire de réagir aux mensonges du Système, de réveiller l’esprit de rébellion chez les Européens. Il va falloir mettre sous les yeux de tous que l’intégration [de l’immigration de masse] équivaut à un génocide.
Race et intelligence : Le dernier tabou de la science
En fait, les scientifiques de la fin du XIXe et du début du XXe connaissaient l’inégalité des races, mais depuis 1945 et allant en augmentant au fil des ans, le silence sur ce sujet à fait place au tabou. Comme bien souvent, il suffit d’un peu de bon sens et d’observation pour que l’idée vienne d’elle-même. Il faut aussi, et c’est peut-être le plus difficile pour nos contemporains, retrouver la rigueur et l’objectivité scientifique. Pour cela, le chercheur doit faire preuve d’honnêteté et de courage dans une société dont l’idéologie conduit à la falsification et au mensonge afin de satisfaire le rêve égalitaire.
Mais les test de QI et la courbe de Bell ne suffisent pas. Il faudrait se pencher sur ce qu’il y a de plus profond et de plus mystique dans l’inégalité des races ; le génie créateur. Cette étincelle qui fait jaillir du cerveau de l’homme ce qui n’existait pas auparavant. Et l’on s’apercevrait que se soit dans le domaine de l’exploration technique, scientifique, artistique, voire même géographique (la conquête de terres nouvelles, de continents, de l’espace, les découvertes sont presque exclusivement dues au génie créateur de blanc.
Métissage et intelligence
Une fois que l’on a intégré les différences raciales de l’intelligence, on peut comprendre plus aisément que le métissage est une catastrophe pour la race la plus intelligente. Les études de raciologie montrent que l’intelligence du métis est en moyenne à mi-chemin entre les deux groupes raciaux qui le composent. Pour l’une des deux races, c’est une perte et pour l’autre c’est un gain. Le malheur est qu’aujourd’hui la plupart des Blancs ne sont absolument pas informé de cela, bombardés qu’ils sont du matin au soir d’égalitarisme.
Classement du Q.I des principales races et ethnies du monde.
Asiatiques de l’Est (principalement Japonais et Coréens) : 103
Européens : 100
Africains sub-sahariens : 70
Aborigènes d’Australie : 65
Les Nord Africains forts métissés depuis 5 siècle avec les négriers juifs, les populations de la péninsule d’Arabie et du sous continent indien de 85 à 90 (excepté un petit 75 sud de l’Inde). Le schéma est plus compliqué pour l’Amérique du Sud où le métissage est très répandu et donc le niveau se situe nettement en dessous de celui de l’Europe.
Le métissage à pour conséquence de baisser le niveau d’intelligence QI de sa descendance. Les asiatiques de l’Est peu soumis à la propagande du métissage, restent ethniquement très homogènes. Ils ont généralement une haute conscience raciale.
Les propagandistes du Métissage .
Les plus acharnés à propager le métissage et la société multiculturelle, parmi lesquels se trouvent de nombreux Juifs, veillent à ce que chez ceux règne l’endogamie, c’est-à-dire le mariage entre congénères. Ainsi, les Sarkozy, Attali, Fabius, Lang, Bruni, Sinclair, Désir, Strauss-Kahn, Kahn etc, etc ne se reproduisent qu’entre-eux et l’Etat d’Israël est le seul au monde à mener une politique pour le mariage des Juifs entre eux.
Certes, il n’y a pas que des Juifs, il y a aussi des idiots utiles, généralement incultes sur le sujets, mais aveuglés par l’idéologie et les mensonges savamment distillés par leurs maîtres juifs.
Nos actes conscients dérivent d’un substratum inconscient créé surtout par des influences d’hérédité. Ce substratum renferme les innombrables résidus ancestraux qui constituent l’âme de la race. Derrière les causes avouées de nos actes, il y a sans doute les causes secrètes que nous n’avouons pas, mais derrière ces causes secrètes il y en a de beaucoup plus secrètes
encore, puisque nous-mêmes les ignorons. La plupart de nos actions journalières ne sont que l’effet de mobiles cachés qui nous échappent.
C’est surtout par les éléments inconscients qui forment l’âme d’une race, que se ressemblent tous les individus de cette race, et c’est principalement par les éléments conscients, fruits de l’éducation mais surtout d’une hérédité exceptionnelle, qu’ils diffèrent. Les hommes les plus dissemblables par leur intelligence ont des instincts, des passions, des sentiments fort semblables. Dans tout ce qui est matière de sentiment religion, politique, morale, affections et antipathies, etc., les hommes les plus éminents ne dépassent que bien rarement le niveau des individus les plus ordinaires. Entre un grand mathématicien et son bottier il peut exister un abîme, au point de vue intellectuel, mais au point de vue du caractère la différence est le plus souvent nulle ou très faible.
Or ce sont précisément ces qualités générales du caractère, régies par l’inconscient et que la plupart des individus normaux d’une race possèdent à peu près au même degré, qui, dans les foules, sont mises en commun. Dans l’âme collective, les aptitudes intellectuelles des individus, et par conséquent leur individualité, s’effacent. L’hétérogène se noie dans l’homogène, et les qualités inconscientes dominent.

Gustave le bon : Lois psychologiques de l’évolution des peuples. Introduction
La civilisation d’un peuple repose sur un petit nombre d’idées fondamentales. De ces idées dérivent ses institutions, sa littérature et ses arts. Très lentes à se former, elles sont très lentes aussi à disparaître. Devenues depuis longtemps des erreurs évidentes pour les esprits instruits, elles restent pour les foules des vérités indiscutables et poursuivent leur œuvre dans les masses profondes des nations. S’il est difficile d’imposer une idée nouvelle, il ne l’est pas moins de détruire une idée ancienne. L’humanité s’est toujours cramponnée désespérément aux idées mortes et aux dieux morts. Il y a un siècle et demi à peine que des philosophes, fort ignorants d’ailleurs de l’histoire primitive de l’homme, des variations de sa constitution mentale et des lois de l’hérédité, ont lancé dans le monde l’idée de l’égalité des individus et des races. Très séduisante pour les foules, cette idée finit par se fixer solidement dans leur esprit et porta bientôt ses fruits. Elle a ébranlé les bases des vieilles sociétés, engendré la plus formidable des révolutions, et jeté le monde occidental dans une série de convulsions violentes dont le terme est impossible à prévoir1. Sans doute, certaines des inégalités qui séparent les individus et les races étaient trop apparentes pour pouvoir être sérieusement contestées 2 ; mais on se persuada aisément que ces inégalités n’étaient que les conséquences des différences d’éducation, que tous les hommes naissent également intelligents et bons, et que les institutions seules avaient pu les pervertir. Le remède était dès lors très simple : refaire les institutions et donner à tous les hommes une instruction identique. C’est ainsi que les institutions et l’instruction ont fini par devenir les grandes panacées des démocraties modernes, le moyen de remédier à des inégalités choquantes pour les immortels principes qui sont les dernières divinités d’aujourd’hui. Certes, une science plus avancée a prouvé la vanité des théories égalitaires et montré que l’abîme mental, créé par le passé entre les individus et les races, ne pourrait être comblé que par des accumulations héréditaires fort lentes. La psychologie moderne, à côté des dures leçons de l’expérience, a montré que les institutions et l’éducation qui conviennent à certains individus et à certains peuples sont fort nuisibles à d’autres, mais il n’est pas au pouvoir des philosophes d’anéantir les idées lancées dans le monde, le jour où ils reconnaissent qu’elles sont erronées. Comme le fleuve débordé qu’aucune digue ne saurait contenir, l’idée poursuit sa course dévastatrice, et rien n’en ralentit le cours. Cette notion chimérique de l’égalité des hommes qui a bouleversé le monde, suscité en Europe une révolution gigantesque, lancé l’Amérique dans la sanglante guerre de sécession et conduit toutes les colonies française à un état de lamentable décadence, il n’est pas un psychologue, pas un voyageur, pas un homme d’État un peu instruit, qui ne sache combien elle est erronée ; et pourtant il en est bien peu qui ose la combattre. Loin d’ailleurs d’être entrée dans une phase de déclin, l’idée égalitaire continue à grandir encore. C’est en son nom que le socialisme, qui semble devoir asservir bientôt la plupart des peuples de l’Occident, prétend assurer leur bonheur. C’est en son nom que la femme moderne, oubliant les différences mentales profondes qui la séparent de l’homme, réclame les mêmes droits, la même instruction que lui et finira, si elle triomphe, par faire de l’Européen un nomade sans foyer ni famille. Des bouleversements politiques et sociaux que les principes égalitaires ont engendrés, de ceux beaucoup plus graves qu’ils sont destinés à engendrer encore, les peuples ne se soucient guère, et la vie politique des hommes d’État est aujourd’hui trop courte pour qu’ils s’en soucient davantage. L’opinion publique est d’ailleurs devenue maîtresse souveraine, et il serait impossible de ne pas la suivre. L’importance sociale d’une idée n’a d’autre mesure réelle que la puissance qu’elle exerce sur les âmes. Le degré de vérité ou d’erreur qu’elle comporte ne saurait avoir d’intérêt qu’au point de vue philosophique. Quand une idée vraie ou fausse est passée chez les foules à l’état de sentiment, toutes les conséquences qui en découlent doivent être successivement subies. C’est donc au moyen de l’instruction et des institutions que le rêve égalitaire moderne tente de s’accomplir. C’est grâce à elles que, ré-formant les injustes lois de la nature, nous essayons de couler dans le même moule les cerveaux des nègres de la Martinique, de la Guadeloupe et du Sénégal, ceux des Arabes de l’Algérie et enfin ceux des Asiatiques. C’est là sans doute une bien irréalisable chimère, mais l’expérience seule peut montrer le danger des chimères. La raison ne saurait transformer les convictions des hommes. Cet ouvrage a pour but de décrire les caractères psychologiques qui constituent l’âme des races et de montrer comment l’histoire d’un peuple et sa civilisation dérivent de ces caractères. Laissant de côté les détails, ou ne les envisageant que quand ils seront indispensables pour démontrer les principes exposés, nous examinerons la formation et la constitution mentale des races historiques, c’est-à-dire des races artificielles formées depuis les temps historiques par les hasards des conquêtes, des immigrations ou des changements politiques, et nous tâcherons de démontrer que de cette constitution mentale découle leur histoire. Nous constaterons le degré de fixité et de variabilité des caractères des races. Nous essaierons de découvrir si les individus et les peuples marchent vers l’égalité on tendent au contraire à se différencier de plus en plus. Nous rechercherons ensuite si les éléments dont se compose une civilisation : arts, institutions, croyances, ne sont pas les manifestations directes de l’âme des races, et ne peuvent pour cette raison passer d’un peuple à un autre. Nous terminerons enfin en tâchant de déterminer sous l’influence de quelles nécessités les civilisations pâlissent, puis s’éteignent. Ce sont des problèmes que nous avons longuement traités dans divers ouvrages sur les civilisations de l’Orient. Ce petit volume doit être considéré simplement comme une brève synthèse. Ce qui m’est resté de plus clair dans l’esprit, après de lointains voyages dans les pays les plus divers, c’est que chaque peuple possède une constitution mentale aussi fixe que ses caractères anatomiques, et d’où ses sentiments, ses pensées, ses institutions, ses croyances et ses arts dérivent. Tocqueville et d’autres penseurs illustres ont cru trouver dans les institutions des peuples la cause de leur évolution. Je suis persuadé au contraire, et j’espère prouver, en prenant précisément des exemples dans les pays qu’a étudiés Tocqueville, que les institutions ont sur l’évolution des civilisations une importance extrêmement faible. Elles sont le plus souvent des effets, et bien rarement des causes. Sans doute l’histoire des peuples est déterminée par des facteurs fort divers. Elle est pleine de cas particuliers, d’accidents qui ont été et qui auraient pu ne pas être. Mais à côté de ces hasards, de ces circonstances accidentelles, il y a de grandes lois permanentes qui dirigent la marche générale de chaque civilisation. De ces lois permanentes, les plus générales, les plus irréductibles découlent de la constitution mentale des races. La vie d’un peuple, ses institutions, ses croyances et ses arts ne sont que la trame visible de son âme invisible, Pour qu’un peuple transforme ses institutions, ses croyances et ses arts, il lui faut d’abord transformer son âme ; pour qu’il pût léguer à un autre sa civilisation, il faudrait qu’il pût lui léguer aussi son âme. Ce n’est pas là sans doute ce que nous dit l’histoire; mais nous montrerons aisément qu’en enregistrant des assertions contraires elle s’est laissé tromper par de vaines apparences. Les réformateurs qui se succèdent depuis un siècle ont essayé de tout changer : les dieux, le sol et les hommes. Sur les caractères séculaires de l’âme des races que le temps a fixés, ils n’ont rien pu encore. La conception des différences irréductibles qui séparent les êtres est tout à fait contraire aux idées des socialistes modernes, mais ce ne sont pas les enseignements de la science qui pourraient faire renoncer à des chimères les apôtres d’un nouveau dogme. Leurs tentatives représentent une phase nouvelle de l’éternelle croisade de l’humanité à la conquête du bonheur, ce trésor des Hespérides que depuis l’aurore de l’histoire les peuples ont poursuivi toujours. Les rêves égalitaires ne vaudraient pas moins peut-être que les vieilles illusions qui nous menaient jadis, s’ils ne devaient se heurter bientôt au roc inébranlable des inégalités naturelles. Avec la vieillesse et la mort ces inégalités font partie des iniquités apparentes dont la nature est pleine et que l’homme doit subir


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