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I N D E X G É N É R A L
des P R O L É G O M È N E S d’ I B N K H A L D O U N
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AAL. Signification de ce mot, II, 193.
AAMA (EL-)
ET-TOTEÏLI, poète espagnol, III, 425, note.
AAMECH (EL-), traditionniste, II, 163,
note.
AARON ; son sacerdoce, I, 409,
note.
ABBACIDES ; leur généalogie, I,
26.
— Leur nombre sous El-Mamoun, I, 356.
— Les premiers souverains de cette famille étaient des
hommes vertueux, 420.
— Pourquoi Dieu leur enleva le pouvoir, ibid.
— Établissement de leur empire, II, 136.
ABBADAN, lieu, I, 133, 145.
ABBAN IBN SALEH, traditionniste, II,
188, note.
ABBAR (IBN EL-), historien, II, 228,
229, note, 394, note.
ABBAS (EL-), le Ghomaride, I, 331.
ABBAS (IBN), cousin de Mohammed, I, 33,
note.
ABBAS (ABOU ‘L-), prince hafside, I, Introd. XLVI, XLVIII, LXIX, II, 16,
note.
ABBAS (ABOU
‘L-) IBN ABI SALEM, prince mérinide, I, Introd.
LXIII.
ABBAS (ABOU ‘L-). Voyez ZOUAOUÏ (EZ-).
ABBASA, sœur de Haroun er‑Rechîd.
— Le récit de son mariage avec Djafer le Barmekide est
indigne de croyance, I, 26 et suiv.
ABBELI
(EL-), I, Introd. XXIV, XXV, XXVI.
— Récit fait par ce docteur, I, 202, 203.
— Autre récit fait par ce professeur, II, 351.
ABD ALLAH. Voyez (IBN) MASOUD et (IBN)
EZ-ZOBEÏR.
ABD ALLAH, fils
d’Ahmed Ibn Hanbel, II, 185.
ABD ALLAH
(ABOU), le Chîïte, I, 40 ; II, 216.
ABD IBN HAMID,
traditionniste, II, 472, note.
ABD
ALLAH IBN ABBAS, cousin de Mohammed, I, 33, note.
ABD ALLAH IBN CAÏS. Voyez MOUÇA (ABOU) EL-ACHARI.
ABD ALLAH IBN DJAFER, petit‑fils d’Abou
Taleb, II, 420, note.
ABD ALLAH IBN
HADDJADJ, chef d’une puissante famille de Séville, I, Introd. XI et suiv.
ABD ALLAH IBN EL-HARETH, un des Tabis
et cadi de Médine, II, 169, note.
ABD ALLAH IBN EL-HARETH EZ-ZOBEÏDI, un
des musulmans qui assistèrent à la conquête de l’Égypte, II, 184, note.
ABD
ALLAH IBN MEROUAN, prince omeïade.
— Son entretien avec El-Mansour, I, 421, 422.
ABD
ALLAH IBN OMAR, I, 33, note.
— Il s’absenta lors de l’inauguration deYezîd, I, 428.
ABD ALLAH IBN SAÏD, docteur, III, 72.
ABD ALLAH
EL-MEROUANI, émir omeïade de l’Espagne, I, Introd.
X, XI, XII.
ABD ED-ADHÎM
(MOHAMMED IBN), poète de Guadix, III, 441.
ABD EL-AZÎZ,
fils de Mouça Ibn Noceïr, mis à mort par Soleïman Ibn Abd el‑Melek, II, 123.
ABD AL‑AZIZ. Voyez
ABD ES-SELAM (IBN).
ABD EL-BERR
(IBN), traditionniste et historien, I, Introd.
VIII, note.
ABD EL-CAOUÏ. Cette famille toudjînide
prétendait descendre d’El-Abbas, fils d’Abd el Mottaleb, I, 278.
ABD EL-DJEBBAR (IBN), omeïade espagnol,
I, 380.
ABD EL-DJEBBAR, le cadi, III, 33, note.
ABD EL-HACC, le cadi, II, 61, note.
ABD EL-HAKEM (IBN), notice de ce personnage
et de ses fils, III, 11.
ABD EL-HAMÎD, le kateb, II, 22,
note.
— Copie de son épître sur les devoirs d’un secrétaire,
29 et suiv.
ABD
EL-HAMÎD (AHMED IBN), I, 364.
ABD EL-KERÎM
IBN MONKED, il fut envoyé par Saladin à la cour du sultan almohade, II, 44.
ABD EL-MELEK
IBN HABÎB, docteur malekite, III, 15, 16, note.
ABD EL-MELEK
IBN MEROUAN, khalife omeïade ; justification de sa conduite, I, 419.
— Consigne qu’il donna à son
chambellan, 447, II, 7.
ABD
EL-MESÎH, devin, I, 224 ; II, 207.
ABD
EL-MOHEÏMEN, traditionniste et grammairien magbrehin, I, Introd. XXIII, XXVI, XXIX.
ABD EL ‑OUAD (BENI), I, Introd. XXVII
— Leurs trésors, I, 368.
— Organisation de leur empire, II,
16, note, 17.
ABD EL-OUEHHAB, le cadi, II, 270,
note ; III, 12, note.
ABD
ER-RAHMAN, fils d’El-Mansour Ibn Abi Amer, I, 380.
ABD
ER-RAHMAN IBN AOUF, I, 416, note.
ABD
ER-RAHMAN IBN REBÎAH, I, 298, note.
ABD
ER-RAHMAN IBN ZÎAD, II, 394, note.
ABD
ER-RAHMAN, prince mérinide, I, Introd.
LXIII.
ABD ER-REZZAC IBN HEMMAM. II, 184, note.
ABD
ER-REZZAC (IBN), I, Introd. XXXIV.
ABD
ES-SELAM ES-SELEMI (IBN), docteur chaféite, III, 13, note.
ABD ES-SELAM EL-KOUMI, ministre almohade, II, 14.
ABD ES-SELAM
(IBN), grand cadi de Tunis, I, Introd.
XXII ; II, 442 ; III, 21.
ABD RABBOU (IBN), littérateur, I, Introd. XIII, 30, note, 38 ; III,
423.
ABDA
(IBN ABI), I, Introd. X et suiv.
ABDA (BENI ABI), II, 101, note.
ABDALS (Les), II, 168, note ; 179.
— La doctrine de leur existence s’introduisit chez les Soufis,
190 ; III, 104, 106.
ABDI (ABOU HAROUN EL-), II, 174.
ABEILLES. Elles
obéissent à un souverain, I, 89.
— Manière d’en produire un essaim,
III, 256.
ABHERI (Le cadi ABOU BEKR EL-), III,
15.
ABIOUERDI
(EL-), I, 44, note.
ABLA, ville, I, 150 ; III, 457.
ABLAC
(EL-) EL-ACEDI, I, 225.
ABONDANCE ET DISETTE
— Leur influence sur la constitution de l’homme, I,
177, 178, et sur celle des animaux, ibid.
— Les peuples qui vivent dans l’abondance ont la
réputation d’avoir l’esprit lourd, 179.
ABOUAB
(EL-), ville, I, 156.
ABOU
ACÎDA, le Hafside, I, Introd. XVII.
ABRAHAM
(La station d’), I, 42, note.
ABRÉGÉS.
Leur multiplicité nuit à l’acqui sition
des connaissances, III, 274 et suiv.
ABRÉGÉS
historiques ; leurs défauts, I, 7, 8.
ABROGEANTS
et ABROGÉS. Versets du Coran ainsi nommés, II, 464 ; III, 2.
— Certaines traditions sont ainsi nommées,
28.
ABSENT
(L’) ou invisible. Selon les anciens Acharites, on pourrait juger de l’absent
d’après le présent, ou visible, III, 157, note.
ABSTINENCE. Voyez JEÛNE.
ABYSSIN.
Signification particulière attribuée à ce nom, I, 171, 173.
ACABA
(L’), lieu, I, 131.
ACALIYA.
Signification de ce terme, I, In trod.
XXV, note.
ACB
(IBN ABI), personnage imaginaire, II, 232.
ACCAPAREMENT,
pratique très nuisible quand les gouverneurs de provinces s’y livrent, II, 98,
99, 112, 350, 351.
ACCEPTABLE.
Signification de ce terme, II, 467.
ACCIDENTS. Ils ne durent pas deux instants
de temps, mais sont créés à chaque instant, III, 59.
ACCOUCHEMENTS (L’art des), II, 331 et
suiv.
ACED
IBN FORAT. Son démêlé avec Ibn el-Cacen,
et Sohnoun, III, 16
— Note sur ce docteur, ibid.
ACED IBN MOUÇA, traditionniste, II,
174, note.
ACED ES-SONNA, traditionniste, II, 174.
ACED (BENI), branche de la tribu des Coreïch,
I, 442, note.
ACEDIYA. Remarques sur l’ouvrage, qui
porte ce titre, III, 16.
ACEM IBN ABI’N‑NEDJOUD, lecteur coranique, II, 162, note.
ACHA (EL-), poète, II, 256 ; III,
400, note.
ACHARI (EL-), théologien, I, 192, note.
— Sa doctrine, III, 58.
— Ses controverses avec les Motazelites, 72.
ACHARITES. Leur doctrine relativement
aux miracles, I, 192.
— Autres doctrines qu’on leur attribue, III, 157,
note.
AGHATH (EL-) IBN CAÏS, chef de la tribu
de Kinda, I, 289.
ACHATH (IB EL-), historien de Séville,
I, Introd. X.
ACH’HEB, docteur malekite, III, 11,
note.
ACHÎR, lieu, I, 127, note.
ACHTER (EL-), un des généraux du khalife
Ali, II, 84, 85.
— Sa harangue aux troupes, ibid.
ACQUISITION, Signification de ce terme,
II, 319.
ACTE. Le commencement de l’acte est la
fin de la réflexion, etc. II, 429 ; III, 258.
ACTES. Ceux qui sont autorisés par le
législateur et ceux qu’il a condamnés, III, 185, 186. — De ceux qui sont
indifférents il vaut mieux s’abstenir, 186.
ACTIONS, Selon les motazelites, l’homme
est le créateur de ses actions, III, 70.
ADAB EL-BAHTH, traité de dialectique,
III, 38, note.
ADALA, Les
fonctions de cet office, I, 456, 457.
— Signification de ce terme, 458.
ADAM (La mosquée d’), II, 271.
ADDAM (ﻢﺍﺪﻌﻠﺍ), prince idricide, I, 53,
note.
ADEB, Voyez LITTÉRATURE.
ADEB EL-KATEB, traité de littérature,
III, 330.
ADEL, Signification du mot, I, Introd. LXXVI, note.
— Les attributions de ce fonctionnaire, 456.
— Les qualités qu’il doit posséder, 457.
ADEN, ville, I, 121.
— Ses déserts, 23, 24.
ADENA,
lieu, I, 143.
ADERBEÏDJAN,
I, 146, 155.
ADHERI
(EL-), géographe, I, 112.
ADI (IBN), traditionniste, II, 172,
note, 177, 178.
ADITES,
Monuments ainsi nommés, II, 243.
ADJDABIYA, ville, I, 129.
ADJEM, Signification de ce terme, II,
223, note ; III, 10, note.
ADJMA, accent étranger, III, 306.
ADJERI (EL-),
traditionniste, II, 171, note.
ADKECH (Les), peuple, I, 158.
ADL, Voyez ADEL.
ADLANT, montagne, I, 91, note.
ADRAAT, lieu, I, 132.
ADRIATIQUE (L’), I, 151, note.
AFDEL
(EL-) IBN AMÎR EL-DJOÏOUCH. Trésor
laissé par ce ministre, I, 367.
AFFIRMATION (ﻒﻴﺪﺻﺗ), I, 201,
note ; III, 150, 151.
— Voyez JUGEMENT.
AFFRANCHIS ET CLIENTS.
C’est sur eux que le souverain s’appuie dans ses luttes avec les gens de sa
propre tribu, I, 372, 373.
— Leur condition quand leur patron a
obtenu la souveraineté, I, 374 et suiv.
AFÎF (IBN EL-), soufi, III, 103.
AFRAG. Signification de ce mot, II, 70.
AFRIQUE. On croyait que la côte orientale
de ce continent se prolongeait jusqu’à la mer vis‑à‑vis de la Chine, I, 118,
note.
— Voyez MAGHREB.
AFTAS (EL-), Alide qui s’empara du trésor
de la Mecque, II, 262, 263.
AGAR, femme d’Abraham, II, 254.
AGENT LIBRE. Ce qu’on entend par ce terme,
I, 189, note ; II, 385.
AGENT SPIRITUEL. Son existence démontrée,
I, 197, 198.
AGENT (L’) UNIQUE, c’est Dieu, III,
244.
— Pourquoi les scolastiques fondent leurs arguments
sur ce principe, ibid.
AGHANI. Voyez KITAB EL-AGHANI.
AGHLEBITES (Les). Leur conduite équivoque
envers les Abbacides, I, 48 et suiv.
AGHMAT, ville, I, 126.
AGRICULTEURS. État des peuples
agricoles 1, 256.
— Ils subissent l’autorité des habitants des villes,
316, 317.
AGRICULTURE. En quoi elle consiste, II,
368, 369.
— C’est le moyen le plus facile et le plus naturel de
gagner sa vie, II, 325.
— Chapitre sur l’agriculture, III, 165.
— Il n’y a que les hommes de peu de considération et
les campagnards besoigneux qui s’y adonnent, II, 347 et suiv.
AGRICULTURE NABATÉENNE. Observations sur cet ouvrage,
III, 165, 171.
AHDEB (EL-), arithméticien, III, 134.
AHKAF (Les), pays, I, 95, note, 121.
AHKAM EL-MOALLEMÎN OUAL‑MOTEALLEMÎN (guide
des précepteurs et des étudiants), ouvrage d’Ibn Abï Zeïd el‑Cairouani, I,
267.
AHMED IBN ABD EL-HAMÎD, I,
634.
AHMED
IBN HANBEL, un des quatre imams, I, 36, note ; II, 163, note.
— Ses disciples étudièrent sous les
élèves d’Abou Hanîfa et formèrent ensuite une école à part, III, 8.
— Esprit turbulent de ses
sectateurs, 9.
AHMED
IBN IDRÎS, savant de Bougie, I, Introd. LXXII.
AHMED
LE SICILIEN, commandant de la flotte
almohade, II, 43.
AHMER (BENI ’L‑). Leur empire en Espagne, I, 318,
339.
AHMER
(IBN EL-), Mohammed I, souve rain de
Grenade, I, Introd. XIV, XV. —
Mohammed V, XLII, XLIII, 338.
AHOUAS
(EL-), le poète, III, 390, note.
AHSA
(EL-), pays, I, 133.
AÏCACH.
Ce mot désigne une certaine clas sification
des lettres de l’alphabet arabe, I, 242, 243.
AÏCHA,
femme de Mohammed.
— Ren seignement
transmis par elle, I, 15. Anecdote racontée d’elle et d’Abou Bekr, 228.
— Ce qu’elle disait des versets motechabeh,
III, 67.
AÏDAB, ville,
I, 123.
AIL. Mohammed
n’en mangeait pas, I, 187.
AÏLA, lieu, I,
130.
AÏN. Voyez
KITAB EL-AÏN.
AÏN ZERBA,
fille, I, 143.
AIR. Son
influence, I, 174 et suiv.
— Ce qui nuit à sa pureté, II, 275.
AISANCE.
L’aisance d’un peuple ajoute d’abord à la
force de l’empire, I, 355 et suiv.
— Elle dépend du bas prix des grains,
II, 353.
AÏT EL-CACEM,
nom par lequel les Beni Zîan, souverains
de Tlemcen, désignaient leur famille, I, 278.
AÏYACH (ABOU),
traditionniste, II, 188, 189.
AÏYACH (ABOU BEKR IBN), traditionniste,
II, 166, note.
AKFANI (IBN EL-), jurisconsulte de Baghdad,
I, 44.
AKHTAB (Les fils d’), deux juifs contemporains
de Mohammed, II, 211.
AKÎC (EL-), lieu, I, 417, note.
AKÎL, fils d’Abou Taleb, savait lire et
écrire, II, 21.
AKÎLI (ABOU DJAFER EL-), docteur en traditions,
II, 165, note, 168.
AKOUA (SELMA
IBN EL-). Son aventure avec El-Haddjadj,
I, 260, 261.
ALA (ABOU ’L-), poète, III, 375, note,
380.
ALAINS (Les), I, 161.
ALAKI (EL-), montagne, I, 119.
ALAMA, parafe impérial, I, Introd. XXVI, XXX, XXXI, XLVI,
note ; II, 63, 64.
ALAYA (EL-), ville, I, 143.
ALBANIE (L’), I, 141.
ALBATEGNIUS,
III, 148, note.
ALBUCASIS,
III, 138, note.
ALBUMAZER. Voyez MÂCHER (ABOU).
ALCAMA, poète, III, 391, note.
ALCAMA, traditionnisle, II, 176, note.
ALCANTARA, ville, I, 139.
ALCHIMIE. Chapitre sur cet art, III,
207.
— Elle consiste à donner la forme de l’or à un autre
métal, ibid.
— Auteurs qui ont écrit sur ce sujet, 208 et suiv.
— Ce qu’on doit penser de l’alchimie, 226.
— Motifs qui ont porté les hommes à la cultiver, 249
et suiv., 263.
— Sa fausseté démontrée, 258.
— Elle conduit à la falsification de la monnaie, 253.
ALCHIMISTES. Leurs occupations, III,
254.
— Leurs deux théories, 254, 255.
— Il y en a parmi eux qui cherchent à frauder le
public, 252.
ALEPPO, I, 143.
ALEXANDRE D’APHRODISÉE, III, 125.
ALEXANDRE LE GRAND. Fable racontée à
son sujet par Masoudi, I, 73, 74.
— La barrière qu’il fit construire, I, 163, 164.
ALEXANDRIE, I, 130.
— Prise de cette ville par les Fatemides, II, 136,
note.
— On l’appelait la Frontière, 252.
ALFADH (ﻅﺎﻔﻠﺍ), titre d’un lexique ou
vocabulaire arabe, III, 320.
ALGÈBRE, III, 135 et suiv.
ALGER, I, 127.
ALGESIRAS, I, 138, 139.
ALHAZEN, I, III, note.
ALI. Ce que ce khalife disait des musulmans
qui ne voulaient pas se soumettre à son autorité, I, 429.
— Mohammed avait‑il désigné Ali comme héritier de
l’imamat ? 430, 431.
— Pourquoi on déclarait que son inauguration était
nulle, 435.
— Harangue adressée par ce khalife à ses troupes, lors
de la bataille de Siffïn, II, 84.
ALI (ABOU).
Voyez EL-CALI et EL-FARECI.
ALI EL-ADJEMI, calligraphe, II, 400.
ALI
EL-RIDA, Alide, I, 429.
ALI IBN MOUÇA. Le khalife EL-Mamoun le
désigna comme son successeur, I, 429.
ALI IBN OMAR, chef des Beni Amer, tribu
maghrébine, III, 421.
ALI IBN ZÎAD EL-YEMAMI, traditionniste,
II, 182.
ALI
ZEÏN EL-ABEDÎN, I, 403 ; II, 262, note.
ALICANTE, I, 140.
ALIDES. Leurs fréquentes révoltes, I,
43.
— Leurs partis, 400 et suiv.
— Les Alides du Hidjaz, II, 200.
ALIMENTS. On peut s’habituer à s’en
passer, I, 181, 182.
ALKALÇADI. Son arithmétique, I, 242,
note.
ALKHAYYAMI, mathématicien, III, 137.
ALKÎMÎA. Voyez KIMYA et ALCHIMIE.
ALLAF
(EL-), Motazalite, III, 71.
ALMAGESTE,
III, 147.
ALMERIA,
ville, I, 739.
ALMILEND
(amiral), II, 37.
ALMOHADES. Cette dynastie avait pour ennemis
les docteurs de la loi, I, 54.
— Les peuples almohades, 63, note.
— Chute de leur empire à Maroc, II, 442.
— Origine de leur nom, I, 467.
ALMOHADES (Cheikh des), II, 14.
ALMOHADES HAFSIDES, durée de leur empire,
I, 336.
ALMORAVIDES,
I, 63, note.
— Étendue de leur empire, 303.
ALMUÑECAR, ville, I, 139.
ALOUA, lieu, I, 117, note.
ALOUÏ (EL-),
théologien, métaphysicien et chérif, I, Introd.
XXXIV.
AMAÏENNE. Voyez PRÉSENCES.
AMANA (le symbole de Nicée), I, 475.
ÂME HUMAINE. Sa nature, I, 198.
— Elle touche d’un côté à la catégorie des anges et de
l’autre à celle des corps, et peut se dépouiller de la nature humaine, ibid.
— Elle tend à devenir une intelligence pure, 200.
— Les âmes humaines se partagent en trois classes,
200 et suiv.
— Certaines âmes peuvent acquérir la nature angélique
pendant un seul instant de temps, 202.
— En quoi consiste la forme qui rend complet
l’existence de l’âme, 219.
— Selon Mohammed, toutes les âmes naissent avec la même
disposition naturelle, 259. — L’âme croit avec le corps, III, 84.
— Son existence et ses facultés, selon les
philosophes, 230.
— Il est impossible d’en connaître la nature, 234.
— Selon les philosophes, l’homme a le pouvoir de
corriger son âme et de l’épurer, 238. — C’est en recueillant des perceptions
que l’âme passe de la puissance à l’acte, 387.
ÂME
PARLANTE (ou raisonnable), I, 199, note.
ÂME
PERCEPTIVE. Ce que c’est, I, 198.
AMEDI
(EL-), auteur d’un commentaire sur l’Icharat
d’Avicenne, III, 162.
AMEDI
(SEÏF ED-DÎN EL-), docteur cha féite,
III, 33.
AMER
IBN MOHAMMED, chef berber, I, In trod.
LIV.
AMER
(IBN ABI), vizir espagnol, I, 62, 65 ; II,
455, note.
AMER
(BENI), tribu arabe du Maghreb, I, Introd. LIII ; III, 421.
AMERIDES (Les), I, 380.
AMID, ville, I, 143, 156.
AMÏD (IBN EL-), I, 475.
AMÏDI (ROKN ED-DÎN EL-), docteur
hanefite, III, 39, note.
AMIRAL. Voyez ALMILEND.
AMMAR ED-DEHEBI, traditionniste, II,
181.
AMMAR (EÏKRIMA IBN), traditionniste,
II, 182, note.
AMMAR (IBN), seigneur de Tripoli de
Syrie, II, 103 ; III, 458.
AMMOUSIYA, ville, I, 154.
— Prise de cette ville par les musulmans, 356, note.
AMOL, ville, I, 136, 148.
AMORIUM,
I, 154.
— Prise de cette ville par El-Motacem, 356.
AMR, IBN EL-ACI. Sa description de la
mer, II, 39.
AMR IBN DJABER EL-HADRAMI,
traditionniste, II, 179, 185.
AMR
IBN EZ-ZOBEÏR. Il reçut de Moaouîa un mandat pour une somme d’argent et altéra
cette pièce, II, 64.
AMR (ABOU). Voyez DANI (ED-).
AMR (IBN ABI), chambellan mérinide, I, Introd. XXXIII.
AMRAN EL-MECHEDDALI, professeur de
droit, II, 443.
AMRAN (BENI), famille idricide, I, 53.
AMULETTE. Voyez TALISMANS.
AMULETTE centuple numérique, III, 185.
AMULETTE sextuple, III, 180.
ANAZARBA, ville, I, 1143.
ANBAR (EL-), ville, I, 145.
ANBARI (IBN EL-), grammairien, III, ;
8, note.
ANBERDIYA, pays, I, 152.
ANBESA, copiste de livres, II, 225.
ANCAZI (EL-), traditionniste, II, 181,
note.
ANCIEN (éternel a parte ante),
III, 73.
ANDALOS, pays, I, 139.
ANDALOUSIE
(L’) occidentale et orientale, I, Introd.
XIV, note.
ÂNE (L’HOMME Â), II, 216, note.
ANÈS IBN MALEK, traditionniste, II,
181, note.
ANGLETERRE,
I, 160, 164.
ANGUELTARA,
I, 160.
ANGORA, I, 143.
ANIMAL, terme d’alchimie, III, 216,
note.
ANIMAUX. Influence des villes sur les
animaux, II, 281, 282.
ANKABORDIYA, pays, I, 141.
ANKEBARDA, pays, I, 152.
ANKELAIYA, ville, I, 152, 160.
ANMAT (EL-), traité de magie et de talismans,
III, 194, 195.
— Son caractère, 198.
ANNULATEURS, sobriquet donné aux Motazelites,
III, 75, note.
ANODCHIROUAN. Parole de ce prince, I,
80.
ANSARS (Les), I, 436, note ; II,
270.
ANTAKIYA, ville, I, 143.
ANTALIYA, ville, I, 143.
ANTARA, poète, III, 391, note.
ANTARSOUS,
I, 142.
ANTHROPOMORPHISME,
III, 55, 76.
ANTIOCHE, I, 743.
AOUD (le luth), II, 420.
AOUEIMER
IBN ZEÏD. Voyez DERDA.
AOUF EL-AARABI, traditionniste, II,
173, note.
AOUF (BENI), famille de jurisconsultes,
III, 19.
AOUF (IBN)
EZ-ZOHRI, jurisconsulte, III, 19, note.
AOUL (ﻞﻮﻋ), terme de droit, III, 139.
AOULÎL, péninsule, I, 114, note.
AOUTHAN,
cap, I, 129.
AOUWAM
(IBN EL-). Cet écrivain abrégea le traité
de l’Agriculture nabatéenne, III, 166.
APPARENCES (ﺮﻫﺎﻅﻤ) (La doctrine des),
III, 98, 100.
APPARIEMENT (ﺔﻴﻌﻓﺸ), III, 109.
APPÉTIT CONCUPISCIBLE, I, 412.
APPÉTIT IRASCIBLE, I, 412.
APPOLONIUS, mathématicien grec, II,
378.
APPROPRIATION (ﻒﺎﺼﺗﺍ), III, 46, note.
AQUEDUC DE CARTHAGE, I, 360 ; II,
244, 245.
AQUILÉE, I, 152, 160.
ARABES. Les Arabes d’Ibn Khaldoun sont
les Arabes nomades, I, 255, note
— Ils étaient habitués aux privations, 415.
— Leur ignorance grossière lors de la conquête de la
Perse, 351.
— Ils ne peuvent établir leur domination que dans les
plaines, 309.
— Tout pays conquis par eux est bientôt ruiné, 310.
— Ils sont incapables d’organiser un gouvernement
régulier, 311 et suiv.
— C’est seulement sous l’influence d’une doctrine
religieuse qu’ils parviennent à fonder un empire, 313.
— Ils sont le peuple le moins capable de gouverner un
empire, 314.
— Ils ont peu de disposition pour l’exercice des
arts, III, 365, 366.
— Étendue de leur empire, I, 334.
— Leurs occupations à la suite de la conquête, III,
300.
— Dans les temps anciens ils avaient envahi, dit‑on,
la Mauritanie, l’Irac et l’Inde, I, 303.
— Entrée des
Arabes nomades dans la Mauritanie, III, 407, note.
— Les Arabes de la Mauritanie composent encore des
vers et y montrent un certain talent, III, 404.
— La poésie des Arabes modernes est dédaignée par les
hommes instruits, III, 405 ; bien qu’elle ait beaucoup de mérite, 406.
— Voyez LANGUE ARABE.
ARABE (La langue). Voyez LANGUE ARABE.
ARAB‑CHAH
(IBN), historien, I, Introd.
LXXXVIII.
ARAÏCH
(EL-), ville, I, 127.
ARAL,
lac, I, 157.
ARBITRE (LIBRE), I, 189, note.
ARBOUNA, ville, I, 141 — Voyez
NARBONNE.
ARCA, ville, I, 131, 142.
ARCHE DE L’ALLIANCE. Son histoire, II,
263 et suiv.
ARCHITECTES, désignés comme experts,
II, 374.
— Le khalife el-Ouelîd en fit venir de Constantinople,
375.
ABCHITECTURE, II, 369 et suiv.
ABD (EL-) EL-MAHFOURA, pays, I, 167.
ABD (EL-) EL-MONTENA, pays, I, 162,
166.
ARDEBÎL, ville, I, 155.
ARDJOUZA. Indication de trois traités
grammaticaux qui portent ce titre, III, 312.
AREBI (ABOU BEKR IBN EL-), le cadi, I,
442, note.
— Son système d’enseignement, III, 289, note.
AREBI (IBN EL-) EL-HATEMI, écrivain mystique,
II, 191, 231 ; III, 103.
— Extrait d’un de ses ouvrages, II, 193.
AREFA (IBN), docteur tunisien, I, Introd. LXX, LXXI.
ABEDJ (EL-), montagne, I, 132.
ARFA‑RAÇOU (IBN), poète espagnol, III,
424.
ARFADJA
IBN HERTHEMA. Il fut le premier musulman
qui fit une expédition maritime, II, 39.
— Anecdotes de ce chef, I, 56, 274.
ARGUMENTS inverses, III, 158.
ARîCH,
ville, I, 131.
ARîF (AOULAD), tribu de la Mauritanie,
I, Introd. LIH.
ARÎS, puits, II, 62.
ARISTOTE. Parole qu’on lui attribue, I,
81.
— Il eut Platon pour précepteur, III, 125.
— Il fut le précepteur d’Alexandre, 231.
— Ses travaux sur la logique, 151.
— Son Organon, 152 et suiv.
— Ses ouvrages furent traduits en arabe sous
El-Mamoun, 161.
ARITHMÉTIQUE. Problème curieux, I, 252.
— Chapitre sur l’arithmétique, III, 129 et suiv.
— Son utilité, III, 123.
ARKOCH,
lieu, I, 327.
ARMÉE. — Les armées des premiers musulmans
se composaient de plusieurs tribus dont chacune campait à part, II, 69.
— Force de l’armée musulmane sous Mohammed, I,
355 ; et sous le khalife EL-Motacem, 356.
— Voyez TABIYA.
ARMÉNIE, I, 142, 146, 155, 156.
ARMINIYA
(l’Arménie), I, 155,
ARRADJAN, ville, I, 133.
ARRAFS (SORCIERS). Voyez SACHANTS.
ARRAN, pays, I, 156.
ARSENAL MARITIME. Abd el‑ Melek Ibn Merouan
fonda un arsenal à Tunis, II, 40.
ARTS. Lors de la conquête musulmane,
les arts florissaient chez les peuples étrangers, lI, 274.
— Influences subies par les arts dans les villes très
peuplées, 284 et suiv.
— Quelles sont les personnes qui cultivent les arts
dans les grandes villes, 312.
— On n’apprend pas un art sans maître, 357 et suiv.
— Les arts se perfectionnent avec le progrès de la civilisation,
358 et suiv.
— Leur durée dans une ville dépend de l’ancienneté et
de la civilisation de cette ville, 360 et suiv.
— Certains arts se maintiennent dans des villes qui
sont en pleine décadence, 361.
— Les musulmans espagnols ont conservé une grande
habilité dans les arts, 361, 362.
— État des arts dans la ville de Tunis, 362.
— A quoi tient l’amélioration des arts, 363, 364.
— Leur décadence suit celle de la ville où on les
cultive, 364.
— Les arts qui se cultivent chez les Arabes et les
Berbers, 365.
— État des arts dans l’Orient, 366.
— Celui qui est habile dans un art parvient rarement à
en bien apprendre un autre, 366, 367.
— Arts de la première importance, 367 et suiv.
— La pratique de certains arts ajoute à l’intelligence
de ceux qui les exercent, 422 et suiv.
ARUSPICES,
I, 222.
ARZACHEL,
astronome, III, 148, note ; 149, note.
ASAD
(ABOU KERIB). Ses prétendues conquêtes,
I, 20, 21.
ASAS EL-BELAGHA, dictionnaire d’expressions
figurées, III, 318.
ASATÎL. Signification de ce mot, II,
37, note.
ASB, espèce d’étoffe, II, 366, note.
ASBAGH IBN EL-FEREDJ, docteur de la
loi, III, 19, note.
ASBAGH. Voyez SEMH (IBN ES-).
ASCALON, ville, I, 131.
ASCENDANT. Signification de ce terme,
III, 179, note, 201.
ASPI, port de mer, I, Introd. LXIV, 126.
ASÎLA, ville maritime, I, 127.
ASLAM IBN SIDRA, II, 393, note.
ASLEM (ABOU
HAMEL CHODJÂA IBN), algébriste, III, 137.
ASMAÏ (EL-), philologue, I, 30, note.
ASMAÏENNES.
Certains poèmes sont ainsi nommés, III, 404.
ASMONÉENS
(Les), I, 471.
ASOUAN,
ville, I, 118.
ASOUED
(ABOU ’L-), III, 310, note.
ASR. A quelle heure du jour cette
prière a lieu, II, 195, note, 209, 213, note.
ASS. Signification de ce terme, I, 248,
note ; III, 135.
ASSASSINS (Les) ISMAÉLIENS, I, 142.
ASSIMILATEURS
(anthropomorphistes), III, 77
ASSIMILATION.
Affirmer la ressemblance de Dieu avec ses créatures, III, 54, 57.
ASSIMILATION DES. ATTRIBUTS, III, 55.
ASTERABAD, lieu, I, 134.
— Montagne d’Asterabad, 148.
ASTRES. Leurs
mouvements, I, 100.
— Leurs influences sont nulles, II,
289.
ASTRES (Les volumes des sept),
traité astrologique, III, 172.
ASTROLOGIE. Sa vanité démontrée, III,
240.
— Mauvais effets de son étude, 245.
— On devrait en défendre la pratique, ibid.
— Difficultés dont son étude est entourée, 246.
ASTROLOGUES. Ils prétendent obtenir les
perceptions du monde invisible, I, 231.
— Les anciens musulmans les consultaient, II, 208.
— Comment les astrologues forment des jugements
relativement à la durée des dynasties, 217 et suiv.
— Causes qu’ils assignent à la prospérité d’un pays,
289.
ASTRONOMIE.
Son objet, III, 123.
— Chapitre sur cette science, 145.
ATABEK.
Signification de ce titre, I, 368, note ; III, 467.
ATAMECH, affranchi turc, I, 374.
ATIYA (IBN), secrétaire au service du
gouvernement almohade, II, 14.
ATIYA (IBN), docteur de Cordoue, II,
462, note ; III, 457.
ATIYA (ABD EL‑HACC IBN), docteur de
Grenade, II, 61, note.
ATLAS
(montagne). Ce nom était connu des Arabes, I, 91.
ATMOSPHÈRE. Son influence sur les hommes,
I, 168 et suiv. 174 et suiv.
ATOMES (Doctrine
des), III, 59, 157, 160.
ATTABI (EL-),
poète, III, 385, note, 397.
ATTABI. (tabis),
espèce d’étoffe, I, 365, note.
ATTAR (IBN EL-), docteur, II, 480.
ATTENDU, I, 405.
— Voyer aussi IMAM ATTENDU.
ATTRIBUTS ESSENTIELS. Il y en a quatre,
III, 56.
ATTRIBUTS
DIVINS. Les termes qui les expriment doivent être regardés comme motachabeh
(de signification incertaine), III, 69.
— Différences d’opinion au sujet des
attributs, ibid. 70.
— Il y en a qui pourraient conduire à
la doctrine d’anthropomorphisme, III, 73.
AUGURES, I, 222 et suiv.
AURAS, montagne, I, 128.
AUTORITÉS. La soumission des citadins
aux autorités constituées nuit à leur courage ; I, 264 et suiv.
— La possession de l’autorité est une source de
richesses, II, 324, 336.
— Nécessité d’une autorité supérieure, 339, 340.
AVANIES. Elles nuisent à la prospérité
de l’État ; II, 112 et suiv.
AVÉNPACÉ. Voyez SAÎGH (IBN ES-).
AVENZOHAR. Voyez ZOHR (IBN).
AVERROÈS (IBN ROCHD). Son opinion relativement
aux régions équatoriales et australes du globe, I, 105.
— En quoi il fait consister la noblesse des familles,
282, 283.
— Il fit un résumé de l’Almageste ; III, 147.
— Il commenta les ouvrages d’Aristote et en fit des
abrégés, 154, 161. Il fit un résumé de la Métaphysique d’Aristote, 167.
AVICENNE (IBN
SÎNA). On lui attribue une melhema, II, 232.
— Son opinion sur la permanence des
espèces, 384 et suiv.
— Son opinion sur le prophétisme,
III, 82.
— Selon lui, il ne peut y avoir dans
le monde deux cotbs à la fois, 104.
— Il se distingua dans l’étude de la
philosophie, 127.
— Il composa un traité sur les
mathématiques, 131, 141 ; et un abrégé de l’Almageste, 147.
— Il composa des commentaires sur les
livres d’Aristote, 154 ; et des ouvrages sur la médecine, 163.
— Il a donné un précis de la
Métaphysique d’Aristote, 167. Il suivit les errements d’Aristote, 231, 232.
— Ses ouvrages, 236.
— Sa doctrine relativement à la
transmutation des métaux, 255
— Son opinion sur la nature des
métaux, 254, 255.
— A quelle cause il attribue la
rareté de l’or et de l’argent, 260.
— Bien qu’il fût riche, il s’occupa
de l’alchimie, 263.
AZEFI
(EL-), I, Introd. XV.
AZGAR (Les), peuple berber, I, 122,
note.
AZRAKI, historien de la Mecque, II,
262, note.
BAADJÎN,
sorciers qui font mourir le bétail, III, 181.
BAALBEK, I, 132.
BAB (EL-), ville, I, 298, note.
BAB EL-ABOUAB, I, 156.
BAB EL-MANDEB, I, 119.
BABBA.
Signification de ce titre, I, 468, 475, 476.
BACA (ABOU ’L-) KHALED, souverain hafside, II, 229,
note.
BACHKIRS
(Les), I, 162, 166.
BADAKHCHAN,
pays, I, 135.
BADAJOZ,
ville, I, 139.
BADDJA
(IBN), philosophe, III, 127, note.
— Il se distingua aussi comme poète, 426, 427.
BADICI (ABOU YACOUB EL-), saint personnage
du Maghreb, II, 199.
BADICIDES (Les). Voyez ZÎRIDES.
BADIS, ville, Introd. XXXVII, 127, 138.
BADIS (ABOU ALI
IBN), cadi de Constantine, II, 228.
BADJERÎKI (EL-), soufi, II, 232, 235,
236.
BADJERÎKIYA (Les), II, 236.
BADJI (ABOU ’L‑OUELÎD EL-), III, 10,
note.
BADJI (Les), famille arabe de Séville,
I, Introd. XIV, XV.
BAGHDAD,
I, 145.
— Prise de cette ville par les Tartares II, 137.
— Destruction des livres à Baghdad par les Tartares,
225.
— Sa grandeur au temps d’El-Mamoun, 239.
— Un poète paraît avoir désigné la Mecque par ce nom,
III, 410.
BAGHLI, espèce de dirhem, II, 56, 57. Son
poids, 59.
BAGUE, servant de cachet, II, 63.
— C’est un des insignes de la souveraineté, 66.
BAHR (IBN), grammairien et philologue,
I, Introd. XXI.
BAHREÏN (Le), pays, I, 124, 132, 133.
BAIN. Ses effets excitants, I,
175 ; III, 378.
BAÏOUNA, ville, I, 151.
BAKER
(MOHAMMED EL-), l’un des douze imams, I, 403.
BAKHT‑ICHOUÉ et sa famille, I, 34.
BARHT‑NASAR,
I, 15.
BAKI (IBN), poète, III, 425,
note ; 426.
— Voy. Dict biogr. d’Ibn‑Khallikan,
trad. vol. IV, p. 88.
BAKILLANI (Le cadi ABOU BEKR EL-), I,
42, note.
— Son opinion relativement à l’imamat, 396.
— Ses doctrines scolastiques, III, 59.
— Son opinion relativement aux arguments inverses,
158.
BAKYAK, affranchi turc, I, 374.
BALÉARES (Les), III, 440, note.
BALENCIYA, ville, I, 140.
BALKH,
ville, I, 134.
BALKHA,
rivière, I, 136.
BAMBYCE, ville, I, 143.
BANBELOUNA, ville, I, 150.
BAOUWAB (IBN EL-), II, 400.
— Poème composé par lui sur l’art de l’écriture, 403.
BARBE. Les calendriers introduisirent l’usage de se raser la
barbe, II, 235.
BARCA, ville, I, 129.
BARCELONE,
I, 141, 151.
BARCHELOUNA, I, 141.
BARCOUC, I, Introd.
LXXII, LXXXIII.
— Sa mort, LXXXIV, 369.
BARMA, montagne, I, 146, 155.
BARMEKIDES. Cause prétendue de leur
chute, I, 26.
— La véritable cause de cette catastrophe, 27 et suiv.
— Il y avait un grand nombre de hauts dignitaires
barmekides à la cour de Haroun er-Rechîd, 28 ;
— Leur influence, ibid.
29.
— Quelle était, la nature de leur noblesse, 284, 285.
BASES DE LA JURISPRUDENCE, III, 25, 31.
— Ce fut Abou Zeïd ed‑Debouci qui, chez les Hanefites,
acheva le développement de cette science, 32.
BASRA (EL-), ville, I, 132.
BASTA,
ville, I, 139, 140.
BASTAMI.
Voyez BESTAMI.
BATAILLE. Il y en a deux ordres, II,
76.
BATALIOUS, ville, I, 139.
BATALYOUCI (EL‑), grammairien, III,
424, note, 426.
BATEN (l’interne, le sens
allégorique), III, 105.
BATÉNITES ou BATÉNIENS (Les), I, 410
— Ils appliquaient aux textes sacrés l’interprétation
allégorique, III, 3, note.
— Voyez
ISMAÎLITES.
BATENIYA. Voyez BATÉNITES.
BAT’HA, ville africaine, I, Introd. XXXIII.
BAT’HOUS, pays, I, 154.
BÂTIR (L’ART DE), II, 369 et suiv.
— Diverses branches de cet art, 372, 373.
— Ses procédés, ibid.
— Voy. HABITATIONS.
BATN NEMRA,
localité prés de Taïf, II, 261.
BATOUTA (IBN).
Son ouvrage, I, 370, 371.
BATRÎK. Signification de ce titre, I,
474.
BATTAL (IBN), traditionniste, II, 475,
note.
BAZA,
ville, I, 139, 1 140.
BAYONNE,
I, 151.
BECHÎR IBN NEHÎK, traditionniste, II,
186.
BECHÎR (IBN), docteur malékite de
Tunis, III, 17.
BECHROUN (IBN). Reproduction de son
épître sur l’alchimie, III, 209 et suiv.
BEDÂ (ﻊﻀﺑ).
Signification de ce mot, II, 197.
BEDAWIYA,
poèmes ainsi nommés, III, 404.
BEDDJANA
(PECHINA), rendez‑vous ordinaire de la flotte musulmane‑espagnole, II, 40.
BEDÎA (EL-), titre d’un ouvrage sur la
jurisprudence, III, 35.
BEDÎA’Z‑ZEMAN, III, 386, note.
BEDÎL (ABOU), client de la famille des
Abbacides, II, 225.
BEDJA, ville de la Mauritanie, I, Introd. XXVII.
BEDJA, peuple, I, 95, 119.
BEDJAIA, ville, I, 127.
BEDJNAK, peuple, I, 162 ; 166.
BEDR (PUITS DE). Mohammed adressa la
parole aux cadavres qu’on y avait jetés, III, 83.
BEDR EL-DJEMALI, I, 367.
BEDRA. Signification de ce mot, I, 352.
BEHEMONT,
I, 2, 3, note.
BEHLOUS, pays, I, 145, 146.
BEHMEN, roi de Perse, II, 265, note.
BÉIÂ, forme d’inauguration, I, 424 et
suiv.
BEÏÇANI (EL-), le cadi El-Fadel, II,
44, note ; III, 386, note, 468, note.
BEÏDAOUÏ (EL-),
III, 34, note, 62.
BEÏHAKI (EL-),
légiste, I, 20, note.
BEÏLACAN, province, I, 155, 161.
BEÏROUT,
ville, I, 132.
BEÏT (famille noble), , I, 280.
BEÏT‑LAHM, ville, II, 267.
BEÏT EL-MACDIS, II, 263.
BEÏT (EL-) EL-MAMOUR, II, 254, note.
BEIYAN, traité de rhétorique, III, 326,
330.
BEKKA, un des noms de la Mecque, II,
261.
BEKKAR (IBN), cadi de Grenade, II, 474.
BEKR (ABOU). Ce khalife eut une fois
une inspiration divine, I, 228.
— Pourquoi les compagnons le reconnurent pour khalife,
I, 431.
BEKR (ABOU) MOHAMMED IBN KHALDOUN, I, Introd. XVI.
BEKR (ABOU). Voyez YAHYA ABOU BEKR
(ABOU).
BEKRI (ABOU
OBEÏD EL-), géographe, I, 66, note.
— Passage de sa Description de
l’Afrique cité, II, 448, note, 459, note.
BELAT
EL‑OUELÎD, I, 360 ; II, 268.
BELÉNDJAR, peuple, I, 162.
BELERM, ville, I, 141.
BELFÎKI (EL-), cadi de Grenade, II,
475, note.
— Son opinion au sujet d’un traité d’alchimie, III,
252.
— Ce qu’il disait de ceux qui cultivent le style
fleuri, 398.
BELHERA, ville, I, 124, note.
BELOBOUNÈS, pays, I, 141.
BELOUT, montagne, I, 160.
BENARIYA, peuple, I, 166.
BÉNÉFICE. Signification de ce terme,
II, 319 et suiv. 348.
BENNA
(ABOU ’L-ABBAS IBN EL-), I, Introd. XXV, 245, note ; III, 132, note, 133, 149.
BERAAT EL-ISTIHLAL, terme de
rhétorique, III, 450.
BERADAÏ (EL-), I, Introd.
XXII ; III, 17, note, 270.
BERBAT, instrument de musique, II, 412.
BERBERA, peuple, I, 95, note, 119.
BERBERS. Ils conservent leur
indépendance, I, 309.
— Leurs fréquentes apostasies, I, 337.
— Les arts qu’ils cultivent, II, 365.
— Voyez LANGUE BERBÈRE.
BERRI. Signification de ce mot, II,
331, note ; III, 124.
BERCAGHA, pays, I, 165.
BERDAÏ (EL-). Voyez BERADAÏ (EL ‑).
BERDHÂA, ville, I, 155.
BERNÎC, ville, I, 129.
BERTANIYA, pays, I, 159.
BERTHAS, peuple, I, 162.
BERZEKH (les limbes), I,
202 ; III, 78, 79, 80, 83.
BERZEKH de la perfection nominale, III,
194, note.
BECHAR IBN
BORD, III, 390, Ilote.
BESdUIRT, peuple, I, 162.
BESSÂM (IBN), historien, I, 353, note.
BESSASÎRI (EL-). Il proclame à Baghdad
l’autorité des Fatimides, I, 41.
BESTAM
IBN CAÏS, I, 289.
BESTAMI (ABOU
YEZÎD EL-), III, 113, Ilote, 196, note.
— Miracle opéré en sa faveur, III,
197.
BETHLÉEM, II, 267.
BETRANI (EL-), lecteur du Coran,
I, Introd. XX.
BETTANI
(EL-), astronome, III, 748, note.
BEZDOUÏ.
Voyez PEZDEVI.
BEZZA
(IBN ABI), traditionniste, II, 165.
BEZZAR
(ABOU BEKR AHMED EL-), traditionniste, II, 159, note, 185.
BEZZAR (KHALEF
EL-), lecteur du Coran, I, 69, note, 477.
BÎBARS
EL-BONDOCDARI, II, 234.
BÎBARS
EL-DJACHNEGUÎR, I, 367.
BIBLE (La).
Livres dont elle se compose, I, 473.
BIBLIOTHÈQUE.
Dispersion de la bibliothèque fondée à Tunis par l’émir Abou Zékériya Ier, II,
104, note.
BÎCHA, ville, I, 152.
BICHR IBN MEROUAN, prince omeïade, II,
181, note.
BICHR IBN MOFADDEL EL-REKACHI, traditionniste,
II, 176, note.
BIEN ET MIEUX. Doctrine motazelite qui
est ainsi désignée, III, 58, 70, 72.
BILAC, ville, I, 117, note.
BÎLECAN
(EL-), ville, I, 146.
BILEDULGERID,
I, 175, note.
BÎRA (EL-), ville, I, Introd. XLIV.
BIRDECÎR,
ville, I, 134.
BISKERA, ville, I, 127.
BISTAM, ville, I, 147.
BÎTOU, ville, I, 159.
BOGHA, émir turc, I, 49, 374.
BOHÊME, Pays, I, 160.
BOHTORI (EL-), poète, III, 376, note,
397.
BOK, instrument de musique, II, 411.
BOKEÏR (IBN), docteur malekite, II,
469, note.
BOKHARA, ville, I, 148, 149.
BOKHARI (EL-) compilateur de
traditions, I, 18, note ; II, 470.
— Anecdote racontée de ce docteur, 477.
BOLGAR, pays, I, 166.
BOLKÎNI (CIRADJ ED-DÎN EL-), III, 13,
note.
BOLOGGUÏN
IBN ZÎRI, I, 69 ; II, 42.
BÔNE, ville, I, 128.
BONHEUR SUPRÊME. En quoi il consiste,
selon les philosophes, III, 229, 230.
— L’âme, disent‑ils, n’a pas besoin de la révélation
pour l’atteindre, 230.
— Réfutation de cette doctrine, 234, 235, 236.
— Parole d’un philosophe au sujet du bonheur suprême,
236.
— Ce que les philosophes enseignent à cet égard, 237.
BONNE FOI.
Elle est rare chez les trafiquants, II, 354, 355.
BORAC (Le), III, 82, note.
BORAL (IBN), instituteur, I, Introd. XIX, XX.
BORD (Beni), II, 101, note.
BORDA, le manteau de Mohammed, II, 66,
note.
BORDA (NÎAR ABOU). Histoire de son chevreau,
I, 262, note.
BORDJAN, peuple, I, 161.
BORDJI (EL-), ministre du sultan
mérinide Abou Eïnan, I, Introd. XXXIV, LXXIII.
BORGHOUNA,
Pays, I, 151.
BORGHOUNIYA,
pays, I, 160.
BORGOCHT,
ville, I, 150.
BORHAN, traité de scolastique, III, 32.
BORSA, ville, I, 154.
BORTAT (EL-), montagne, I, 140.
BOST, ville, I, 140.
BOTTAM (EL-), montagne, I, 135, 148.
BOUAC (IBN EL-), grand trésorier de
l’empire mérinide, I, 368.
BOUAMÏA, pays, I, 160, note.
BOU‑CACIS, III, 138, note.
BOUCHENDJ,
ville, I, 134.
BOUGIE, ville,
I, 127.
BOUÏDES. Les
princes de cette famille ne parlaient pas habituellement l’arabe, III, 399.
BOUÎTI (EL-), docteur chaféite, III,
11, note.
BOULOUNIYA,
pays, I, 160.
BOUNI (EL-),
auteur qui a écrit sur les talismans, etc. III, 189, note. Voyez ANMAT.
BOURAN, fille d’El-Hacen Ibn Sehel.
— Son aventure avec El-Mamoun, I, 38.
— Son mariage avec ce khalife, I, 352.
BOURGES, I, 151.
BOURGOGNE (La), I, 151, 160.
BRAVOURE (La) La soumission des habitants
des villes aux autorités constituées nuit à leur bravoure ; I, 264.
BRESNIER, professeur d’arabe à la
chaire d’Alger, III, 190, note.
BRETAGNE (La), I, l59.
BRIGANDAGE. Pourquoi la loi l’a frappé
d’une peine, II, 110, 111.
BRIQUE (La) d’argent, II, 193.
BRIQUE (La) de la maison, II, 193.
BRIQUE (La) d’or, II, 194.
BROUSSE, ville, I, 154.
BULGARES (Les), I, 161, 162, 163.
BULGARIE (La), I, 166.
BURGOS, ville, I, 150.
BUTIN. Dans quelques expéditions faites
par les premiers musulmans, chaque cavalier reçut, pour sa part du butin,
trente mille pièces d’or, I, 415.
BUZURDJMIHR. Sa réponse à Nouchrewan,
qui lui avait demandé comment l’empire des Perses passerait aux Arabes, II,
222.
CAABA (LA). Elle fut construite par Abraham
et Ismaîl, II, 255.
— Sa reconstruction, 257.
— Signification de ce nom, 261.
CABALE (propriétés occultes des
lettres de l’alphabet), III, 188.
CABELA (sage‑femme), II, 382.
CABÈS. Comment le territoire de cette
ville fut assaini, II, 248, 250.
CABÎSA IBN DOUEÏR, traditionniste, I,
121, note.
CABOUN (EL-), village, II, 237.
CACEM (ABOU ’L-), surnom de Mohammed,
II, 186, note.
CACEM (ABOU ’L-), cadi de Grenade, III,
392.
CACEM (ABOU ’L-) EZ-ZEHRAOUÏ, médecin
espagnol, III, 138, note.
CACEM
(EL-) IBN MOHAMMED, I, 419.
CACEM (EL-) EL-BESSI ; l’Alide, I,
212, note.
CACEM
(IBN EL-) EL-OTAKI, docteur malekite, I, Introd.
XXII, note ; III, II, note.
CACEM IBN MERA, réformateur des mœurs,
II, 204, 205.
CACHAN, ville, I, 134, 146.
CACHET. Comment se prend l’empreinte
d’un cachet, II, 63, 64.
— Le cachet de Mohammed, 61, 62.
— Diverses manières de cacheter les dépêches, 65.
— Voyez SCEAU.
CACHETER (TERRE À), II, 65.
CACHMÎR, pays, I, 125.
CACHTALA, pays, I, 150.
CACÎDA. Forme de ce genre de poème,
III, 366 et suiv.
— Diverses manières de commencer une cacîda, 369, 370,
371.
CADASTRE. Voyer DIVAN.
CADECIYA, ville, I, 132.
— Bataille qui y eut lieu, 15, 325.
CADI. Les fonctions de cet officier, I,
448 ; ses devoirs, 450.
— Les cadis ont quelquefois exercé des commandements
militaires, I, 62, 452.
CADI’L‑DJEMÂA,
I, Introd. XXII, note.
CADI (Le). On désigna par ce surnom le
docteur Abou Bekr el‑Bakillani, III, 321.
CADI (EL-) EL-FADEL, II, 44, note.
Cette note renferme une grave erreur ; III, 468 ; III, 386, note.
CADIX, I, 139.
CAF (ﻖ) et KAF (ﻚ). Prononciation de
ces lettres chez les Arabes nomades, III, 338, 339, 340, 341.
CADI MILITAIRE. Sa juridiction, I, Introd. XXXIV, note.
CAFSA, ville, I, 128.
CAHREM (IBN), traditionniste, II, 187.
CAHREMAN, titre donné à l’intendant du
palais chez les Hafsides, II, 15.
CAHTABA
(BENI), I, 29 ; II, 101, note.
CAHTABA
IBN CHEBÎB, I, 29, note ; II, 101, note.
CAÏANIENS, dynastie, I, 20, 22.
CAÏD, commandant de navire, II, 40.
CAÏLA (BENI), II, 269, 270.
CAÏM (EL-), le Fatimide, II, 136, note.
CAIRE (Le). Description de cette ville,
I, Introd. LXXII, 130.
CAIROUAN (La catastrophe de), I, Introd. XXVIII.
CAÏS (AMR IBN ABI), traditionniste, II,
166, 167.
CAÏS
IBN ACEM, I, 289.
CAÏS
IBN DOREÏDJ, poète, III, 397.
CAÏSERIYA, ville, I, 131.
CAÏSIYA, genre de poèmes ainsi nommés,
III, 404.
CALA (EL-), ville du Maghreb, I,
320 ; II, 118, 298, note.
— Le minaret de cette ville, II, 243.
CALABRE (La), I, 141, 152.
CALANECI (EL-), docteur, III, 72.
CALÂT
AIYOUB, I, 140.
CALÂT IBN SELAMA, château fort de la
province d’Oran, I, Introd. IV, LXVII.
CALÂT
REBAH, I, 139, 140.
CALÂT
SINAN, I, Introd. XVII, note.
CALATAYUD,
I, 140.
CALATRAVA, I, 139, 140.
CALB, le centre d’une armée, II, 78.
CALCUL (L’art du), III, 132 et suiv.
CALENDERS. Voyez CARENDELIYA.
CALHAT,
ville, I, 124.
CALI (ABOU
ALI’L‑), III, 330, note.
CAMHIYA (EL-), nom d’un collège au
Caire, I, Introd. LXXIII.
CAMNOURIYA, pays, I, 121, note.
CAMPAGNE. Les habitants de la campagne
sont moins corrompus que ceux des villes, I, 259 et suiv.
— Ils sont aussi plus braves, 263 et suiv.
— Leurs habitudes, 263, 264.
— Ils ne sont pas assez riches pour habiter les
villes, II, 286 et suiv.
— Ils jouissent ordinairement d’une bonne santé, 390,
391.
CAMPS RETRANCHÉS. Les premières armées
musulmanes s’en servaient, II, 83.
CANABI (EL-), docteur malekite, II,
469, note.
CANDAHAR, pays, I, 124.
CANNES À SUCRE. Manière d’en produire,
III, 256.
CANOUN, instrument de musique, II, 412,
note.
CANOUN ET-TAOUÎL, titre d’un récit de
voyage, III, 289, note.
CANTARET ES-SEIF, I, 139.
CANTIQUES. Les cantiques composés à la
louange de Dieu et du Prophète sont rarement bons, III, 380.
CAOUASEM (EL-), traité de théologie, I,
442.
CAPITALE D’UN EMPIRE. Sa prise amène la
chute de la dynastie, I, 333.
CARAFI (CHIHAB
ED-DÎN EL-), docteur malekite, II, 443, note, lII, 34.
CARCACHOUNA, ville, I, 141, 151.
CARCASSONNE,
I, 14I, 151.
CAREB
IBN EL-ASOUED, chef arabe, I, 211, note.
CARENDELIYA, ordre de derviches, II,
235.
CARMAT (Le), chef des Carmats, I, 41,
42.
CARPATHES (Les), montagnes, I, 160.
CARRÉ, en algèbre, III, 132, 136.
CARRÉS
MAGIQUES, III, 180.
CARTES GÉOGRAPHIQUES, I, 99, 166, note.
CARTHAGE.
Son aqueduc, I, 360 ; II, 244, 245.
CARTHAGÈNE,
I, 140.
CASÎR
(IBN EL-), instituteur, I, Introd.
XXII.
CASR
IBN HOBEIRA, I, 144.
CASR
(EL-) EL-KEBÎR, I, Introd. XXXVII.
CASR
KOTAMA, I, 126, note.
CASR
EL-MEDJAZ, I, 138.
CASR
(EL-) ES-SAGHÎR, I, 127, note.
CASRI
(KHALED EL-), I, 373, note ; II, 56.
CASSAB (EL-), défilé, I, Introd. LIII.
CASSAR (IBN EL-), grammairien, I, Introd. XXI.
CASSAR (IBN EL-), docteur malekite,
III, 15.
CASSI (IBN), prince espagnol, I,
327 ; II, 192.
CASTALLI (EL-), savant et poète
espagnol, III, 356, note.
CASTÎLA
(Estella), ville, I, 150.
CASTILLE,
I, 150.
CASUALITÉ.
Ce principe, nié par les Acharites, est
admis par les philosophes d’entre les musulmans, c’est‑à‑dire par les
Motazelites, I, 192, note.
— Voyez CAUSES.
CATADA,
traditionniste, II, 169.
CATARACTES DU
NIL, I, 117, 118.
CATTAN (ABD
ALLAH IBN ADI EL-), traditionniste, II, 172, note.
CATTAN (AMRAN EL-), traditionniste, II,
1 70.
CATTAN (YAHYA IBN SAÎD IBN EL-), traditionniste,
II, 165, note. Son autorité avait peu de valeur, 170, 214, note.
CAUCASE. Voyez COUCAIA.
CAUSES ET EFFETS. Ils forment une
série, II, 428, 429, 430 ; III, 40 et suiv.
— L’investigation des causes est interdite, III, 42,
43.
— On peut supposer que la puissance divine est le lien
qui attache les causes aux effets, III, 244.
CAVERNE (Gens de la), I, 405, note.
CAZOUÎN, ville, I, 147, 156.
CAZOVÎNI (DJELAL ED-DÎN MOHAMMED EL-),
auteur d’un ouvrage sur la rhétorique, III, 326, note.
CEUTA, ville, I, 127, 138.
CHAAB (Le), une des limites du
territoire de la Mecque, II, 261.
CHABAN (IBN), docteur malekite, III,
12, note.
CHABI (ES-), docteur, III, 65.
CHACH (ES-), pays et rivière, I, 99,
148, 149.
CHADAN, astrologue (?), II, 220.
CHADROUAN (ES-). Une partie de la Caaba
est ainsi nommée, II, 259, note.
CHAFEÏ
(ES-), l’imam, II, 189, note.
— Il étudia sous les disciples d’Abou Hanîfa avant de
fonder une école particulière, III, 8.
— Indication des pays où sa doctrine est reçue, 10.
— Parole de cet imam au sujet des Motazelites, 72.
CHAHDJAN,
ville, I, 133.
CHAÎNE (Montagne de la), I, 142, 144,
145, 156.
CHAKER (BENI), mathématiciens et ingénieurs,
III, 143, note.
CHALAMANCA, ville, I, 150.
CHALEUR (LA) ET LE FROID. Leurs causes,
I, 103, 104.
CHAM. La nature de la malédiction que
Noé prononça contre lui, I, 170.
CHAMBELLAN. Voyez HADJEB.
CHAMEL, titre d’un ouvrage théologique,
III, 60.
CHAMEAU. Influence de la chair et du
lait des chameaux sur la constitution de l’homme, I, 183.
— Pays qui conviennent le mieux à ces animaux, 256,
257.
— Mode d’existence des peuples qui les élèvent, ibid.
CHANT (L’art du), II, 410 et suiv.
— Manière de chanter le texte du Coran, II, 415, 416.
CHANT poétique, II, 417, 418.
CHANT‑MARIYA. Voyez CHENT‑MERIYA.
CHANT‑YACOUB, ville, I, 150.
CHANTEURS perses et grecs, II, 420.
CHARAT, montagne dans le sud de la Syrie,
I, 132.
— Chaîne de montagnes en Espagne, I, 139.
CHARGES PUBLIQUES. Charges qui existent
sous la royauté, II, 5, et sous le khalifat, 8.
CHARH
CHAOUAHED EL-MOGHNI. Explication des
exemples cités dans le Moghni ’l-Lebîb, III, 313, note.
CHARME qui amène une vision, I, 217.
CHARPENTIER, (L’art du), II, 376.
CHARRUE. Voyez SOC.
CHASOUNIYA,
pays, I, 160.
CHATEBA, ville, I, 140.
CHATEBI (ES-), auteur d’un traité sur
la lecture du Coran, I, Introd.
XX ; II, 456, note ; III, 389.
CHATEHAT. Signification de ce terme,
III, 110, 112.
CHATFA, espèce de drapeau, II, 52,
note.
CHÂTIMENTS CORPORELS, III, 292.
CHEBABA, instrument de musique, II,
411.
CHEDDAD
IBN AAD, I, 23.
CHEDÎD
IBN AAD, I, 23.
CHEF SUPRÊME. Dans la société humaine
un tel personnage est absolument nécessaire, I, 89, 291 et suiv. 341, 342, 380
et suiv., 389.
CHEFS DE TRIBU. Qualités par lesquelles
ils doivent se distinguer, I, 302.
CHEFA. Titre d’un ouvrage d’Avicenne,
III, 131, note, 161.
CHEGOUBIYA, ville, I, 150.
CHECOUBA, ville, I, 140.
CHEHERBERAZ, roi d’El-Bab, I, 298.
CHEHRESTANI, auteur d’un traité sur les
sectes, I, 410, note.
CHEHRZOUR, montagne, I, 145.
— ville, 146.
CHEÏBA IBN OTHMAN, Coreïchide qui se
rallia au parti de Mohammed, II, 262.
CHEÏBA (IBN), compilateur de
traditions, II, 182, note.
CHEÏBAN EL-YECHKORI, chef kharidjite,
II, 81.
CHEÏKH DES ALMOHADES, premier ministre
et régent de l’empire hafside, II, 14.
CHEÏKHS (Les cieux), II, 165, 190.
CHEÏZER,
forteresse, II, 44.
CHELAUBÎN, professeur et auteur, III,
392, note.
CHELB, ville, I, 139.
CHEMMAKH (ES-), assassin du fondateur
de la dynastie idricide, I, 47, 48.
CHEMS EL-MAAREF, traité de talismans,
etc. III, 189, 194.
CHENT‑MERIYA, ville, I, 139.
CHENTERIN, ville, I, 139.
CHERAT, pays sur la route de Damas à
Médine, I, 407.
CHEREF (IBN), poète et natif de
Cairouan, I, 321, 466 ;
— poète espagnol, III, 428.
CHERÎF (SALEH IBN), littérateur et
poète, III, 356, note.
CHERÎFS. Le syndicat des cherifs
n’existe plus, I, 461.
CHETNOUF, ville, I, 130.
CHÎAH, montagne, I, 157, 162, 163.
CHÎAH KOUIA (SÎAH KOUH), montagne, I,
162.
CHIBL IBN MESKIANA, III, 416.
CHIBRÎN (IBN), III, 357, note.
CHICC,
devin, I, 224 ; II, 207.
CHIHAB ED-
DÎN. Voyez CARAFI.
CHIHAB ED‑DÎN EL-IRAKI, docteur malekite,
III, 20.
CHIHER (ES-), pays de l’Arabie, I, 96,
121, 124.
CHÎÏTES. On désigne ainsi les partisans
de la famille d’Ali et ceux de la famille abbacide, I, 28, note.
— Signification de ce nom, 400.
— Leurs opinions au sujet de l’imamat, et d’Ali, 400,
401. Leurs livres, III. 5.
CHÎÏTES imamiens et rafedites. Ce dont
ils discouraient dans les premiers temps, II, 190.
CHINCHILLA ; ville, I, 140.
CHINE (La), I, 125, 136, 137.
CHIRAZ, I, 133.
CHIRMESAHI (ES-), docteur malekite,
III, 20.
CHIYA. Voyez CHÎÏTES.
CHOAÏB (ABOU ABD ALLAH IBN), instituteur
maghrébin, II, 442.
CHOAÏB (ABOU ’L-ABBAS AHMED IBN), savant
de Fez, III, 388, note.
CHOAÏB IBN KHALED, traditionniste, II,
166.
CHOBA IBN EL-HADDJADJ, traditionniste,
II, 163, note.
CHOBI. Voyez CHABI.
CHOCHTERI
(ES-), soufi, III, 440, note.
CHODJAA IBN ASLEM, algébriste ;
III, 136.
CHODJÂA (IBN), poète et natif de Taza,
III, 447, 448.
CHOHEÏD (BENI), II, 101, note.
CHOKR IBN ABI FOTOUH, III, 407, note.
CHOREÏH EL-KINDI (Le cadi), I, 267,
note, 448.
CHOREÏH (MOHAMMED IBN), professeur de
la lecture du Coran, I, Introd. XXIV.
CHORTA (La), I, 452 ; II, 35.
— La grande et la petite chorta sous les Omeïades
espagnols, II, 36.
CHOSES (Les) divines (les êtres
métaphysiques), III, 234.
CHOSROÏSME, genre de vie qui fut blâmé
par le khalife Omar, I, 413, 414.
CHOUACH (IBN ES-), instituteur, I, Introd. XXI.
CHRÉTIENS. Leurs principales sectes, I,
476.
— Troupes chrétiennes au service des musulmans, II,
82, 83.
CHRONIQUES. Indication des principaux
auteurs de chroniques, I, 5.
CHYPRE, I, 131, 138.
CÎD. Signification de ce mot, I, 339,
note.
CIRA (IBN), lexicographe, III, 317,
note.
CINQ (Les) TRAITÉS ÉLÉMENTAIRES, I, Introd. XXI.
CIBADJ
ED-DÎN. Voyez ORMEOUÏ.
CITÉ (La) PARFAITE. Théorie des philosophes
à ce sujet, II, 141, note.
CITERNES. Manière de les construire,
II, 373.
CITRONNIERS. Les planter dans la cour
d’une maison porte malheur, II, 304.
CIVILISATION (La), I, 86 et suiv.
— Moins un peuple est civilisé, plus ses conquêtes
sont étendues, 303.
— La civilisation dans la vie sédentaire, II, 294,
295.
— Elle amène la corruption des mœurs, 303, 304.
— Vicissitudes de la civilisation dans le Maghreb,
II, 297, et suiv.
CLÉMENT (Saint). Ses Constitutions apostoliques,
I, 473, 474.
CLIENTS. Ils participent à la noblesse
et à la considération de la famille qui les a adoptés, I, 283 et suiv.
— Il y en a trois espèces, 284.
CLIMATS, I, 93.
— Leurs caractères distinctifs, 99, 100 ;
— Leur largeur et leur position, 107, 108, 110 ;
— Leurs divisions, 106, 112.
— Description géographique du premier
climat, 112 et suiv. — du second, 121 et suiv. — du troisième, 125 et suiv. —
du quatrième, 137 et suiv. — du cinquième, 149 et suiv. — du sixième, 159 et
suiv. — du septième, 164 et suiv.
— Considérations sur les climats, 168 et suiv.
COBACOB, rivière, I, 154, 155.
COCHEÏRI
(ABOU ’L-CACEM EL-), hagiographe, I, 456, note.
— Ce qu’il dit de l’origine du mot soufi, III,
86.
CODAMA
IBN DJAFER, polygraphe, III, 325, note.
CODAMA (ABOU), traditionniste, II, 178,
note.
CONOUAL
(EL-), docteur hanefite, I, 44, note.
CODS
(EL-), Jérusalem, I, 132 ; II, 267.
COFS (EL-), montagnes, I, 133, 134.
COHEN, signification de ce titre, I,
469.
COÏMBRE, ville, I, 140 :
COLABA (ABOU), traditionniste, II, 184,
note.
COLOMBE. Histoire de la colombe qui
sauva la vie à Mohammed, I, 3, note.
COLOMRIYA, ville, I, 139, 140.
COLZOM (Mer de), I, 123, 130, 131.
COMAMA, (La), nom donné par les musulmans
à l’église de la Résurrection à Jérusalem, II, 267.
COMANIYA, peuple, I, 161.
COMANS (Les), I, 161.
— Leur pays, 165, 166.
COMAR,
île, I, 120.
COMBAT (Le) SPIRITUEL, chez les soufis,
III, 111.
COMM, ville, I, 146.
COMMANDEMENT. Dans une tribu, le droit
de commandement est exercé toujours par la même famille, I, 275.
— Il ne saurait passer à une famille étrangère, 276.
— Quels sont les hommes faits pour commander, I, 300,
301.
COMMANDEMENT (Le) DE LA FLOTTE. Au
temps de l’auteur, cette charge existait encore dans le Maghreb, II, 46.
COMMENCEMENT (Le) de l’acte est la fin
de la réflexion, etc.
— Explication de cette maxime, II, 429 ; III,
258.
COMMENTAIRES (Les) du Coran renferment
des récits fabuleux, II, 461.
COMMERÇANTS. Voyez NÉGOCIANTS.
COMMERCE. Le souverain, qui fait le commerce
pour son compte nuit aux intérêts de ses sujets et ruine : les revenus de
l’État, II, 95 et suiv.
— Les grandes dépenses faites par le souverain font
prospérer le commerce, 105.
— Le commerce, considéré comme moyen de gagner sa vie,
est conforme à la nature, 325.
— Les divers genres de commerce et la définition de ce
mot, 348.
— Quels sont les hommes qui peuvent s’y adonner, 354.
COMOR, peuple, I, 117 et note.
COMOR,
montagne, I, 97, 114, 116, 117, 118.
COMPAGNIE (La) SUBLIME, ou hiérarchie
céleste, I, 200, note, 203.
COMPAGNONS (Les) de Mohammed, I, 1. Ils
s’enrichirent sous le khalifat d’Othman, I, 416, 417.
— Justification de leur conduite pendant la guerre
civile, 433 et suiv., 441.
— Pourquoi on cherche à les disculper, 439, note.
— Ils n’étaient pas tous capables de résoudre des
questions de droit, III, 2.
COMPAS (Le), ou rose des vents, I, 114.
COMPLÉMENT (Le) du verbe. Quand on le
répète, on supprime le verbe, I, 449, note.
COMPOSITION (La) des nombres, III, 132.
COMPOSITION (La) littéraire. Quand on
compose en vers ou en prose, on doit s’occuper moins des pensées que des paroles,
III, 383 et suiv.
COMPTES (Livre des). Ibn Khaldoun en a
vu un qui renfermait les comptes du palais d’El-Mamoun, II, 347.
CONCEPTS,
I, 201, note ; III, 150, 151.
CONCISION de la langue arabe et parole
de Mohammed à ce sujet, III, 309.
CONDITIONS (Les) DE L HEURE, II, 65.
CONFESSION DE L’UNITÉ, terme équivoque
employé par des soufis, III, 87, note, 96, note.
CONJONCTIONS (Les) des astres, II, 217
et suiv.
— Il y en a trois classes, 217, 218.
— Ce qu’elles annoncent, selon les astrologues, 218,
219.
CONNAISSANCE (La). C’est, pour l’homme,
l’acquisition de la forme de l’objet connaissable, II, 435.
— On acquiert les connaissances en étudiant et en
enseignant, III, 293.
CONNAISSANCE (La) SPIRITUELLE, III, 46,
47.
CONNAISSANCE (La) du premier degré,
III, 47 ; et du second degré, ibid.
CONNAISSANCE (Gens de la), III, 104.
CONNAISSANCE (Station de la), III, 46.
CONNAISSANCES
(ﻡﻮﻠﻋ). Il y en a deux classes, I, Introd.
XXV, note.
— Leur nature, II, 434, 435.
— Les connaissances acquises par les
prophètes, 436 et suiv.
— Celles des hommes et celles des
anges, 433 et suiv.
CONNAISSANCES
(Les) scientifiques. Elles se multiplient sous l’influence de la civilisation
et de la vie sédentaire, II, 448, et suiv.
— Comment on les acquiert, III, 281
et suiv. 293.
— Leur progrès chez les musulmans,
III, 304.
CONNAISSANTS (Le chef des) III, 105.
CONSENTEMENT GÉNÉRAI, (ﻉﺎﻣﺠﺍ), III, 7.
CONSIDÉRATION, ou influence ;
c’est une source de richesse, II, 336 et suiv.
CONSONNES. Manière employée par l’auteur
pour représenter les consonnes étrangères à la langue arabe, I, 68 et suiv.
CONSTANTINE,
I, 127.
CONSTANTINOPLE,
I, 153, 161.
— Prédiction relative à la prise de cette ville, II,
197.
CONSTANTINOPLE (Le canal de), I, 94,
138.
CONTACTE (îttiçal).
Signification de ce terme, I, 197.
CONTEMPLATION (La) MYSTIQUE, III, 100,
note.
CONTINUE (Quantité), III, 122.
CONTROVERSE (La), III, 25 et suiv.
CORAN (Le). Il est le plus grand des miracles
de Mohammed, I, 194.
— Le texte de ce livre lui fut communiqué par la voie
de l’audition, 194, 195.
— L’orthographe du Coran, II, 454 et suiv. Voyez
INTERPRÉTATION.
— La doctrine hétérodoxe de la création du Coran fut
soutenue par le khalife abbacide El‑Mamoun, III, 11, note.
— Doctrine de la création du Coran, 57.
— Ce que le mot coran signifie, selon les
Acharites, 73.
— L’étude du Coran ne sert pas à former le style, 288.
— Élégance inimitable du style du Coran, 327.
— On ne peut pas dire que le texte de ce livre soit en
prose rimée, 360.
— Impression produite sur les Arabes par le style du
Coran, 401.
CORDOUE, I, 139.
CORECHI (EL-), mathématicien, III, 137.
COREICH. Pourquoi le khalife devait
appartenir à cette famille, I, 397.
COREICH‑KINANA,
I, 25.
CORIA, ville, I, 139.
CORPORALISTES, III, 76.
CORPS (Le) de Dieu, III, 55.
CORPS (Le) humain ; phases de son
développement, III, 257.
CORRA IBN AYAS, un des compagnons de
Mohammed, II, 186, note.
CORRESPONDANCE (Bureau de la), II, 26
et suiv.
CORRIGER
les mœurs, I, 328.
CORTOBI (EL-), commentateur du Coran,
II, 462.
CORTOBI (EL-). Voyez ATIYA (IBN).
CORVÉES (Les) sont un des genres d’oppression
les plus graves, II, 111.
COSAI
IBN KILAB, II, 256.
COSANTINA,
I, 127.
COSOUR
(Bourgades), I, 115, note.
COSSURA, prise de cette île par les
musulmans, II, 40.
COSMOLOGIE, I,
2, 90, 99 et suiv.
COTB (Le), II, 190, note ; III,
104, 105.
COTEIBA (IBN), III, 330, note.
COUCAÎA, montagne, I, 149, 158, 159,
163, 164, 165, 166, 167.
COUR (La) du
souverain fait la prospérité de la métropole, II, 295.
COUS, ville, I, 123.
CRÉATION DU CORAN. Voyez CORAN.
CRÈTE, île, I, 138, 141.
CROYANCE (La)
est le premier degré de la foi, III, 50.
CUIVRE, terme d’alchimie, III, 225.
CUIVRE (La ville de), I, 75.
CUIVRE. Rivière dont le fond est
parqueté avec des lames de cuivre, I, 152.
CULTIVATEURS. Les peuples agricoles subissent
l’autorité des habitants des villes, I, 316, 317.
CYRÉNAÎQUE (La). Sa prospérité sous les
Fatemides et les Zirides, II, 289, 290.
DABT (ﻂﺑﻀ). Signification de ce mot, II, 465.
DAHHAK IBN CAÏS ES-CHEIBANI, II, 81,
note.
DAHHAK IBN CAÏS EL-FIHRI, II, 81, note.
DAKHEL (ED-), sobriquet donné au premier
souverain omeïade de l’Espagne, II, 117, note.
DAKÎK EL-AÏD (IBN), docteur chaféite,
III, 13, note.
DAKHIRA.
Voyez BESSÂM (IBN).
DAMAS, I,
132.
DAMIETTE,
I, 130.
DANI
(ABOU AMR ED-), II, 456, note.
DANIALI, un libraire‑copiste de
Baghdad, II, 234.
— Ses fraudes, ibid.
235.
DAR. Voyez MAISON.
DARABGUIRD, I, 133.
DABAKOTNI (ED-), traditionniste, II,
165, note.
DAREB EL-MENDEL. Une certaine classe de
géomanciens est ainsi désignée, II, 206.
DABEMI (ED-), traditionniste, II, 472.
DATTIER. La fécondation artificielle
des dattiers fut d’abord défendue par Mohammed, III, 164.
DAVID, père de Salomon, travaillait le
fer, II, 86, note.
DAWOUD IBN ALI, parent d’Ibn Abd Rabbou,
I, 30.
DAWOUD IBN ALI, fondateur de la secte
des Dhaherites, III, 4.
DAWOUD IBN EL-MOHABBER, traditionniste,
II, 187,
DAWOUD (IBN ABI), le cadi, I, 451.
DAWOUD (ABOU) SOLEIMAN ES-SIJISTANI,
II, 471, note, 159, note.
DEBBADJ (ABOU ’L-HACEN ED-), savant espagnol,
III, 432, note.
DEBDOU, ville , I, Introd. LXII.
DEBOUCI (ABOU ZEÏD ED-), III, 32.
DEBOUS
(IBN ABI), I, Introd. XXIX.
DÉCADENCE des
grandes villes, II, 307 et suiv.
— Exemples, 309.
— Quand la décadence commence, rien
ne peut l’arrêter, II, 120, 121.
— C’est l’absence de la cour qui en
est la cause, ibid.
— Comment elle commence, 121 et suiv.
— Décadence des empires, I, 343, 344.
— Ce qui l’amène, II, 134.
— Exemples, 136, 137.
— Quelle en est la première cause,
128 ; et la seconde, 129.
— Décadence de l’empire fondé par les
musulmans, 130, 131.
— Décadence des arts, 364.
DÉCOMPOSITION DES NOMBRES, III, 132.
DEDDJAL (L’ANTÉCHRIST). Son apparition,
II, 158, 192, 194.
DEDDJAL
(ED-). Voyez SAIYED (IBN).
DÉDUCTION ANALOGIQUE, III, 27.
— Règles observées par les docteurs quand ils essayent
de déterminer la signification de mots combinés ensemble, 29, 30.
— Chafêi fut le premier qui employa la déduction, 268.
DÉFINITION (en logique), III, 154.
— Il y en a quatre espèces, ibid. note.
DÉGAGEMENT,
terme du soufisme, I, 214 ; III, 90, 91, 92, 103.
DEHEBI
(ED-), l’imam, II, 165, note.
DÉHHAC ( ?) (IBN), III, 101, 102.
DEIBEL,
ville, I, 155.
DEILEM,
I, 156.
DEILEMITES (Les), I, 408.
DÉJECTION, terme d’astrologie, II, 218,
note.
DELAS,
lieu, I, 130.
DELFA
(ABOU ’L-), II, 81.
DELLADJ (Les), I, Introd. XVII.
DELOU ’L‑BADIA, II, 198, note.
DEMMER (Les), I, 128.
DÉNIA,
I, 94, note, 140.
DÉNOMBREMENT des habitants d’un des
quartiers d’El-Medaïn, I, 308.
DENRÉES
ALIMENTAIRES. Ce qui influe sur leur prix dans les grandes villes, II, 282 et
suiv. 285.
— Leur cherté en Espagne, 285, 286.
DÉPÊCHES. Diverses manières de les
fermer et de les cacheter, II, 26.
DÉPRÉCIATION DES MARCHANDISES, II, 352,
353.
DERÂ, pays, I, 126.
DERAN, montagne, I, 125, 128, 129.
DERB, signification de ce mot, I, 51,
note.
DERBEND, I, 156.
DERDA (ABOU ’D‑), I, 448, note.
DEREN (Le), montagne, I, 125, note.
DEROUAN, puits, III, 176.
DÉSAVEU (La sourate du), I, 401 ;
III, 82.
DESCENDANTS DE MOHAMMED. C’est un péché
mortel que de croire qu’il y eut dans leur famille des naissances illégitimes,
I, 50.
DÉSERT. Pourquoi les Israélites y passèrent
quarante ans, I, 296.
DÉSINENCES GRAMMATICALES. Elles ne s’emploient
plus, III, 403.
— Leur absence ne nuit pas à la clarté, III, 336.
DÉVIATION (Gens de la), III, 66.
DEVIDAR, charge, II, 29.
DEWADAR, titre donné au grand chambellan
chez les Turcs mamlouks, II, 12.
DÉVOTS. Ils
acquièrent quelquefois de grandes richesses, II, 337, 338.
DEVINS (Les)
chez les anciens Arabes, I, 224.
— Leurs procédés, 207, 208.
— Un autre de leurs procédés, 236,
237.
DHAFAB, pays, I, 121.
DHAHER (l’externe, le sens littéral),
III, 105.
DHAHERITES. Ils condamnaient la déduction
analogique et s’en tenaient à la signification littérale des textes sacrés,
III, 3.
— Leur doctrine a disparu, 5.
DHAT EL-ABOUAB, ville fabuleuse, I, 75.
DHI ’N‑NOUN (YAHYA EL-MAMOUN IBN),
prince espagnol, I, 353, note ; III, 424.
DHI-YEZEN
(IBN). Sa libéralité, I, 362, 363.
DHOU. Signification de cette particule,
I, 305, 366.
DHOU
’L‑ADAAR, roi himyerite, I, 20, note.
DHOU ’L-CARNEÏN, II, 196, note.
DHOU ’L‑DJEDDEIN, chef d’une ancienne
famille arabe, I, 129.
DHOU ’R‑ROMNIA, poète, III, 376, note.
DHOU ’S‑SOUEÏCATEÏN, personnage
qui, selon Mohammed, devait détruire la Caaba, II, 474.
DHOU ’L‑WIZARETEIN, titre, II, 14.
DIALECTES ARABES. Ceux qu’on parle dans
les villes, II, 316 et suiv.
— Pour goûter un poème composé en un des dialectes
arabes des temps modernes, il faut s’être familiarisé avec ce dialecte, III,
454.
DIALECTIQUE (La), III, 25 et suiv. 38.
DIEU est‑il séparé
de ses créatures ? III, 94.
— Il n’agit pas toujours d’après des
lois invariables, I, 189, note.
— Voyez ATTRIBUTS.
DIGESTION (LA). Comment elle se fait,
II, 387.
DIHCAN. Signification de ce mot, I,
353, note.
DIKOUAN (IBN),
jurisconsulte et traditionniste, II, 55, note.
DIKR.
Signification de ce mot, III, 91, note.
DIMAR, pays, I, 132, 133.
DÎMAS, endroit, II, 198.
DIMYAT, ville, I, 130.
DINAR (ABOU),
chef arabe‑maghrébin, I, Introd.
LVIII.
DINARS frappés par les Moslims, II, 56.
— Leur poids légal, 58, 61.
DÎNAOUR, ville, I, 146.
DIRECTION DU SIGNIFICATEUR, II, 213,
note.
DIREFCH KAVIAN, l’oriflamme de
Chosroes, III, 185.
DIRHEMS. Les premiers furent frappés
par l’ordre du khalife Abd el‑Melek, II, 55, 56.
— Leur poids, 56, 57.
— Leur forme, 57 ;
— Leur valeur légale, 58, 59, 60.
DIRHEMS CARRÉS, II, 58.
— Le maître du dirhem carré, ibid.
DISCOURS. Il a deux formes, la poésie
et la prose, III, 360 et suiv.
DISCOURS (Le)
NATUREL, III, 395,
DISCOURS (Le)
ORNÉ. En quoi il consiste, III, 395.
— Exemples offerts par le Coran, 396.
— Il s’en trouve aussi dans les
poèmes de Zoheïr, ibid.
— Noms de ceux qui l’ont cultivé, ibid.
— Voyez STYLE.
DISCOURS (Le)
des anges, II, 437.
DISCRÈTE
(Quantité), III, 122.
DISETTE ET
ABONDANCE, I, 177.
DIVAN (registre, cadastre), II,
19.
— Origine de ce terme, ibid. 424.
— Il désigne le bureau de l’administration des
finances, 20.
— Le divan fut institué par Omar, 21.
— En quelles langues se tenaient d’abord les registres
du cadastre, 21, 22.
— La langue arabe adoptée, 22.
— Caractère de cette institution sous les différentes
dynasties musulmanes, 23.
— Règlements du divan, ibid.
DIVAN DU SCEAU, II, 65.
DIVANÉ. Signification de ce mot, II,
423.
DIVANS SCIENTIFIQUES, II, 406, note.
DIVINATION (La). Sa nature, I, 206 et
suiv.
— Cette faculté a toujours existé chez l’homme, 209.
— Opinions de quelques philosophes au sujet de la
divination, 210.
— Diverses manières de deviner, 221 et suiv.
DIVORCE (Le) à
trois fois, II, 332, note.
DIX (Les). Voyez PRÉDESTINÉS.
DIXIÈME (Le), terme astrologique, III,
179, note.
DIYAN
(BENI), I, 290.
DJABER (La science de), III, 208.
DJABER IBN ABD ALLAH, compagnon de
Mohammed et traditionniste, II, 161, note, 172, note.
DJABER IBN HAIYAN, III, 128, note, 172,
197.
— Ses écrits sur l’alchimie, 208, 252.
DJABER, (IBN), littérateur espagnol,
III, 357.
DJABER (CHEMS ED-DÎN IBN),
traditionniste, I, Introd. XXI.
DJADI (EL-), arithméticien, III, 23.
— Il a fait un ouvrage sur le partage des successions,
140.
DJAHcH, un des Compagnons, I, 462.
DJAFER, traditionniste, II, 182.
DJAFER
EL-MOSADDEC, I, 409.
DJAFER ES-SADEC, I, 409.
— Il prédit la mort d’En‑Nefs ez‑Zekiya, 408.
— Il connaissait un grand nombre de prédictions, II,
208, 214.
DJAFER IBN YAHYA, le Barmekide. Son prétendu
mariage avec El-Abbasa, I, 26, 27.
— Ses taoukiâs furent très recherchées, II, 27.
— Il composa un ouvrage sur la rhétorique, III, 325.
DJAHDER (IBN), poète de Séville, III,
436, 439.
DJAHED (EL-),
littérateur, III, 71, 270, 330.
DJAHELI. Par ce terme on désigne les
poètes antéislamites, III, 379, note.
DJAÏZA (gratification, indemnité),
I, Introd. VIII.
DJALENOS (EL-), général perse, I, 265.
DJALÎCH, espèce de drapeau, II, 52.
DJAMA
GHAZOUAT, I, 127, note.
DJAMÊ
(EL-) EL-AZHER, I, Introd. LXXIII.
DJAMÊAïN (EL-), lieu, I, 144.
DJANDAR (huissiers,
valets de pied), II, 16, note.
DJAR ALLAH. Signification de ce titre,
III, 328, note.
DJAUZDJANI (EL-), docteur hanefite, II,
166, note, 177.
DJAUZI (IBN EL-), historien, II, 472,
Ilote.
DJEBELA, ville, I, 142.
DJEBELA, histoire du cadi de cette
ville, II, 103.
DJEDD (EL-), noble famille de Séville,
I, Introd, XIV.
DJEDDA, ville, I, 123.
DJEDL (la dialectique et, chez
quelques auteurs, les topiques), III, 38 et suiv.
DJEFR (Le), livre de prédictions, II,
205, 214 et suiv.
— Signification de ce nom, 214.
— Autres renseignements, 224, 225.
DJEFR (Le petit), autre livre de
prédictions, II, 225.
DJEÏHOUN (Le), fleuve, I, 97, 98, 134.
135, 136, 148, 157.
DJEÏYANI (EL-), légiste, I, Introd. XXII.
DJELOULA, ville de la Perse, I, 145.
DJEMHERA (EL-), titre d’un dictionnaire
arabe, III, 318.
DJENADIL (EL-) ; les cataractes du
Nil, I, 117.
DJENED,
pays, I, 123.
DJENNI (IBN), Voyez DJINNI.
DJÉNOUA, ville, I, 151.
DJERACH IBN AHMED, astrologue, II, 219, 220, 223.
DJERDJERAIYA,
I, lieu. 145.
DJERÎD (Le),
pays, I, 128, 175, note.
DJERÎR, poète,
III, 376, note.
DJERMANIYA,
pays, I, 161.
DJECOUACIYA,
pays, I, 153.
DJEROUEL,
poète, III, 390, note.
DJETHOULIYA, pays, I, 160, 161.
DJEUHERI (EL-),
lexicographe, III, 317 ; note.
— L’ordre suivi dans son
dictionnaire, ibid. l
DJEZAÏR (EL-), ville, I, 127.
DJEZÎRA (EL-), pays, I, 98, note, 142,
144, 145.
DJEZIRET (EL-) EL-KHADRA, ville, I,
139.
DJEZÎRET
IBN OMAR, I, 145.
DJEZZAR (ABOU SAÎD EL-), soufi, III,
107.
DJÎAB (IBN EL-), littérateur, III, 357,
note.
DJIBRAGHOUN, montagne, I, 148.
DJIÊRANA, lieu
sur la limite du territoire de la Mecque, II, 261.
DJIHAD (EL-) (la
guerre sainte), II, 76.
DJIHAN,
fleuve, I, 143, 154.
DJILLIKIYA, pays, I, 150.
DJINDJELA, ville, I, 140.
DJINNI (IBN), grammairien, III, 273,
note, 313.
DJIRAB ED-DOULA (le budget de
l’empire), titre d’un ouvrage, I, 364.
DJÎREFT, ville, I, 134.
DJIRONDA, ville, I, 141, 151.
DJJROUN
L’AADITE, I, 24, note.
DJITR (parasol), II, 52, note.
DJOBBAI (EL-), III, 71, note.
DJOBËIR IBN MOTAEM, II, 21.
DJODAAN (IBN), II, 395, note.
DJODEÏR (IBN), vizir, II, 13, note,
101.
DJOGUIS (Les), I, 226.
DJOMEL (EL-), traité de logique, III,
156, 390.
DJOND (Les), I, Introd. IX, note, 273.
— Ceux de l’Espagne, I, Introd. X.
DJONDI
(MOHAMMED IBN KHALED-EL-), traditionniste, II, 188, 189.
DJONDI-SABOUR, ville, I, 133.
DJONEID (EL-),
soufi et ascète, II, 191, note.
— Ce qu’il dit des scolastiques, III,
63, note.
DJORDJAN, ville, I, 98, note, 147.
DJORDJANI
(ABD EL-CAHER EL-), grammairien et philologue, III, 270.
DJORDJANI
(ABOU ’L-HACEN ALI EL-), Historien, I, 19, note.
DJORDJANIYA
(EL-), pays, I, 98, 148.
DJORECH,
lieu de l’Arabie, I, 123.
DJOREIDJ.
Sa tradition, II, 189.
DJORHEMIDES (Les), II, 254 et suiv.
DJOUHER
EL-KATEB, l’Esclavon, I, 364, II, 290.
DJOUZDJAN,
ville, I, 134, 136, 148.
DJOUZDJANI (EL-), Voyez DJAUZDJANI.
DOHLI (ED-), traditionniste, II, 212.
DOHOR, partie du jour, II, 195, note.
DOMESTICITÉ.
Cet état n’est pas conforme à la nature, II, 326 et suiv.
— Les individus qui travaillent comme
domestiques peuvent se ranger dans quatre classes, II, 327.
DONGOLA,
I, 117.
DOREÏD
(IBN), III, 318, note.
DOREÎDJ (IBN), poète, III, 397, note.
DOROUB (EL-) (les défilés), I,
142, 143.
DOROURI (ﻯﺭﻮﺭﻀ). Signification de ce
terme, I, 254.
DOU. Voyez DHOU.
DOU‑BEÏTEIN, quatrain, III, 451.
DOU ’r‑ROMMA. Voyez DHOU ’r‑ROMMA.
DOUAOUIDA
(Les), tribu maghrébine, I, Introd.
XLVIII.
— Ils prétendaient descendre des
Barmekides, 279, III, 413.
DOUBAN LE
PHILOSOPHE, II, 223.
DOUCEN, ville, I, Introd. LVII.
DOUCHI-KHAN, I, Introd.
cal.
DOUCHI-KHAN (TOULI IBN), II, 131.
DOUEÏRÎDA (IBN), III, 428.
DOUÉLI (ED‑),
grammairien, III, 310, note.
DOUÎNI (ABOU ISHAC ED-), III, 428.
DOUMET EL-DJENDEL, I, 132.
DOUR, terme
technique employé dans l’art de travailler sur la zaïrdja d’Es-Sibti, I, 248,
note. — Dour sain, III, 201, 202.
DRAPEAUX.
Leur utilité, II, 48, 49.
— Nouer le drapeau, 50.
— Leur nombre chez les Almohades, les
Merînides et les Turcs mamlouks, 52.
— La tradition des drapeaux, 177,
178.
DROIT (Maximes
de). Elles sont fournies par le Coran, III, 24 ; par la Sonna, 26 ; par l’accord général, ibid. et par la déduction analogique,
27.
DROITS D’ENTRÉE ET DE MARCHÉ. On les
établit lors de la décadence de l’empire, II, 94, 95.
DUODÉCIMAINS,
secte chîïte, I, 405, 409, 410.
DURÉE DES DYNASTIES, II, 212.
DURÉE DES
EMPIRES. Chapitre sur ce sujet, I, 347 et suiv.
DURÉE DU MONDE, II, 210.
DYNASTIES.
Causes de leur chute, I, 301.
— Comment la souveraineté passe d’une
dynastie à une autre, 305.
— Une
dynastie bien établie ne s’appuie plus sur le parti qui l’a portée au pouvoir,
319.
— Son déclin et sa chute, 320, 321.
— L’étendue de ses États ne saurait
dépasser une certaine limite, 332 et suiv.
— Voyez EMPIRE.
EAUX. Procédé
magique pour faire écouler les eaux, II, 331.
— Eaux stagnantes, leur influence
nuisible, 248.
ÉCARTEMENT. Voyez EXEMPTION.
ECIDJA,
ville, I, 139.
ÉCLIPTIQUE (L’), I, 100.
ÉCOLES DE JURISPRUDENCE. Leur origine,
III, 6 et suiv.
— Il était défendu d’abandonner une de ces écoles
pour s’attacher à une autre, 9.
ÉCOLES GRAMMATICALES. Celles de Koura,
de Basra et de l’Espagne offrent plusieurs points de dissemblance, III, 312.
ÉCOLES. Voyez
ENSEIGNEMENT.
ÉCOSSE (L’), I, 165, note.
ÉCRITS SCIENTIFIQUES. Ceux des Perses
furent anéantis par l’ordre du khalife Omar, I, 78 ; III, 125.
— Les Arabes doivent à El-Mamoun la connaissance de
ceux des Grecs, ibid.
ÉCRITURE. Sous le khalifat d’Omar un
très petit nombre des Coreïchides savaient écrire, II, 21.
— Chapitre sur l’écriture, 391 et suiv.
— Enseignement de l’écriture dans les grandes villes,
392.
— Écriture himyerite, 392, 393, 396.
— Progrès de l’écriture à Koura et à Basra, 399.
— Écriture de Baghdad, ibid.
— Celles de l’Ifrîkiya et de l’Espagne, 400.
— Celles de l’Égypte, de l’Espagne et de Tunis, 401.
— L’ancienne écriture de l’Ifrîkiya, 401, 402.
— Poème sur l’écriture, 403, 404.
— Caractère d’une bonne écriture, 404.
— Sigles employés dans les bureaux, 405.
— Écritures énigmatiques, ibid.
— La pratique de cet art sert à former
l’intelligence, 423.
— Il y a une grande diversité entre les écritures,
III, 266.
— Écritures syrienne, hébraïque, latine et arabe, 267.
— L’écriture s’apprend en Orient sous des maîtres particuliers,
288.
EDESSA,
I, 143.
ÉDIFICES.
Les grands édifices ne peuvent pas être
élevés par un seul souverain, II, 245.
— Les grands édifices construits par les musulmans
sont bien inférieurs à ceux qui ont été élevés par les peuples précédents, 273
et suiv.
— La plupart des édifices bâtis par les Arabes tombent
promptement en ruine, 274 et suiv.
— Leur grandeur est en rapport direct avec la
puissance de la dynastie qui les a fondés, I, 359, 369.
ÉDUCATION DE LA JEUNESSE. Système d’enseignement
proposé par Ibn el‑Arebi, III, 289, note.
— Voyez ENSEIGNEMENT et INSTRUCTION PRIMAIRE.
EFLANDÈS, pays, I, 100.
ÉGAREMENT (Le désert de l’), I, 131.
— Pourquoi les Juifs y passèrent quarante ans, 296.
ÉGYPTE
(L’), I, 130.
— État de ce pays sous les Turcs mamlouks, 338.
EÏBADA TEL-CAZZAZ, poète espagnol, III,
424.
EÏÇA IBN MERYEM, II, 188.
EÏÇA IBN OMAR, grammairien, III, 335,
note.
EÏÇA IBN ZEÏD, prince alide, I, 408.
EÏÇA IBN EZ-ZEÏYAT, III, 106.
EIÇALIA (banderole), II, 52,
note.
EÏÇAOUA. Cet
ordre de derviches est probablèment très ancien en Algérie, III, 411, note.
EÏDJLI (AHMED IBN ABD ALLAH EL-), traditionniste,
II, 163, note.
EÏDJLI (MOHAMMED IBN MEROUAN),
traditionniste, II, 185.
EÏFAF. Signification de ce terme, I,
188.
EÎKRIMA IBN AMMAR, traditionniste, II,
182, note.
EÏKRIMA (ABOU ABD ALLAH EL-BERBERI),
traditionniste, III, 65, note.
EÏLHIZ. Signification de ce mot, I,
415.
EIMAD
(colonnes), I, 25.
EÎMAD ED-DÎN EL-ISPAHANI, littérateur
et homme d’État, II, 44 ; III, 386, note.
EÏNAN (ABOU), souverain mérinide, I, Introd. XXVIII, XXXII, XXXIII, XXXV.
EÏOUAN KISRA. Le khalife Er-Rechîd essaya
de détruire cet édifice, I, 359, 360 ; II, 246.
— Sa grandeur, 242, note, 243.
EÏRAB. Signification de ce terme, III,
310.
EÏSMA. Signification de ce mot, I, 186,
note.
EIYAD (Le cadi), II, 476, note.
ÉLECTIONS, terme d’astrologie, II,
223 ; note.
ÉLÉPHANTS ; employés par les
Perses dans leurs guerres, II, 79.
ELIAS‑MODER,
I, 25 :
ELIOUS, philosophe, II, 222.
ÉLIXIR, la pierre philosophale, III,
192, 207, 251, 257.
ELMACIN,
I, 475.
ELVIRA,
I, Introd. XLIV.
ÉMANATION (Doctrine de l’), III, 98,
99.
EMBLÈMES. Voyez INSIGNES.
EMESSA, I, 132, 142.
ÉMIGRATION (La grande). Elle eut lieu
en Espagne, lors de la prise de Séville par Ferdinand III, l’an 1248 de J. C.
I, Introd. VII ; II, 23, note.
ÉMIGRATION des Savants espagnols en Mauritanie,
III, 357.
ÉMIGRER est un devoir en certains cas,
I, 261.
ÉMIGRER à L’ÉTRANGER. C’est pour les
princes et les hauts fonctionnaires une grande imprudence, II, 104, 105.
ÉMIR. Ce titre fut porté par le
ministre de la guerre sous les derniers Abbacides, II, 10. — Il fut pris par
les souverains de la Perse qui enlevèrent aux khalifes le pouvoir temporel, ibid.
ÉMIR EL-ACHGHAL, ministre des finances,
I, Introd. XVI, II, 14, 15.
— Voyez SAHEB EL-ACHGHAL.
ÉMIR EL-MOSLEMIN. Ce titre fut donné à
Saad Ibn Abi Ouekkas, I, 462.
— Youçof Ibn Tachefîn le prit, 467.
— Il fut porté par les souverains almoravides et par
les premiers souverains mérinides, 468.
ÉMIR EL-MOUMENIN. Emploi de ce titre,
I, 391.
— Son origine et sa signification, I, 461 et
suiv.
— Le premier des Fatimides qui le porta fut Obeïd
Allah el-Mehdi, 463.
— Le premier des Omeïades espaânols qui se l’attribua
fut Abd er-Rahman en‑Nacer, 464.
— Les souverains almohades prirent aussi ce titre,
468.
ÉMIR EL-OMERA, II, 10.
EMPÊCHEMENT MUTUEL, argument contre le
polythéisme, III, 52, 72.
EMPEREUR. Signification de ce titre, I,
477.
EMPIRE. Pour fonder un empire il faut
se distinguer par de nobles qualités, I, 298.
— Un empire ne peut se fonder que par un peuple rempli
d’un fort esprit de corps, 318 ; II, 121.
— La religion est la meilleure base sur laquelle on
puisse fonder un empire, I, 324.
— Chaque empire ne prend qu’une certaine étendue, 332
et suiv.
— La grandeur d’un empire et sa durée sont en rapport
direct avec le nombre des troupes qui l’ont fondé, 334 et suiv.
— Étendue prise par l’empire arabe, 334.
— On établit difficilement un empire dans un pays
occupé par de nombreuses tribus, 336.
— A quelle époque commence la décadence d’un empire,
343, 344.
— Les empires, comme les hommes, ont leur vie propre,
347 et suiv.
— Dans tous les empires, les habitudes de la vie
sédentaire finissent par remplacer celles de la vie nomade, 350 et suiv.
— Phases par lesquelles chaque empire doit passer, 356
et suiv.
— Comment un empire se partage en deux États séparés,
116 et suiv.
— Pour fonder un empire il faut avoir l’appui d’un
fort parti, 199.
— Rien ne peut arrêter la décadence d’un empire, 120,
121.
— Tout empire jette un dernier éclat au moment de
succomber tout à fait, 121.
— Ce qui caractérise la dernière période de
l’existence d’un empire, 138.
— Un empire en décadence peut durer très longtemps,
124, 125.
— Les empires s’appuient sur deux bases, la force
armée et l’argent, 121.
— Les empires prennent, dans les premiers temps de
leur existence, toute l’étendue qu’ils sont capables de recevoir, 127.
— Comment ils se forment, 131, 132.
— Comment une dynastie parvient à en remplacer une
autre, 133.
— Fondation de l’empire Abbacide, 136.
— La fondation de l’empire musulman est un fait en
dehors des événements ordinaires, 137.
— L’établissement des empires (ou dynasties) précède
la fondation des villes, 238 et suiv.
— C’est le souverain qui fonde le siège de l’empire,
238.
— Le peuple qui fonde un empire est porté à s’établir
dans des villes, 240 et suiv.
ENJAMBEMENT (L’), en poésie, n’est pas
permis, III, 366, 375.
— On en trouve cependant des exemples, 375, note.
ENSEIGNEMENT. Son caractère sous les
Omeïades et les Abbacides, I, 60, 61.
— Dans les premiers temps de l’islamisme, ce furent
les hommes de haute naissance et les chefs de tribus qui enseignaient le
peuple, ibid.
— Enseignement de l’écriture dans les grandes villes,
II, 392.
— L’enseignement fait partie des arts, 439.
— La bonne tradition de l’enseignement a presque disparu
du Maghreb, 441 et suiv.
— Mais elle n’a pas été interrompue en Orient, I, 45,
449.
— L’enseignement traditionnel des arts, 446.
— De la direction qu’il faudrait imprimer à l’enseignement,
III, 275 et suiv. 289.
— L’enseignement est devenu un métier chez les
musulmans, 304.
— Voyez INSTRUCTION PRIMAIRE.
ε̉ντελέχεια, III, 40.
ÉPÉE (L’) ET LA PLUME. Différence qui
existe entre les charges d’épée et celles de la plume, II, 46 et suiv.
ÉPIDÉMIES. Leurs causes, II, 139, 140.
ÉQUATEUR (L’), 92, 100, 101.
— Les lieux situés sous l’équateur et au delà de cette
ligne sont inhabités, I, 104, 105.
ERMENT, ville, I, 123.
ERZEN,
ville, I, 155.
ESCLAVONS (Les). Ce qu’Avicenne dit de
leur couleur, I, 172.
ESNLI, ville, I, 123.
ESPAGNE (L’) sous les Beni ’l-Ahmer, I,
338.
— Les musulmans de l’Espagne ont adopté les usages des
chrétiens, I, 307.
ESPÈCES. Selon el‑Farabi et les
philosophes espagnols, l’extinction des espèces ne peut pas avoir lieu, II,
384.
ESPÈCES (Les) SUPÉRIEURES, III, 229.
ESPRIT DE CORPS ET DE TRIBU (ﺔﻴﺑﺻﻋ).
Les Arabes de l’Espagne l’ont totalement perdu, I, 63.
— Conditions de son existence, 270.
— C’est l’esprit de corps qui mène à la souveraineté,
291 et suiv.
— C’est par lui que se fondent les empires, 318.
— Un membre d’une famille souveraine peut fonder un
empire sans l’appui de son propre peuple, 322, 323.
— L’esprit de corps, étant bien dirigé, est louable
aux yeux de Dieu, 412, 413.
— Son influence sur les peuples nomades qui vivent
dans la misère, 417.
— Dans les premiers temps de l’islamisme il n’eut pas
d’influence, 431, 432.
— Mais il en reprit plus tard, 440.
— Il peut exister dans les villes, II, 313 et suiv.
ESTELLA, ville, 150.
ESTEPA, château, III, 429.
ESTHONIE (L’), I, 165, note.
ÉTABLISSEMENT (ﻝﻮﻟﺣ), terme de théologie,
III, 96.
ÉTAT, terme de soufisme, III, 87.
ÉTAT. Les malheurs d’un seul règne ne
nuisent pas à la prospérité d’un État, II, 311.
ÉTAT SOCIAL. Il se présente sous deux
aspects, I, 84.
ÉTATS. Les universaux sont ainsi nommés
par quelques scolastiques, III, 15.
ÉTATS INDÉPENDANTS. Leur formation, II,
11. — Voyez EMPIRE.
ÉTERNELLES (Les îles), I, 112. — Leur
découverte, ibid.
ÉTOURNEAUX (Histoire fabuleuse des), I,
75.
ÉTRANGERS. Pourquoi certains étrangers
écrivent si bien en arabe, III, 352, 353.
ÈTRES. Tous les êtres de l’univers
forment une seule suite ou série régulière, I, 196, 197.
ÉTUDES. Leur durée dans le Maghreb, II,
444.
— Les études en Espagne, 444, 445.
— Meilleure méthode d’étudier une science, III, 275,
276.
— Il ne faut pas étudier deux branches de science à la
fois, 278.
— Il faut travaiiler sous un maître, 303.
— Celui qui travaille sans maître n’acquiert que des
connaissances imparfaites, 303, 304.
EUCLIDE. Selon les auteurs arabes, il
était charpentier, II, 378.
— Ses éléments, III, 126, 141.
EUPHRATE
(L’), I, 98, 144.
EUROPÉENS. Il y avait des troupes européennes
au service de quelques gouvernements musulmans, II, 82.
— Solidité de ces troupes, 83.
ÉVANGÉLISTES (Les quatre), I, 472.
ÉVORA, ville, I, 139.
EXACTIONS DU GOUVERNEMENT. Ce qui en
est la cause, II, 112.
EXALTATION, terme d’astrologie, II,
219, note ; III, 180, note.
EXÉGÉSE CORANIQUE. Voyez INTERPRÉTATION.
EXEMPTION (ﻪﻴﺯﻨﺘ), terme de théologie
dogmatique, III, 51, 53, 55, 56.
EXERCICES SPIRITUELS, I, 217.
— Employés pour amener une mort factice (léthargie),
I, 226.
EXISTENCE. C’est une réalité à laquelle
tous les êtres participent, II, 414, note.
— Existence des choses, sa nature, III, 98.
— On a enseigné que l’existence des êtres perceptibles
dépend de celle de la faculté perceptive des sens, 101.
— et que l’existence des êtres perçus par l’intellect
dépend de la perceptivité de l’intellect, 102.
EXPÉDITION MARITIME. La première faite
par les musulmans, II, 39.
EXPORTATION (L’) des marchandises, II,
349 et suiv.
EXPOSANT ALGÉBRIQUE, III, 135.
EXPOSITION (Science de l’). Ce terme signifie :
communiquer sa pensée à autrui, III, 264, 265, 270, 321.
— Exposition du premier et du second degré, 264, 265.
— Cette science se partage en trois sections,
325 ;
— et forme elle-même une branche de la réalisation,
395.
— Son utilité, 327, 328.
EXPRESSIONS MALSONNANTES. Il ne faut
pas se formaliser de certaines expressions dont se servent les soufis, III,
112.
EXTASES DES SOUFIS, III, 86, 170.
EXTERNE (L’), sens littéral, terme des
Ismaîliens, III, 105, 106.
EXTRAVAGANTS (Les). Voyez GHOLAT.
FACE, terme d’astrologie, III, 180,
note.
FACULTÉ ACQUISE. Ce qui s’entend par ce
terme, II, 357.
FACULTÉS. Comment elles s’acquièrent,
III, 332.
FADL IBN EIÇA, traditionniste, II, 172.
FADL (ABOU),
le Mérinide, I, Introd. XXVIII.
FADL (ABOU ’L‑HACEN IBN), poète, III,
431.
FADL (EL-), le Hafside, I, Introd. XXVIII.
FADL (EL-) IBN YAHYA, le Barmekide, fit
construire un rempart sur la frontière du pays des Turcs, I, 135.
FADL (IBN ABI ‘L‑), poète, III, 428.
FAIM, La mortalité causée par la faim
n’est pas si grande que celle qui est causée par le luxe, I, 180, 181.
— Ce n’est pas la faim qui fait mourir, 182.
FAITS. L’homme qui a acquis la
certitude d’un fait est tenu de le publier, I, 43.
— Comment les apprécier, 6.
FAIYOUN, pays, I, 129, 130.
FAKHR ED-DÎN ER-RAZI, I, 399,
note ; III, 33, 61, 163, note, 181.
FAKKH (La bataille de), I, 47, note.
FAMINES ET GRANDES MORTALITÉS. Elles
sont fréquentes quand l’empire est dans la dernière phase de son existence, II,
139.
FANTASMAGORIE, Art que les philosophes
désignent par ce nom, III, 175.
FARAB,
pays, I, 149.
FARASI (EL-), philosophe, II, 418,
note.
— Il s’occupa des sciences des Grecs, III, 127, 231.
— Il commenta l’Organon d’Aristote, 154.
— Sa doctrine sur la transmutation des métaux, 255.
— Il était très pauvre, 263.
FARADI (IBN EL-), biographe, II, 394.
FARAÏD. Voyez FERAÎD.
FARAN, montagne, I, 130.
FARECI (ABOU ALI ’L‑), grammairien,
III, 299, 311.
FARED
(OMAR IBN EL-), poète, III, 98, 103.
FAREH, client des Hafsides, XXXII.
FAREMA. Voyez FERMA.
FARÈS (ABOU), le Hafside, I, Introd. XVI.
FARÈS IBN
OUEDRAR, vizir de l’empire mérinide, I, 371.
FARFAR, village, I, Introd. LXVIII.
FARS (La mer de), I, 124, 133.
FARS (Le), pays, I, 133, 134.
FASIH (EL-), titre d’un dictionnaire
arabe, III, 320.
FASS (KITAB
EL-), l’Organon d’Aristote, III, 151, 236.
FATEMÎDE
(Le), attendu, I, 105, 330 ; II, 158 et suiv.
— Les chîïtes et les soufis ont beaucoup parlé
de lui, 191.
FATEMIDES
(Les). Ils descendaient bien certainement d’Ali, I, 40 et suiv.
— Durée de leur dynastie, 41, 42.
— Déclaration dressée contre eux à
Bahdad, 44.
— Leurs richesses, 367.
— Établissement de leur empire, II,
117, 118.
FATEMIDES PRÉTENDUS. Il en a paru
plusieurs dans le Maghreb, II, 202.
FAZAZI (EL-), ministre de l’empire
hafside, I, Introd. XVII.
FEDAOUÏ. Signification de ce mot, I,
142.
FEHREDJ
(EL-), ville, I, 134.
FELASEFA. Explication de ce mot grec, III, 228.
FEM ES-SELH, lieu, I, 352, note.
FERAÇA. Signification de ce terme chez
les soufis, I, 227.
FERAÏD (Les), partage des successions,
III, 21 et suiv., 138 et suiv.
— Selon quelques docteurs, les feraïd
formaient le tiers de la science, III, 24, 139.
— Voyez SUCCESSIONS.
FERAHIDI (EL-). Voyez KHALIL IBN AHMED.
FERAS (ABOU), le Hamdanide, III, 377,
note.
FERDJÎOUA
(Le), pays, I, Introd. XLVIII, note.
FEREDJ.
Voyez MELEK (EL-) EN‑NACER.
FEREDJ (ABOU ’L-) EL-ISPAHANI, III,
330, note.
FERÈS (IBN), poète, III, 430, note.
FEREZDEC (EL-), poète, III, 390, note.
FERGHANA,
pays, I, 136, 148, 149.
FERGHANA (La rivière de), I, 99. —
Voyez CHACH.
FERGHANI
(EL-) AHMED IBN KETHIR, astronome, III, 147, note.
FERGHANI (MOHAMMED IBN AHMED EL-),
commentateur du Taïya d’Ibn el‑Fared, III, 98, note.
FERMA, ville, I, 131.
FERRO (IBN), traditionniste et lecteur, II, 456, note.
FERROUKH (ABD ALLAIT IBN), traditionniste,
II, 212, 214, 394, note.
FESA, ville, I, 133.
FETOUA (opinions juridiques), I,
448.
FEWASEL.
Signification de ce terme, III, 361.
FEZ, ville, I, 126.
— Les habitants de Fez ont l’air triste, 176.
FEZZAN (Le), pays, I, 122.
FIERTÉ (La). Elle est quelquefois
nuisible et blâmable, II, 342.
FIÈVRES. Leurs causes et leur guérison,
II, 249, 388, 389.
FILASOUF. Explication de ce mot grec,
III, 228.
FILSEFIYA, III, 122, note.
FIMARK, peuple, I, 165.
FIKH EL-HISAB, traité d’arithmétique,
III, 134.
FIKH EL-LOGHA, traité de philologie,
III, 319.
FIN (La) D’UNE PLANÈTE. Explication de
ce terme astrologique, II, 221, note.
FINANCES (L’administration des), II, 19
et suiv.
— Les finances sous les Mérinides et sous les Turcs
mamlouks, 24.
— Du préjudice que l’État ressent du côté des
finances, 125, 126.
FITR IEN KHALIFA, traditionniste, II, 165,
note.
FLANDRE (La), I, 160.
FLEUVES, I, 97.
FLOTTE. La flotte et son commandement,
II, 37 et suiv.
— Nombre des bâtiments dont se composait la flotte du
souverain omeïade Abd er‑Rahman en‑Nacer, 40.
— La flotte du roi Roger, 112.
— Voyez PUISSANCE MARITIME.
FODEÏL
IBN EÏYAD, soufi, I, 31, note.
FODEÏL (MOHAMMED IBN), traditionniste,
II, 177, note.
FOI (La). Elle est de plusieurs degrés,
III, 49.
— En quoi elle consiste, 51, 52.
FOI PARFAITE, III, 50.
FOLOUNIYA, pays, I, 165.
FOLOUS, monnaie, I, 252.
FONCTIONNAIRES DU GOUVERNEMENT. Leurs
diverses classes, II, 2, 3.
— Leurs devoirs, 4.
— Leur petit nombre sous les Fatemides et les
Almohades, 12.
— Ce qui leur arrive quand ils se réfugient dans un
autre pays avec leurs richesses, 102, 103.
FONDATEUR (Le) D’UN EMPIRE. Qualités
par lesquelles il doit se distinguer, I, 300.
FORAT. Voyez ACED.
FORFORA, terme d’alchimie, III, 225.
FORME ET MATIÈRE. La dynastie et la
cour sont pour la population d’un État ce que la forme est pour la matière. II,
299, 310, 311.
FORME TEMPÉRAMENTALE, terme d’alchimie,
III, 258, 259.
FORMULE ABBACIDE, dans le prône, II,
74.
FORONTIRA (EL-), contrée, I, Introd. XIV.
FORTUNÉES (Les îles), I, 112, 113,
note.
FOSTAT. Ce mot signifie tente, II, 68.
FOTOUH
EL-GHEÏB, commentaire du Keschaf, II, 463, note.
FRACTIONS, en arithmétique, III, 132.
FRAGA, ville, I, 140.
FRANÇAIS. Il y en avait au service des
gouvernements musulmans de l’Espagne, I, 309.
FRANCE, I, 160.
FRANCS. Les sciences chez ce peuple,
III, 129.
FRAUDES. Pourquoi la loi tolère
certaines fraudes dans la vente des marchandises, II, 325.
— Fraudes pratiquées par des individus qui prétendent
avoir le secret de trouver des trésors‑cachés, II, 333, 334.
FRISE (La), I, 160.
FROID (Le). Ses causes, I, 103, 104.
— Ses effets sur la constitution de l’homme, 171.
FRONTIÈRE, nom donné à Alexandrie, II,
252.
— La plaine située entre Séville et Jaën porte aussi
ce nom, I, XIV.
GABAOUN, lieu de la Terre Sainte, II,
264.
GAFSA, ville, XXXI.
GAIN (ﺔﻴﻨﻗ). Signification de ce terme, II, 322.
GAIN (ﺏﺳﻛ). Signification de ce terme,
II, 319 ; III, 249.
— Sur les moyens de gagner sa vie, II, 323 et
suiv. ; III, 263.
GALGAL, lieu de la Terre Sainte, II,
264.
GALICE (La), I, 150 ; II, 45.
GALICIENS (Les). Il y en avait au
service des gouvernements musulmans de l’Espagne, I, 309.
— Leurs conquêtes en Espagne, II, 45.
— Leurs drapeaux et leur musique militaire, 53.
GALIEN, III, 163.
GARDE. Celle des khalifes s’empara du
pouvoir, I, 48.
GASCOGNE, I, 141, 151.
GAZELLES D’OR (Les), trouvées par Abd
el-Mottalib, II, 256, 262.
GÉANTS. Fausses idées au sujet de la
taille des peuples anciens, I, 360, 361 ; II, 243.
GÉBEB. Voyez DJABER IBN HAÏYAN.
GÉNÉALOGIES. Mohammed ordonna de les
apprendre par cœur, I, 271.
— Omar aussi ordonna de les apprendre, 272.
— On s’attribue quelquefois une généalogie qui n’est
pas la sienne, 277, 278.
GÉNÉRALISATION ET CONVERSION, terme de
logique, III, 159.
GÉNÉRALISATION ET EMPÊCHEMENT, III,
159.
GÉNÉRATION. Pour laisser éteindre une
génération et la remplacer par une autre, il faut une période de quarante ans,
I, 296.
— La durée d’une génération, 347, 349.
— Le calcul par générations, 350.
GÊNES, I, 151
— Attaquée par la flotte fatemide, II, 41.
GÉOMANCIE. Un de ses procédés, I, 232.
— Un autre, 233, 234.
— L’invention de cet art fut attribuée à Daniel, 235.
— Tradition relative à un prophète qui traçait des
lignes sur le sable, I, 235, 237, 238. — Comment les géomanciens opèrent, 236,
237, 238, 239.
GÉOMÉTRIE (La). Son objet, III, 122.
— Les sciences géométriques, 140 et suiv.
— La géométrie des figures sphériques et des figures
coniques, 142.
— La géométrie pratique, 143.
GERMANIE, I, 161.
GHABIR. Signification de ce terme, II, 419.
GHACHKOUNIYA,
I, 141, 151.
GHADAMÈS,
I, 128.
GHAFEC, ville, I, 139.
GHAÏA TEL-HAKÎM, traité de magie et de
talismans, I, 217 ; III, 172, 181, 195, 197, 208, 227.
GHAÏLAN IBN
OCBA, poète, III, 376, note.
GHAMMAZ (IBN EL-), cadi de Tunis, I, Introd. XXII.
GHANA, ville et pays, I, 114, 115, 122.
GHANOUN,
lac, I, 166.
GHARNATA, ville, I, 139.
GHASSAÇA, ville, I, Introd. LXIII, 127.
GHAUR (Le), pays, I, 134.
GHAZEL, espèce de poème, III, 447.
GHAZI (ABOU BEKR IBN), vizir mérinide,
I, Introd. LVI, LVII et suiv.
GHAZI (BEN), ville, I, 129, note.
GHAZNA, ville, I, 134.
GHAZZAL (EL-). Voyez OUACEL-IBN ATA.
GHAZZALI (EL-), théologien philosophe,
III, 32, note.
— Il appliqua la logique à la scolastique, 61.
— Ce qu’il dit de l’état de l’âme lorsqu’elle a quitté
le corps, 84.
— Il déclara que la logique n’était pas contraire aux
dogmes de la religion musulmane, 156, 160.
— Il réfuta les doctrines des philosophes, 167.
— Il a écrit un poème sur la zaïrdja, 199, note.
— On lui attribue des traités sur l’alchimie, 209.
GHIRLANDA, pays, I, 165, note.
GHOBAR, espèce d’écriture, I, 8.
GHODOCH,
île, I, 141.
GHOLAT
(Les), I, 404, 405.
GHOMARA,
tribu, I, Introd. XXXVI, note.
GHOMBA,
tribu, I, Introd. LXI, note.
GHORGOUN,
lac, I, 157, 158.
GHORIAN, montagne, I, 128.
GHOSN. Signification de ce terme dans
l’art de la versification, III, 423, note.
GHOZZ (Les), peuple, I, 157, 158.
GIRONNE, ville, I, 141, 157.
GOG ET MAGOG, I, 92, 158, 159, 164, 167.
— Voyez YADJOUDJ.
GOGO, ville, I, 116, note.
GOURARA. Voyez TÎGOURARIN.
GHOURGHAN. Signification de ce titre,
I, Introd. LXXXVI, note.
GOÛT. Ce terme est employé chez les soufis,
III, 87, 88, 110, 111, et chez les rhétoriciens, 345, 349 et suiv.
GOUVERNEMENT (sîaça). La société
ne saurait exister sans être gouvernée, II, 140 et suiv.
— Lettre adressée par Taher Ibn el‑Hosein à son fils
Abd Allah, sur le gouvernement d’une province, 142 et suiv.
GOZMAN (IBN), poète espagnol, III, 436,
437, 438.
GOZZO,
île, I, 141.
GRAINS. Le bon marché des grains est ce
qu’il y a de plus à désirer, II, 353.
GRAMMAIRE. Les premiers maîtres dans
cet art, III, 299.
— Elle tient la première place parmi les sciences qui
se rapportent à la langue arabe, 307, 308.
— Son utilité, 308.
— Formation du système de la grammaire arabe, 310,
337.
— Écoles de Basra el de Koufa, 311.
— Les divers systèmes de grammaire, 312.
— Définition de cet art, 345.
— La connaissance théorique de la grammaire ne suffit
pas pour procurer la faculté de parler avec élégance, 346, 347, 354.
GRAND ŒUVRE (Le), III, 210, note.
— Doctrines des alchimistes à ce sujet, 254 et suiv.
— S’occuper à fabriquer le grand œuvre, c’est
pratiquer une espèce de magie, 263.
GRAS ET MAIGRES. Signification de cette
expression en arabe, I, 13, note.
GRENADE,
I, 139.
GUADALAXARA,
ville, I, 139.
GUADIX, ville, I, 139.
GUÉDALA (Les), tribu, I, 122.
GUEDMIOUA (Les), tribu, I, 126.
GUERCÎF, ville, I, Introd. LXV.
GUERRE (La). Usages militaires des
divers peuples, II, 75 et suiv.
— Comment les guerres prennent leur origine, ibid.
— La guerre sainte, 16.
— Il y a deux ordres de bataille, ibid.
— Divisions dont se compose l’armée, 77, 78.
— Système de charge et de retraite, 79.
— Point de ralliement, ibid. 80, 81.
— La charge à fond fut employée par les premiers
musulmans, 80.
— Ordre de bataille par divisions, 81.
— Troupes européennes au service des gouvernements
musulmans, I, 309 ; II, 82.
— Manière de combattre employée par les Turcs, II, 83.
— Ce que Mohammed disait de la guerre, 88, 89, 133,
144.
— Les guerres civiles des premiers musulmans, I, 433,
434.
GUERRE SAINTE (La). Au temps d’Ibn Khaldoun,
le bureau ou administration de la guerre sainte n’existait plus, I, 461.
GUETFA, lieu, I, Introd. LIII, note, LX.
GUEZOUL, montagne, I, Introd. LXVII, note.
HABBAN (IBN), docteur en traditions, I,
38 ; II, 174, note.
HABIB. Voyez TEMMAM (ABOU).
HABIB (IBN), docteur malekite, III, 16,
note.
HABIB
(MOHAMMED EL-), l’imam, I, 409.
HABIBA (OMM). Voyez OMM.
HABITATIONS. Leurs diverses espèces,
II, 370, 371.
— Leurs embellissements, 373.
HACEB. Par ce terme on désigne une certaine
classe de devins, II, 206.
HACEL (EL-), titre d’un traité de jurisprudence,
III, 34.
HACEN (ABOU ’L-), sultan mérinide, I, Introd. XXIII, XXVII, XXVIII,
XXIX ; II, 45, note.
HACEN (ABOU ’L-), cadi malekite, III,
15.
HACEN (ABOU ’L-), traditionniste, II,
167,
HACEN (EL-) EL-BASRI, soufi, II, 188,
note.
HACEN (EL-) IBN ALI, l’Alide, frère de
Zeïd, I, 408.
HACEN (EL-) IBN EL-CACEM, II, 234, 235.
HACEN (EL-) IBN MOHAMMED, membre de la
famille Khaldoun, I, Introd, XV.
HACEN
(EL-) IBN OMAR, vizir, Introd. XXXVI, XXXVII et suiv.
HACEN
(EL-) IBN SEHEL (ou SEHL), vizir, I, 352, 353.
HACEN (EL-) IBN YEZID, traditionniste,
II, 175.
HACEN
(EL-) IBN YOUÇOF ; vizir, I, Introd.
XXXVII.
HACEN (EL-) IEN ZEID, Alide, I,
408 ; II, 51, note.
HACHEM (IBN), chérif de la Mecque, III,
407 et suiv.
HACHEMIYA (Les), secte chîïte, I, 406.
HACHICHIYA‑ISMAILIYA, la secte des
assassins, I, 142.
HACHMONAÎ (BENI), les Asmonéens on
Macchabées, II, 266.
HADDJADJ (ABD ALLAH IBN), émir espagnol,
Introd. XI.
HADDJADJ (EL-) IBN YOUÇOF. On disait
que son père avait été maître d’école, I, 60.
— Il appartenait à une bonne famille, 61.
— Reproche adressé par lui à Selma Ibn el‑Akoua, 260,
261, 263.
— Ce qu’un Arabe bédouin disait de lui, 312.
— Anecdote du festin qu’il voulait donner, 353.
— Il ordonne à son secrétaire de mettre en arabe le
cadastre de l’Irac, II, 22.
— Il fit frapper des dirhems, 55 ; et des dinars,
56.
— Il brûla la tente de Rouh Ibn Zinbâa, 69.
— Preuve du haut rang qu’il tenait parmi les Arabes,
70.
— Il rebâtit le temple de la Mecque, 258.
HADDJADJ (EL-) IBN YOUÇOF, traducteur
d’Euclide, III, 141, note.
HADDJADJ (IBRAHIM IBN), émir espagnol,
I, Introd. XI.
HADDJADJ (YOUÇOF IBN EL-), III, 141.
HADDJADJ (Les), puissante famille de Séville,
I, Introd. XI.
HADER (ﺮﻀﺤ). Signification de ce mot,
I, 255.
HADERITE, dialecte arabe ainsi nommé,
II, 317, 318.
HADITHA (EL-), ville, I, 145.
HADJEB (chambellan). Les fonctions de
cet office, II, 5.
— Il n’existait pas chez les premiers musulmans, mais
il fut établi quand les khalifes adoptèrent les usages de la royauté, 7.
— Consigne donnée par Abdel‑Melik Ibn Merouan à son hadjeb,
ibid. et I, 447.
— Sous les Omeïades espagnols, ce fonctionnaire fut le
vizir en chef, II, 11.
— Sous les Almohades, le hadjeb était premier
ministre, 12.
— Le titre de hadjeb fut porté en Espagne par
El-Mansour Ibn Abi Amer et par les rois des provinces, 13.
— En Égypte, du temps de l’auteur, le hadjeb
était subordonné au naïb, ibid.
18.
— Ce titre ne fut pas connu d’abord sous les dynasties
africaines, 14.
— Il n’y eut pas de hadjeb chez les Mérinides,
16.
— Les Hafsides donnaient le titre de hadjeb à
l’intendant du palais, 15.
— Puis on institua un grand chambellan qu’on appelait
le hadjeb, 15, 16.
— Il y en a plusieurs à la cour des Turcs mamlouks de
l’Égypte, 17.
— Chez les Beni Abd el‑Ouad, l’intendant élu palais
portait le titre de hadjeb, 17.
— Sous les Hafsides, l’office de hadjeb acquit
une grande importance, ibid.
— Comment l’office de hadjeb s’établit, 114 et
suiv.
— Il existait déja du temps d’El-Moaouîa, 115.
HADJEB
IBN ZORARA, chef arabe, I, 289.
HADJEB (IBN EL-), grammairien et
légiste, III, 20, 34, note, 274, 312.
HADJI (ﻰﺠﺎﺤ). Signification de ce
terme, I, 254.
HADRAMI (EL-), natif de Hadramaut, I,
1, note.
HAFEDH. Signification de ce titre, I,
37, note.
HAFS
(ABOU), émir hafside, I, Introd. XVII.
HAFSIDES (Les). Ils étaient Almohades,
II, 36, note.
HAFSOUN (IBN), insurgé espagnol, I, Introd. XII.
HAÏ IBN YACDHAN. Un livre portant ce
titre est attribué à Avicenne, II, 385, note.
HAIYAN (IBN), historien espagnol, I, 7,
note ; III, 356.
HAIYOUN (IBN), poète espagnol, III,
430.
HAKEM (Le), attributions de ce
magistrat, Introd. LXXVI, note.
— Il faisait exécuter les jugements des tribunaux,
II, 17.
— Le chef de la chorta portait le titre de hakem,
35
— Comment cet officier constatait et punissait les
crimes, 35, 36.
HAKEM (Le), titre par lequel on
désignait le docteur et traditionniste Abou Abd Allah Mohammed en‑Neïsapouri,
surnommé Ibn el‑Beï (ﻊﻴﺑﻠﺍ), I, 188, note ; II, 163, 168, 468.
HAKÎM (IBN EL-), général hafside, I, Introd, XLII.
— Ses trésors, I, 368.
HELI IBN YACOUB, ville, I, 119.
HALLADJ (EL-), III, 113, note.
HALOUA. Signification de ce mot, I, 34,
note.
HALOUMA. Signification de ce terme, I,
217.
HAMADANI (EL-), littérateur, III, 386,
note.
HAMID
(IBN ABD EL-), I, 364.
HAMIRA (IBN ABI), II, 395.
HAMMAD, le Sanhadjite, II, 118.
HAMMAD
IBN ISHAC, musicien, II, 421.
HAMMAD IBN SELMA, traditionniste, II,
174, note.
HAMMAD (IBN), l’historien, II, 58,
note.
HAMMOU (ABOU),
l’Abd el‑Ouadite, I, Introd. XXV,
XLI, XLIX et suiv., LII, LIII, LIV.
HAMMOUD
(BENI), les Idrîcides espagnols, II, 226.
HAMZA
IBN ALI, chef arabe, I, Introd. LIX.
HANBEL
(AHMED IBN), I, 36 note ; II, 163, note ; III, 8.
— Son opinion sur Yahya Ibn Akthem, 37.
— Il évitait d’employer le terme nouveau (ou
créé) pour désigner le texte du Coran, soit écrit, soit parlé, III, 73.
HANBELITES. Leur esprit turbulent, II,
9.
— Leurs opinions étranges au sujet des attributs
divins, III, 73, 74.
— Leur nouvelle doctrine relativement aux attributs,
76.
HANEFIYA
(IBN EL-), I, 403, 404, 406 ; II, 178, 180.
HANI (IBN). Voyez NOUAS (ABOU).
HANI (IBN), poète espagnol, III, 385,
note.
HANIFA (ABOU), III, 6, note.
— Indication des pays où sa doctrine est professée,
10.
HAOUFI (ABOU ’L-CACEM EL-), arithméticien,
III, 23, note.
— Il a écrit un ouvrage sur les feraïd, 140.
HARAM (Le) DE LA MECQUE, II, 260.
— Ses privilèges et ses limites, 260, 261.
HARB, fils d’Omeïa, II, 393, 395.
HARETH
(EL-) IBN ACED, III, 72.
HARETH
(EL-) IBN HICHAM, compagnon de Mohammed, I, 203, 204.
HARETH
(EL-) IBN KILEDA, médecin arabe, III, 164, note.
HAROUN
(ABOU) EL-ABDI, II, 174.
HAROUN
ER-RECHÎD. L’anecdote racontée de sa sœur
Abbasa ne mérite aucune croyance, I, 26 et suiv.
— Il est faux qu’il buvait du vin, 31.
— Sa piété, 32.
— Il buvait du nebîd, 35.
— Recommandations qu’il adressa au précepteur de son
fils el‑Amîn, III, 292.
— Il voulait faire abattre l’Eïouan Kisra, I, 359,
360.
— Il avait des connaissances très solides en poésie,
402.
HAROUN IBN
EL-MOGHIRA, traditionniste, II, 166, 167.
HAROUN IBN
SAID EL-EÏDJLI, chef de la secte des Zeïdija, II, 214, 215.
HAROUN (IBN),
docteur tunisien, III, 21.
HAROUN (IBN)
ET-TAÏ, docteur malekite, I, Introd.
XXIII.
HAROURIYA (Les), secte kharedjite, II,
170, note.
HAROUT ET MAROUT, III, 124, note.
HARRAN,
ville, I, 143.
HARRANI (EL-) ; a écrit sur
l’alchimie, III, 218, note.
HASAÏAI (EL-),
grammairien, I, Introd. XXI.
HASSAN IBN
THABET, poète, III, 390, note.
HASSOUN (IBN),
général mérinide, I, Introd. LXII.
HATEM (ABOU) ER-RAZI, traditionniste,
II, 164, note, 172, 175, note.
HATEM (IBN ABI), traditionniste, II,
164, 175, note.
HAUCAL (IBN), I, 112, note.
HAUCALI (EL-). Voyez HAUCAL.
HAUCHEB (IBN),
agent des Fatemides, II, 216.
HAUCHI (ﻰﺷﻭﺤ).
Signification de ce mot, III, 380.
HAUFI, espèce de poème, III, 451.
HAURA (EL-), ville, I, 130.
HAURAN (Le), pays, I, 132.
HAURANIYA,
poèmes ainsi nommés, III, 404, 405.
HAZM (IBN) ED-DHAHERI, I, Introd. VII.
— Il écrivit un traité sur les religions et les
sectes, 410 ; II, 61, note.
— Il embrassa la doctrine des Dhaherites, III,
5 ; et la vente de ses écrits fut défendue, 6.
HAZMOUN (IBN), poète espagnol, III,
431.
HEBAÏENNE. Voyez PRÉSENCES.
HÉBRON,
I, 131.
HEDJER,
pays, I, 124, 132, 133.
HEÏB
(Les), tribu, I, 129.
HEÏTHEM
(IBN EL-), mathématicien, I, III, note ; III, 144.
HELBA,
tribu, III, 422.
HÉLÈNE, mère de
Constantin, bâtit l’église de la Résurrection à Jérusalem, II, 267.
HEMS,
ville, I, 132, 142.
HENNAÏ (IBN), grammairien, III, 318,
note.
HÉRACLÉE, ville, I, 161.
HÉRACLIUS. Sa conversation avec Abou
Sofyân, I, 187, 188 ; III, 49.
HERACLIYA,
I, 161.
HÉRAT,
I, 134, 148.
HERDOUS (IBN), poète, III, 428.
HENIÇA (espèce de mets), II,
312, note.
HÉRODE. Il rebâtit le temple de
Jérusalem, II, 266.
HEROUÏ (EL-), soufi et docteur
hanbelite, III, 103, note, 106.
HESKOURA (Les), tribu, I, Introd. XXV, note, 126.
HEZEDJ,
rhythme musical, II, 419.
HIBOU (Fable du), I, 80 ; II, 107.
HIÇAB
EL-DJOMEL, I, 248, note.
HIÇAB
EN‑NIM, I, 24I, 245.
HICHAM
(DJEMAL ED-DIN IBN), grammairien, III, 273, note, 312, note, 313.
HICHAM
EL-KELBI, généalogiste, I, 5.
HICHAM
EL-MOWEÏYED, III, 316, note.
HICHAM (IBN), l’auteur du Siret er‑Rasoul, I,
5, note.
HICHAM IBN ABD ER-RAHMAN, I, Introd. XI.
HICHAM IBN
OROUA IBN EZ-ZOBEÏR, traditionniste, I, 25, note ; II, 169, note.
HIDJABA,
l’Office de hadjeb, II, 13. — Voyez HADJEB.
HIDJARI (EL-), historien, I, Introd. X, note.
HIDJAZ (Le), pays, I, 123, 130.
HIDJAZ (L’école du), II, 469 ;
III, 6, 14.
HIDJAZ (Les gens du), III, 6, 14.
HIDJAZI
(EL-), I, Introd. X, note.
HIDJAZIENS
(Les), tribu maghrébine, I, 277.
HIDJR (Le), endroit du temple de la
Mecque, II, 253, 257, 258.
HIDTHAN. Signification de ce mot, II,
206.
HILAL
IBN AMR, II, 167.
HILAL
(BENI), tribu, II, 298, note.
HIMYERITES. Leur dialecte, III, 337.
— Ils eurent des poètes, 403.
— Voyez ÉCRITURE.
HIND-ASBÂ, III, 179, note.
HINTATA (Les), tribu, I, Introd. XXVIII, I, 126.
HIRA
(EL-), I, 132, 144 ; II, 392, note.
HISAR (EL-), titre d’un traité
d’arithmétique, III, 133.
HISBA (La). Nature de cet office, I,
458 et suiv.
HISTOIRE (L’). Son utilité, I, 3 et
suiv., 12.
— Son objet, 71.
— Comment elle devint un mélange d’invraisemblances
et d’erreurs, 56.
HISTOIRE (L’) UNIVERSELLE. Les auteurs
qui ont abordé ce sujet, I, 4.
— Distribution de l’histoire universelle d’Ibn Khaldoun,
I, Introd. XCVII et suiv. I, 10.
— Nombre de volumes dont se compose cet ouvrage et
liste des chapitres contenus dans les cinq derniers volumes, XCVI et suiv.
— Les renseignements historiques offrent des contradictions,
III, 266.
HISTOIRE DES BERBERS d’IBN KHALDOUN, I,
Introd. LXX, XCVI, CII, 9.
HISTORIENS. La plupart d’entre eux
furent des gens sans critique et peu véridiques, I, 4.
— Les historiens qui ont écrit des ouvrages détaillés,
5.
— Des méprises et des erreurs dans lesquelles tombent
les historiens, 13 et suiv.
— Connaissances qu’un historien doit posséder, 56,
57.
— Erreur de ceux qui jugent du passé d’après le
présent, 58.
— Comment ils traitent l’histoire d’un prince ou d’une
dynastie particulière, 64.
— Tout historien doit d’abord fournir au lecteur des
notions générales sur chaque pays, chaque peuple et chaque siècle, 65.
HIT,
ville, I, 145.
HOBEÏRA
(IBN), II, 56.
HOCEÏN (ABOU ’L-) EL-BASRI, Motazelite,
III, 33, note.
HOCEÏN (BENI ABI ’L-), famille
espagnole, II, 24.
HOCEÏN (BENI ABI ’L-), rois de Sicile,
II, 41, note.
HOCEÏN (EL-), fils d’Ali, I, 430, 439.
— Sa mort, 441.
HOCEÏN (IBN ABI ’L‑), vizir
hafside ; fit un abrégé du Sahâh d’El-Djeuheri, III, 317, note.
HOCEÏNI (ABOU ’L-ABBAS EL-), cherif et
natif de Ceuta, I, Introd. XLIII.
HODEIDJ (MOAWIA IBN). Son expédition
contre la Sicile, II, 40, note.
HODEÏFA IBN EL-YEMAN, un des
Compagnons, II, 212, note, 213.
HODEÏL (ABOU ’L-) EL-ALLAF,
Motazelite, III, 71.
HODEÏR (BENI), famille espagnole, II,
101.
HODJR
IBN ADI, I, Introd. VIII, note.
HOEÏ, docteur juif, II, 211, 212.
HOLOUAN, ville, I, 145.
HOMERE, le poète. Il est loué par
Aristote, III, 402.
HOMME (L’). Ce qui le distingue des
autres animaux, I, 84.
— Il est citadin par sa nature, 86, II, 430.
— Sans la société il ne saurait exister, I, 86 et
suiv.
— Il est ignorant par nature ; ce qu’il sait
consiste en connaissances acquises, II, 438 et suiv.
HOMME (L’) à L’ÂNE, II, 216, note.
HONEÏN, port maghrébin, I, Introd. LV, 127, note.
HONEÏN
IBN ISHAC, III, 141, note.
HONGRIE (La), I, 160.
HOOUARA (Les), tribu maghrébine, I, Introd. XXXI, 128.
HOOUARA (Plaine des), I, Introd. XXXI.
HOREÏRA (ABOU), II, 163, note.
HORIZON (L’) LE PLUS ÉLEVÉ, terme de
soufisme, III, 91.
HORMOZAN (EL-), général perse, II, 20,
note.
HORMUZ,
lieu, I, 133.
HORMUZD
AFERID. Sa prédiction relativement à la
dynastie sassanide, II, 221, 222.
HOSEÏN (Les)(ﻥﻴﺼﺤﻠﺍ), tribu maghrébine,
I, Introd., LIII, LVIII.
HOTAÏYA (EL-), poète, III, 390, note.
HOUCHENI (EL-), poète, II, 230.
HOUD (IBN), I, Introd. XIV, note, XV.
HUILE. Dans une certaine opération magique,
on plaçait un homme dans une jarre d’huile, I, 225.
IABORA,
ville, I, 139.
IBRAHIM,
l’Abbacide, surnommé l’imam, I, 407.
IBN
ABD ALLAH, l’Alide, I, 407 ; II, 171, note.
IBRAHIM IBN HADDJADJ, émir espagnol, I,
Introd. XI.
IBRAHIM
EL-MAUCELI, musicien, II, 421, note.
IBRAHIM
IBN EL-MEHDI, I, 39, 429 ; II, 421, note.
IBRAHIM EN‑NADDHAM,
docteur motazelite, III, 71.
IBRAHIM EN‑NEKHAÏ, docteur et
traditionniste, II, 176, note, 178.
ICD (L’), l’anthologie d’Ibn Abd
Rabbou, I, 30.
ICHARAT, ouvrage d’Avicenne, III, 104,
note, 161, 162, 236, note.
ICHMAM. Signification de ce terme, I,
69, note.
ICHRAC (ﻖﺍﺮﺷﺍ), illumination
spirituelle, III, 167.
ICHRAKIYA (Les), illuminés, III, 167,
168, note.
ICTÂ. Signification de ce mot, I, Introd. XV, note.
ICTISAR (EL), traité d’astronomie, III,
147.
IDAH, traité de rhétorique, III, 326.
IDENTIQUE, terme de soufisme, III, 96.
IDENTITÉ ABSOLUE (le panthéisme),
III, 100, 103, 106.
IDÉES (Les) d’objets externes ;
comment elles se perçoivent, I, 199.
IDIOTS ; comment les distinguer
des insensés, I, 231.
— Ils obtiennent quelquefois des perceptions du monde
invisible, I, 229, 230, 231.
IDJAZA, licence d’enseigner, I, Introd. XXII, note.
IDJTIHAD. Signification de ce terme,
III, 8, note.
— La porte de l’idjtihad est maintenant
fermée, ibid. 9.
IDLELTEN
(BENI), tribu, I, 279, note.
IDRICI (EL-), I, 93, 99, 112, note
— Les cartes géographiques renfermées dans son
ouvrage, 106, note, 112, note.
IDRICIDES (Les). Leur généalogie est authentique,
I, 46 et suiv.
— Pourquoi on attaque cette généalogie, 51.
— Noms des familles idricides qui habitent encore la
ville de Fez, 53.
— Quelques Zeidiya les regardaient comme imams, 408.
IDRIS, le patriarche, II, 325, note,
381 ; II, 203.
IDRIS Ier, IBN ABD ALLAH, I, 46 et suiv.
— Son épée est encore suspendue au sommet du grand
minaret à Fez, 51.
— Il fonde une dynastie dans le Maghreb. 408 ; II, 117.
IDRIS
II, I, 46, 50.
IDRÎS
(ABOU) EL-KHAULANI, I, 451.
IFELLOUCEN
(IBN ABI), prince mérinide, I, Introd.
LXIII.
IFRANÇA, pays, I, 160.
IFREN (BENI), tribu de la Mauritanie,
II, 206.
IFRICOS,
I, 19.
IFRÎKIYA,
pays, I, 7, note, 19, 128, 312.
IFRIZA, pays, I, 160.
IGNORANT. Signification donnée à ce mot
par les premiers musulmans, III, 297.
IHYA, ouvrage composé par el‑Ghazzali,
III, 90, note, 92.
IKHTIAR, libre arbitre, I, 189, note.
IKHTIARIYA.
Signification de ce terme, I, 189, note.
IKMAL
EL-MOLEM, supplément au Molem, lequel est un commentaire sur le Sahîh de
Modem, II, 476.
IKRITICH,
île, I, 141.
IKSIR. Voyez ELIXIR.
ILAHIYA, la métaphysique, III, 222.
ILES de la Méditerranée conquises par
les musulmans, II, 41.
ILLUMINÉS (Les), III, 167, note. Voyez
ICHRAKIYA.
ILLUSTRATION PERSONNELLE. Elle ne se
transmet pas en héritage, II, 342.
IMAGINATION. Son siège, I, 199.
IMAM. Observations sur cette dignité,
I, 384 et suiv. 387.
— Il peut y avoir deux imams à la fois, 391.
— Qualités requises dans un imam, 392, 393.
— Les imams zeidiens, 407.
— Les fonctions d’un imam, 426.
— Il peut léguer son autorité, 427.
— Les imams cachés, 409.
— Les quatre imams de la jurisprudence, III, 35, note.
IMAM (L’), titre donné au philosophe
Fakhr ed-Dîn er‑Razi.
IMAM (L’) ATTENDU, I, 405, II, 158 et
suiv. Voyez MEHDI.
IMAM
EL‑HAREMEÏN, I, 391, note ; III, 23, 60, 140.
IMAM
(IBN EL-), I, Introd. XXV, XXX,
note ; II, 442.
IMAMAT
(L’), I, 384, 387.
— Diverses opinions relatives à cette dignité, 426 et
suiv.
— La croyance à la nécessité d’un Imam n’est pas un
dogme de foi, III, 58, 59.
IMAMAT de la prière, I, 445.
IMAMIENS (Les) I, 402, 403, 404, 405.
— Leur doctrine, 409, 410.
— Erreur fondamentale de cette doctrine, 431.
IMBERATHOR, I, 477.
IMMATÉRIEL (L’) ne saurait être un
objet de raisonnement, III, 234.
IMMEUBLES. Pourquoi certains habitants
de villes possèdent beaucoup d’immeubles, II, 291 et suiv.
IMPECCABILITÉ, III, 50.
IMPERATOR. Signification de ce mot,
selon Ibn Khaldoun, I, 477.
IMPÔTS. Chez les premiers musulmans il
n’y avait pas un officier particulier chargé de percevoir les impôts, II, 6.
— Ceux qui sont autorisés par la loi divine, 92.
— Dans un empire qui vient de se fonder, les impôts
sont légers, et vice versa, 92, 93. — Ce qui fait accroître le nombre
des impôts, 126.
— Recommandations faites par Taher Ibn el‑Hosein au
sujet de l’impôt, 152.
— L’argent tiré de l’impôt profite ordinairement au
peuple, 299, 300.
— On mit un impôt sur les chercheurs de trésors
cachés, 336.
— Une tribu s’avilit qui consent à payer l’impôt, I,
297.
— Voyez REDEVANCES.
IMPROBATION, terme de droit, I, Introd. LXXVI, note, 72, note
— Ce terme est aussi employé dans la critique des traditions,
II, 160, note.
INAUGURATION, I, 424 et suiv.
INCHA. Signification de ce terme, III,
265, note, 323.
INDE
(L’), I, 124, 125, 136.
— Elle fut envahie, dit-on, par les anciens Arabes,
303.
INFLUENCES EXTERNES. Toutes les catégories
d’êtres y sont soumises, I, 197, 198.
— Celles des astres sont nulles, II, 289.
INFORTUNÉ (L’) MAJEUR et L’INFORTUNÉ
MINEUR, termes astrologiques, II, 218, note.
INJUSTICE. Voyez OPPRESSION.
INSENSÉS. L’état de l’âme
chez eux, I, 222, 223.
INSIGNES DE LA SOUVERAINETÉ, II, 48 et
suiv.
INSPIRATION (L’), I, 184 et suiv.
INSPIRATIONS. Les compagnons de
Mohammed en eurent quelquefois, ainsi que les Soufis, I, 228, 229.
INSPIRÉES (Les), I, 228.
INSTINCT (ilham).
Cette faculté existe dans l’espèce humaine, II, 384, 385.
INSTITUTEURS (Le premier des), III,
126, 127, 231.
INSTRUCTION PRIMAIRE. Divers systèmes
d’enseignement se trouvent dans les pays musulmans, III, 285 et suiv.
— L’enseignement dans le Maghreb, 286, 287, 288 ;
en Ifrîkiya, 287, 288 ; en Orient, ibid.
— L’enseignement du Coran dans ces pays, 288.
— Système d’enseignement proposé par Abou Bekr Ibn el‑Arebi,
289, 290.
— Pourquoi l’enseignement commence par le Coran, 290.
— Trop de sévérité dans l’enseignement nuit au progrès
de l’élève, 290 et suiv.
— Voyez ENSEIGNEMENT.
INSTRUCTIONS POLITIQUES adressées par
Taher Ibn el‑Hocein à son fils Abd Allah, II, 143 et suiv.
INTELLIGENCE. Trop d’intelligence est
un défaut dans un gouverneur, I, 384.
INTELLIGENCE (L’) active, III, 236.
INTELLIGENCE (L’) discernante, II, 427,
438.
INTELLIGENCE (L’) expérimentale, II,
427, 430 et suiv.
INTELLIGENCE (La première), III, 230,
232.
INTELLIGENCE PURE, I, 200.
— En elle se trouvent réunies l’intellect, l’agent intellectuel
et l’objet de l’intellect, II, 434.
INTELLIGENCE (L’) spéculative, II, 427,
432, 438.
INTELLIGENCES (Doctrine des), I, 200,
note ; II, 434 ; III, 230.
INTELLIGIBLES (Les premiers), III, 228,
296.
INTELLIGIBLES
(Les seconds), III, 229, 296.
INTERNE, sens
allégorique, III, 105, 106.
INTERPRÉTATION DU CORAN, II, 458 et
suiv.
— Elle se partage en deux branches, 460.
— L’interprétation traditionnelle, ibid. et l’interprétation philologique,
462.
INTERPRÉTATION DES SONGES, III, 114 et
suiv. 119, 120.
INVERSES, arguments ainsi nommés, III,
158.
IRAC. Ce pays fut envahi, dit‑on, par
les anciens Arabes, I, 303.
— État de ce pays lors de la conquête musulmane, 337.
— Les gens de l’Irac étaient disciples de Chafeï,
III, 12.
— Il y avait en Irac une école qui suivait les doctrines
de Malek, 19.
IRAC (La montagne de l’), I, 145, 146.
IRCHAD (L’), ouvrage théologique de l’imam
el‑Haremeïn, I, 391 ; III, 60, 62.
— Un autre livre portant le même titre et traitant de
la dialectique fut composé par el‑Amîdi, III, 39.
IREM DHAT EL-EÏMAD (ville fabuleuse),
I, 23, 25.
IRLANDE
(L’), I, 165, note.
ISFERAÏN,
ville, I, 134.
ISFERAÏNI
(ABOU HAMED EL-), I, 44, note.
ISFERAÏNI (ABOU ISHAC EL-), surnommé el-Ostad
(le maître), I, 191, note, 227 ; III, 111.
ISFIDJAB,
lieu, I, 149.
ISHAC,
l’astronome, I, 112, note.
ISHAC
(ABOU), sultan hafside, I, Introd.
XVI, XXVIII, XXX ; III, 417.
ISHAC (ABOU). Voyez ISFERAÏNI.
ISHAC IBN ABD ALLAH, traditionniste,
II, 182, note.
ISHAC (MOHAMMED IBN), historien et traditionniste,
I, Introd. XXIII, note, 5, note ; II,
187.
ISKAF (ABOU BEKR EL-), II, 161,
note.
ISKANDERIYA. Voyez ALEXANDRIE.
ISKANDERIYA (Scanderoun), I, 142.
ISMAÎL IBN HAMMAD, cadi hanefite,
I, 36, note, 37.
ISMAÎL
IBN IBRAHIM, traditionniste, II, 183.
ISMAIL IBN IBRAHIM IBN OLEÏYA,
II, 164, note.
ISMAÏL IBN ISHAC, cadi
malekite, III, 15, note.
ISMAÎLI (EN‑NEDJM EL-), soufi,
III, 103.
ISMAÏLIENS
(Les), secte chîïte, I, 409. Voyez
BATENITES.
ISNAD. Explication de ce terme, II,
159, 160, note, 465, note et suiv. 481 et suiv.
— A quelle époque les isnads prirent leur
origine, III, 298.
ISPAHAN, ville, I, 134.
ISPAHAN (Montagne d’), I, 144.
ISRAÉLITES. Leur multiplication en
Égypte fut un fait miraculeux, I, 18.
— Leur séjour en Égypte, 16.
— Pourquoi Dieu leur fit passer quarante années dans
le désert, 296.
ISTAKHER,
ville, I, 133.
ISTEÏARA (métaphore), III, 324.
ISTISHAB. Signification de ce terme,
III, 7, note.
ITHNA‑ACHERIYA,
secte chîïte, I, 405.
ITIL,
fleuve, I, 157, 162, 163, 166.
ITTISAL. Signification de ce terme, II,
437.
IVIÇA,
île, I, 138.
JAEN, ville, I, 139.
JAUNES ET BLANCHES, pièces d’or et
pièces d’argent, I, 416.
JÉRUSALEM, I, 132.
— Prise de cette ville par Nabuchodonosor, II, 265, et
par Titus, 266.
— Sa prise par les Francs et ensuite par Saladin, 268.
— Le temple de cette ville, 267 et suiv.
JÉRUSALEM ET LA MECQUE. Laquelle de ces
villes est la plus ancienne ? II, 268, 269.
JÉSUS. Sa descente sur la terre selon
les soufis, II, 195.
— Tradition qui se rapporte à lui, 189, 196, 197.
JETEURS, espèce de devins, I, 218.
JEÛNE. Exemple extraordinaire d’abstinence,
I, 182.
— Elle est favorable à la santé, 183.
JOIE (La). Sa cause, I, 174.
JOUR. Durée du jour dans chaque climat.
1, 109, 110.
— Longueur d’un jour auprès du Seigneur, II, 209.
JOURDAIN, fleuve, I, 132.
JUDA. Durée de ce royaume. I, 471.
JUGEMENTS. Les jugements fondés sur des
analogies ne sont pas sûrs, I, 59.
— Ce qu’on désigne par le mot jugement, 201,
note.
— Leurs divers genres, III, 25, note, 150, 151.
— Selon les philosophes, la formation des jugements
prévaut, à la fin, sur celle des concepts, 229.
JUIFS. Esquisse de leur histoire, I,
470. — Voyez ISRAÉLITES.
JURISCONSULTE (ﻪﻴﻗﻔ). Signification de
ce mot, III, 3.
JURISCONSULTES. Ce sont les
jurisconsultes qui fixent les limites que le souverain ne saurait dépasser dans
l’application de la loi et dans l’emploi des deniers publics, II, 3.
JURISPRUDENCE. Chapitre sur cette
science, III, 1.
— Elle se partagea en deux voies, celle de la
déduction analogique et celle de la tradition, 3 et suiv.
— Ce qu’on entend par cette science, 15.
— Chapitre sur les bases de la jurisprudence, 25, 27.
JUSTICE. Abus commis au Caire dans l’administration
de la justice, I, Introd. LXXVI et
suiv.
JUSTIFICATION ET IMPROBATION, terme de
droit administratif, I, Introd. LXXVI,
note, 72 ; note ; II, 160, note.
KAABI (EL-), docteur motazelite, III,
71.
KÂB EL-AHBAR, traditionniste, I, 24,
note ; II, 208, 461.
KABOUL, ville, I, 125, 134.
KAMEL (ABOU), algébriste, III, 136.
KAMEI, (Le), traité d’arithmétique,
III, 134.
KAMEL (Le), traité de philologie, III,
330.
KANEM (Les), peuple, I, 116.
KAN‑OUA‑KAN, espèce de poème, III, 451,
note.
KANOUDJ, ville, I, 125.
KAS (IBN EL-), vizir maghrébin, Introd. XXXVII.
KATEB (secrétaire). Ses
fonctions, II, 5 et suiv.
KATEB ES-SIRR, titre porté par le secrétaire
d’État sous la dynastie des Turcs mamlouks, II, 12.
KEBDJAC (Les), peuple, I, 163, 167.
KECHF (ﻑﺷﻜ), terme de soufisme, I,
227 ; III, 90, note.
KECHF EL-ASRAR, traité de logique, III,
155.
KEF EL-AKHDAR, montagne, I, 127, note.
KEFDJAK (Les), peuple, I, 163, 167.
KEFIF (EL-), poète, III, 449.
KEÏÇAN, fondateur de secte, I, 403.
KEÏÇANIENS (Les), secte chîïte, I, 403,
406.
KEÏMAK (Les), peuple, I, 137, 149, 158.
KELAM. Voyez PAROLE et SCOLASTIQUE.
KELBI (HICHAM EL-), généalogiste, I, 5,
note.
KEMAL ED‑DIN (le cheikh),
docteur hanefite, II, 235.
KEMALI (ﻰﻠﺎﻣﻜ). Signification de ce terme, I, 254.
KEMMAD (IBN EL-), astronome tunisien,
III, 148, note.
KERAMA (ﺔﻣﺍﺭﻜ), I, 190, note, 227.
KERDOUS (corps d’armée, division),
II, 77, note, 81.
KEREB (ABOU), le dernier des Tobba, I,
20, 22 ; II, 255, note.
KERMAN (Le), pays, I, 134.
KERMANI (EL-), auteur d’un traité sur
l’onéirocritique, III, 121, note.
KERREDJ, espèce de jouet, II, 421.
KESCHAF (EL-), commentaire du Coran.
Opinion d’Ibn Khaldoun relativement à cet ouvrage, II, 462, 463 ; III,
328.
— Les Persans l’étudient avec empressement, III, 326.
— Voyez ZAMAKHCHERI.
KETAMA. On avait regardé ce peuple
comme étant descendu des Himyerites, I, 20.
— Étendue de leur empire, 334.
KETAMA (La montagne des), I, 126.
KETHIR (IBN), historien, II, 236, note, 237.
KHABER. Signification
de ce terme, III, 265, note, 323.
KHABOUR (EL ‑),
rivière et territoire, I, 144.
KHABTH.
Signification de ce terme, III, 291.
KHADEM (ﻡﺪﺎﺧ), I, 311 ; III, 291, note.
KHADIDJA. Son
entretien avec Mohammed au sujet de la première révélation qu’il avait reçue,
I, 187.
KHAFADJA (IBN), poète, III, 380, note.
KHAFIYA, lieu, II, 86, note.
KHAÏBAR, lieu, I, 132.
KHAÏBERI (EL-), chef kharedjite, II,
81, note.
KHALÂ ’N‑NÂLEÏN
(Discalceatio), traité mystique, I, 327 ; II, 192.
KHALAT,
ville, I, 155.
KHALDOUN
(Les). Histoire de cette famille, I, Introd.
VI et suiv.
— Observations sur ce nom, VII, note.
KHALDOUN (IBN) ABOU ZEÏD ABD ER-RAHMAN. Son autobiographie, I, Introd. VI et suiv.
— Histoire de sa famille, ibid.
— Ses aïeux en Espagne, IX.
— Ses aïeux en Ifrîkiya, XIII.
— Son éducation, XIX et suiv.
— Ses frères, XXII, note.
— Il est nommé écrivain de l’alama
à Tunis, et devient ensuite secrétaire du sultan mérinide Abou Eïnan, XXX.
— Il est disgracié, XXXV.
— Rentre au service du sultan
mérinide Abou Salem, comme secrétaire d’État et directeur de la chancellerie,
XXXVI.
— Il se rend en Espagne, XLIII. Il débarque à Bougie et devient premier
ministre d’Abu Abd Allah Mohammed le Hafside, XLVI.
— Il entre au service d’Abou Hammou,
sultan de Tlemcen, XLIX.
— Il embrasse le parti d’Abd el-Aziz,
sultan mérinide, LVI.
— Il rentre dans le Maghreb el‑Acsa,
LXI.
— Il fait un second voyage en
Espagne, retourne à Tlemcen et va ensuite demeurer parmi les Aoulad Arîf, LXV.
— Il rentre à Tunis et s’y fixe,
LXVII.
— Il se rend en Orient et devient
grand cadi malekite du Caire, LXXII.
— Il fait le pèlerinage, LXXXI.
— Il est destitué de la place de cadi
et renommé à cette place, LXXXII et suiv.
— Il se rend à Damas avec le sultan
d’Égypte El-Melek en-Nacer Feredj, LXXXIV et suiv.
— Son entrevue avec Tamerlan (Timour),
LXXXV et suiv.
— Il rentre au Caire, est nommé cadi,
est destitué à plusieurs reprises et meurt dans cette ville, XCII et suiv.
— Son caractère, XCIII.
— Liste de ses premiers ouvrages,
XCIV.
— Notice de son histoire universelle
et de ses prolégomènes, XCV et suiv.
— Additions qu’il a faites à son
ouvrage, I, 11.
— Il eut d’abord l’intention de se
borner à l’histoire du Maghreb, I, 67.
— Son mépris pour les gens de loi,
148, note.
KHALDOUN (EL-HACEN IBN MOHAMMED IBN), I, Introd. XV.
KHALDOUN (KHALED IBN), I, Introd. IX et suiv.
KHALDOUN
(KOREÏB IBN), I, Introd. IX et suiv.
KHALDOUN (ABOU
BEKR MOHAMMED), père de notre auteur, I, Introd.
XVIII, XXIX, XXX.
KHALDOUN
(MOHAMMED IBN MOHAMMED), frère de notre auteur, I, Introd. XXII, note, XXXI.
KHALDOUN (MOHAMMED IBN ABI BEKR IBN), I, Introd. XVI, XVII, XVIII, XIX.
KHALDOUN
(ABOU MOSLEM IBN), I, Introd. IX,
note ; III, 138.
KHALDOUN (YAHYA IBN), I, Introd. XXII, note, XLIX, LII, LXV.
KHALED,
le derviche, I, 329.
KHALED IBN ABD ALLAH. Voyez CASRI (EL-).
KHALED IBN
HAMZA, chef bédouin, III, 416, note.
— Poème de sa composition, 416 et
suiv.
KHALED IBN
EL-OUÉLID. Il donne à Dinar le conseil d’établir un divan, II, 20.
KHALED IBN
YEZID ; a écrit sur l’alchimie, III, 209.
KHALED (ABOU ’L-BACA), le Hafside, I, Introd. XVII.
KHALED (IBN) EL-DJONDI, traditionniste,
II, 188, 189.
KHALED (IBN) ET-TAOUIL, motazelite,
III, 71.
KHALEF EL-AHMAR, poète, III, 292, note.
KHALEF (IBN) EL-DJEZAÏRI, poète, III,
432.
KHALIDJ (EL-) EL-AKHDAR (le golfe
persique), I, 96.
KHALIFAT. Notice sur cette dignité, I,
384 et suiv.
— Opinions diverses sur le khalifat, 381 et suiv.
— Comment il s’est converti en gouvernement temporel,
411 et suiv.
— Suites de ce changement, 423.
— Quels sont les offices et charges qui dépendent du
khalifat, 444 et suiv.
KHALIFE. Qualités qu’il doit posséder
et signification de ce mot, I, 381 et suiv.
KHALIL IBN AHMED. Ses travaux sur la
grammaire et la lexicographie, III, 311, note, 314.
KHALIL (ABOU), traditionniste, II, 168,
note.
KHALLAL (ABOU SELMA EL-), partisan des
Abbacides, I, 407.
KHAMR.
Signification de ce terme, III, 29, 320, 321.
KHANFOU, ville, I, 121, note, 125.
KHANZERIYA (EL-), traité de magie, III,
181.
KHAOULANI
(ABOU IDRÎS EL-), I, 451.
KHARBAT
( ?), fleuve, I, 135.
KHARCHENA, ville, I, 155.
KHAREDJITES,
II, 72, note.
— Ils eurent un système de
jurisprudence particulier, III, 4.
— Il y en a dans la Mauritanie, 5,
note.
KHAREZMI (EL-) MOHAMMED IBN MOUÇA,
astronome et algébriste, III, 136, note, 131.
KHARIZM,
pays, I, 148, 149.
KHARIZM (Lac de), I, 135, 157.
KHARLOKH (Les),
peuple, I, 99, 136, 149.
KHARRAZ (EL-),
auteur d’un traité sur l’orthographe du Coran, II, 458.
KHATEM (ﻡﺗﺎﺧ). Diverses significations de
ce mot, II, 62.
KHATÎB (Le), historien de Baghdad, II,
239, note.
KHATÎB (IBN EL-). Voyez FAKHR ED-DÎN
ER-RAZI.
KHATÎB (IBN EL-), le vizir espagnol, I,
Introd. XLIII.
— Il devient jaloux d’Ibn Khaldoun, XLV.
— Il abandonne son poste et passe en Afrique, LXIII.
— Sa mort, LXVI, note.
— Sa biographie par El-Maccari, XCIV, note.
— Son talent comme écrivain, III, 358.
— Conversation d’Ibn Khaldoun avec lui, 389.
— Poème de sa composition, 433 et suiv.
— Son mérite comme prosateur et comme poète, 440.
KHATT (EL-), pays, I, 133.
KHATTABI (EL-), jurisconsulte, II, 59,
note.
KHAUWAZ (IBN), III, docteur malekite,
15.
KHAZEN (EL-), mathématicien et astronome,
I, 111.
KHAZEN‑DAR, trésorier privé du sultan
des Turcs mamlouks, II, 25.
KHAZENI (ABOU
DJAFER EL-). Voyez KHAZEN (EL-).
KHAZENI (EL-) ISHAC IBN EL-HACEN, I,
107, note, 110.
KHAZER (Les), peuple, I, 157. Leur pays, 155, 156, 162.
KHAZER (La mer des), I, 146.
KHAZER (BENI), famille zénatienne, I,
293, note.
KHAZER (IBN), poète de Bougie, III,
433.
KHAZROUN, ville, I, 147.
KHAZROUN
(BENI), famille de Tripoli d’Afrique, II, 42.
KHEFCHAKH, peuple, I, 163.
KHEÏTHEMA (IBN ABI), traditionniste,
II, 160, note.
KHEÏYAMI (EL-), algébriste, III, 137.
KHIDR
(EL-), I, 404, note.
KHÎFOUN, ville, I, 125.
KHILAFIYAT (matières controversées),
chapitres sur ce sujet, III, 25, 35.
KHILDJ (Les), peuple, I, 134.
KHIRACH (IBN), traditionniste, II, 164,
note.
KHIRCA. Signification de ce terme, II,
191, note.
KHIRKHÎZ (Les), peuple, I, 137.
KHITAM. Signification de ce mot, II,
62.
KHOBEÏB (ABOU), surnom d’Abd Allah Ibn
ez‑Zobeïr, II, 258, note.
KHODEÏDJ (IBN) RAFÊ, traditionniste,
II, 270, note.
KHODEÏFA
IBN BEDR, chef arabe, I, 289, note.
KHODJA (EL-). Voyez NACÎR ED-DÎN
ET-TOUSI.
KHODJENDJA, ville, I, 148, 149.
KHODRI (ABOU SAID EL-), traditionniste,
II, 170, note, 171, 173.
KHOLDJAN IBN EL-CACEM, secrétaire du
prophète Houd, II, 395.
KHOLKHIYA (Les), peuple, I, 149.
KHORAÇAN (Le), pays, I, 134.
KHORDADBEH
(IBN), géographe, I, 112, note, 164.
KHORDJAN, défilé, III, 410, note.
KHOTBA. Voyez PRÔNE.
KHOTTEL (EL-), pays, I, 135, 136.
KHOUABI (EL-), forteresse, I, 142.
KHOULKH (Les), peuple, I, 162.
KHOUNDJAN, ville, I, 145.
KHOUNDJI ou KHOUENDJI (EL-), docteur
chaféite, III, 155, note, 156, 274, 390, 469.
KHOUZISTAN (Le), pays, I, 133.
KHOZEÏMA. Son témoignage, I, 262, note.
KÎAMA, invocation des astres, III, 195,
197.
KÎANA, montagne, II, 118.
KIBLA. Explication de ce terme, II,
258, note.
KIBLA (Gens de la), II, 171.
KILABA (IBN), compagnon de Mohammed, I,
24.
KILEDA (IBN), médecin arabe, III, 164,
note.
KILLAURIYA, pays, I, 141, 152.
KÎMYA, la pierre philosophale, III,
207 ; note, 249.
KINIYA,
dynastie, I, 20.
KINDI
(YACOUB EL-), philosophe, I, 176, note.
— Extrait d’un de ses livres, II, 197.
— Durée qu’il assigna à la nation musulmane, 221.
— Il composa un traité sur les conjonctions
planétaires, 224.
KINNISRÎN,
ville, I, 143.
KIPTCHAC (Les), peuple, I, 163, 167.
KIRMANI. Voyez KERMANI.
KIRRIYA
(IBN EL-), II, 232.
KITAB (EL-), la grammaire de Sibaouaïh,
III, 272, 311, 347.
KITAB
EL-AGHANI, III, 330.
— Éloge de ce livre, 331.
— Observations sur ce livre, 359.
KITAB EL-AÏN, dictionnaire arabe, III,
314.
— Ordre des lettres dans ce livre, 316.
KITAB EL-MAAKHED, traité de droit, III,
37.
KITAB
EL-MEGHAZI, I, 5, note.
KITAB
EL-MOUSIKI, II, 418, note.
KITAB ES-SIACA, traité de politique
attribué à Aristote, I, 241, note.
KITAB ES-SIER, ouvrage historique, I,
398.
KITABA. Ce mot signifie non seulement écriture,
mais orthographe, II, 397.
KODIET EL-ARAÏCH, colline, I, Introd. LXIV.
KOLTHOUM IBN
AMR. Voyez ATTABI (EL-).
KOLTHOUM (AMR
IBN), poète, III, 391, note.
KONAÇA (L’église de la résurrection),
I, 407, note.
KOOUAR (Les), peuple, I, 122, note.
KORÂA, grammairien, III, 318, note.
KORDI (Le hadjeb EL-), I, Introd. XVIII.
KOREÏB. Voyez KHALDOUN (IBN).
KORSI, explication de ce terme, II, 53.
KOTHEÏYER, le poète, I, 404,
note ; III, 376.
— Deux vers de lui cités, 397.
KOUFA (EL-), ville, I, 144.
— Ce que dit Omar au sujet de la reconstruction de
Koufa, II, 273.
— École de Koufa, III, 311.
KOUHISTAN (Le), pays, I, 134.
KSOUR, bourgades du désert africain, I,
115, note.
KURDES (Les), I, 133.
LADEKIYA (EL-), ville, I, 142.
LADJÎN (Le
cheikh), officier mamlouk, I, Introd.
LXXXV.
LAHÎAH (IBN), cadi et traditionniste,
II, 179, note, 180, 185.
LAHOUN (EL-), lieu, I, 129.
LAKHMI (EL-),
commentateur du Modaouena, III, 17, 272.
LAMIYA, litre
d’un ouvrage sur les leçons coraniques, I, Introd.
XX.
LAMTA (Les), peuple, I, 122.
LANGAGE. La faculté du langage
s’acquiert comme celle des arts, III, 331 et suiv.
LANGUE ARABE (La). Elle s’altéra de
plus en plus pendant le déclin du khalifat, II, 10.
— Elle se corrompt dans les villes, 317, 318.
— Les quatre sciences fondamentales de cette langue,
III, 307.
— Les qualités et la prééminence de la langue arabe,
308.
— Elle s’altéra quand les Arabes se mêlèrent aux
peuples étrangers, 309.
— Sa concision ; parole de Mohammed à ce sujet,
309.
— Elle s’est altérée chez les tribus arabes, 333.
— Indication des tribus qui la parlent le mieux, ibid.
— La langue actuelle des Arabes bédouins forme un
idiome spécial, 334 et suiv.
— Caractère distinctif de la langue arabe, 324, 334 et
suiv.
— A quoi elle doit sa concision, 335.
— La langue arabe actuelle a remplacé l’emploi des
désinences grammaticales par d’autres procédés, 336.
— Celle des Arabes domiciliés est un idiome sui
generis, 342, 343.
— Comment cet idiome s’est formé, ibid.
— Comment il faut apprendre l’arabe, 343 et suiv.
349, 350.
— Les habitants de l’Espagne acquièrent très
facilement la faculté de bien écrire en arabe, 356.
— La faculté de le bien parler se conserva en Orient
jusqu’à la chute du khalifat, 358, 359.
— Cette langue est très corrompue dans la Mauritanie,
358.
— Elle s’altéra beaucoup en Orient sous les Deïlemites
et les Seldjoukides, 359.
— Comment il faut s’y prendre pour acquérir le langage
de Moder et pour s’en servir avec élégance, 343, 384.
— Le langage des Arabes musulmans est supérieur à
celui des Arabes antéislamites, 390, 391.
— L’arabe était, pour les souverains qui remplacèrent
les Abbacides, comme une langue étrangère, 402.
— Peuples chez lesquels la langue arabe a subi des altérations,
403.
LANGUE ARABE VULGAIRE (La). Plusieurs
l’ormes de cet idiome se trouvent employées dans des poèmes du Ve siècle, III, 406, 413, note.
LANGUE BERBÈRE (La). En Afrique, elle a
nui à la pureté de la langue arabe, III, 358.
— Contrées dans lesquelles le berber se parle, 358,
note.
LANGUES ÉTRANGÈRES. L’habitude de
parler une langue étrangère nuit à l’acquisition des sciences musulmanes, III,
302 et suiv.
— L’homme qui a contracté dans sa jeunesse l’habitude de
parler une langue étrangère ne parvient jamais à bien énoncer ses idées en
arabe, 305.
— Le khalife Omar défendit de s’en servir, II, 316.
LANIYA (Les), peuple, I, 161.
LATITUDE (La) d’un endroit, I, 102.
LAURIER-ROSE. Opinion superstitieuse au
sujet de cette plante, II, 305.
LEBÎD, poète, III, 107.
LEBLA, ville, I, 139.
LEBLAÏA. Signification de ce mot, I,
91, note.
LEBZOU, montagne, I, Introd.
XLVIII.
LEÇONS CORANIQUES, I, Introd. XIX, note.
— Les sept leçons, II, 454, 455 et suiv.
LECTEURS. Signification de ce terme,
II, 162, note ; III, 3, 297, 298.
LÉGISTES. Ceux qui remplissent des fonctions
administratives ne jouissent pas d’une grande considération, I, 454, 455.
— Ils acquièrent quelquefois de grandes richesses, II,
337, 338.
LEHÎB (IBN EL-), docteur malekite, III,
18, note, 19.
LEÏL (AOULAD ABI ’L‑), tribu arabe maghrébine,
I, Introd. XXVII ; III, 416.
LEMANÎÏN (AL‑), peuple, I, 153, 160.
LEMLEM (Les), peuple, I, 115.
LEMTOUNA (Les), tribu berbère, I, 122.
LÉON, pays, I, 150.
LERIDA, ville, I, 140.
LESLANDA, pays, I, 165, note.
LETTRES MISSIVES et DÉPÊCHES. Comment
on les fermait, II, 65, note.
— Lettre en arabe vulgaire, III, 355.
LETTRES DE L’ALPHABET. Manière employée
par l’auteur pour représenter les lettres ou sons qui sont étrangers à la
langue arabe, I, 68 et suiv.
— Les lettres isolées du Coran n’indiquent pas des
nombres, II, 211.
— Observations sur ces lettres isolées, III, 67, 68.
— Propriétés occultes des lettres, 188 et suiv.
— Leur classification d’après le système des soufis,
189.
— Leurs prétendues vertus, 190.
— Leurs combinaisons dans la formation des syllabes et
des mots, 314, 315, note.
— Leurs classes, 316.
— Voyez AÏCACH.
LEVAIN. L’élixir, ou pierre
philosophale, est assimilé par les alchimistes à un levain, III, 193, 251, 257,
258, 261.
LIAISON INTELLIGIBLE, terme de métaphysique,
III, I, 58.
LIBAN (Le), I, 142.
LIBÉRALITÉ (La) d’Ibn Dhi Yezen, des
princes sanhadjiens et des Barmekides, I, 362, 363, 364.
LIBERTÉ DE DIEU, I, 192, note.
LIBRAIRIE (LA), II, 406 et suiv.
LIÇAN ED-DÎN, le vizir. Voyez IBN
EL-KHATÎB.
LICANT, ville, I, 140.
LIENS (Les QUATRE), terme de
scolastique, III, 157.
LIEUTENANCE. Signification de ce terme
coranique, II, 429.
LIHYANI (IBN EL-), souverain hafside,
I, Introd. XVII.
— Ce qui lui arriva quand il se réfugia en Égypte, II,
104.
— Prédiction dans laquelle il est désigné, 229.
LITTÉRATURE, III, 328 et suiv.
LIVRE DE ROGER, I, 93, 99.
LIVRES. Destruction des livres à
Baghdad par les Tartars, II, 225
— Incorrection des livres transcrits dans la
Mauritanie, 402, 409.
— Manière de rétablir le texte d’un livre, 407, 408,
409.
— Livres persans détruits par l’ordre d’Omar, III,
125.
— Livres grecs traduits par l’ordre d’El-Mansour, 126.
LIVRES DE L’EMPIRE. Ce qu’ils étaient,
II, 225.
LIVRES SAINTS. Aucun peuple n’a altéré
le texte de ses livres saints, I, 18.
— Tous les livres saints, à l’exception du Coran,
furent communiqués aux prophètes, sous la forme d’idées, I, 195.
LIVRES SCIENTIFIQUES. Ceux des peuples
étrangers périrent chez les Arabes, faute de soins, III, 304, 305.
— Les livres scientifiques de la Perse furent détruits
par l’ordre du khalife Omar, III, 125.
LOCMAN, III, 125.
LOGHA (ﺔﻐﻟ), la lexicologie, III, 308,
313 et suiv.
LOGIQUE (La). Introduction de cet art
chez les musulmans, III, 60.
— Le système moderne de la logique, 61.
— Utilité de la logique, 122.
— Chapitre sur la logique, 149 et suiv.
— Opinions des scolastiques modernes relativement à la
logique, 156.
— Son étude fut condamnée par les anciens musulmans,
et autorisée ensuite par l’exemple d’El-Ghazzali et de l’imam Ibn el‑Khatîb,
156, 160.
— Les théologiens scolastiques ayant un système à
eux, 156, 157, modifièrent l’ancien système de la logique, 158 et suiv.
— Ce fut Aristote qui construisit ce système, 231.
— La logique représente la marche de la faculté
réfléchissante, 279.
— Comme elle est une production artificielle, on peut ordinairement
s’en passer, 280. — Elle n’est pas infaillible, 296.
LOHRENKA, pays, I, 160.
LOI RÉVÉLÉE (La). A quelle époque la
connaissance de la loi ne pouvait s’obtenir que par un enseignement régulier,
I, 61.
— La plupart des prescriptions de la loi ont pour
motif la conservation de la société, 80, 411, 412.
— Toutes les lois révélées servent à diriger les
hommes vers la vérité et à fixer leur devoir, 385, 386.
LOIS DE LA NATURE. Elles ne sont pas
invariables, I, 189, note.
LOKAM, montagne, I, 131, 142.
LOMBARDIE (La), I, 141, 152.
LORBOS, ville, I, 128.
LORCA, ville, I, 140.
LORRAINE (La), I, 160.
LOUCHI (ABOU ABD ALLAH EL-),
littérateur espagnol, III, 442, note.
LUXE (Le). Une tribu qui s’abandonne
aux jouissances du luxe ne saura fonder un empire, I, 294.
— Le luxe corrompt les mœurs, 342, 343 et suiv.
— Causes du luxe, 342.
— Ses effets, 344,
345 :
— Progrès du luxe chez les Arabes, 351 ; II, 278,
279.
MA‑ACH. Signification
de ce terme, II, 323.
MAAKHED (EL-), traité de droit, III,
37.
MAALEM es‑SONEN, titre d’un ouvrage sur
les traditions, II, 59.
MAALI (ABOU ’L‑). Voyez IMAM EL-HAREMEÏN.
MAARRA (EL-), ville, I, 143.
MAARRI (ABOU ’L‑ALA ’L‑). Quelques critiques
refusent aux compositions de ce poète le nom de poèmes, III, 375, note, 380.
MABED,
musicien, II, 420, note.
MABED EL-DJOHENI, Motazelite, III, 71.
MACAM, endroit dans le temple de la
Mecque, II, 168.
MAÇAÏ (MESAOUD IBN), vizir, I, Introd. XXXVII, note, LXIV.
MACAMAT, ouvrage d’El-Heroui le soufi,
III, 103.
MACAUCAS (EL-), II, 54.
MACCARI (ABOU
ABD ALLAH EL-), grand cadi de Fez, I, Introd.
XXXIV, LXXII.
MACDACHOU,
ville, I, 118.
MACÉDOINE (La), I, 154.
MACHER (ABOU), astronome, II, 220,
note.
MACHINES. Leur emploi dans l’architecture,
II, 242, 375, 376.
MACRÎZI (EL-). Ce qu’il dit au sujet
des dépêches expédiées par le khalife de Baghdad aux émirs de l’Afrique relativement
aux Fatemides, I, 45, note.
MACSOURA (La), place qu’occupe le
khalife dans la mosquée, II, 71 et suiv.
MADIAN,
ville, I, 130.
MADI-KEREB,
I, 363, note.
MADJA (IBN), traditionniste, II, 159,
note.
MADJICHOUN (IBN EL-), docteur malekite,
III, 18, note.
MADJOUCI (EL-), médecin, III, 163.
MADJOUDJ. Voyez YADJOUDJ.
MAGGARA (Les), peuple, I, 128.
MAGHNESIYA. Substance ainsi nommée par
les alchimistes, III, 225.
MAGHREB. Déclin de la prospérité de ce
pays, II, 290.
— Vicissitudes de la civilisation dans ce pays, 297,
298.
MAGHREB et
IFRÎKIYA. État politique de ces pays lors de la jeunesse d’Ibn Khaldoun, I, Introd. XXVI et suiv.
MAGHREB (EL-) EL-ACSA, pays, I, 46,
note, 126, 127.
MAGHREB (EL-) EL-AOUSAT, pays, I, 127.
MAGHREB (La prière du), I, 405, note.
MAGHREBS (Les deux), II, 117.
MAGHREBI, espèce de dirhem, II, 57.
MAGICIENS (Les). Ceux de Pharaon, III,
184.
— Le magicien, le saint et le prophète ont chacun une
manière particulière d’opérer, leurs prodiges, 196, 197 et suiv.
MAGIE (La). Comment les philosophes distinguent
un miracle d’un acte de magie, I, 193 ; III, 182, 186.
— Chapitre sur la magie, 171.
— La magie et la confection des talismans sont condamnées
par les lois de divers peuples, 171, et par la loi divine, 185.
— Il y a trois sortes de magie, 174, 175.
— Preuve de sa réalité, 176.
— La pratique de la magie, 177, 178,
— Les philosophes mettent une distinction entre elle
et l’art talismanique, 182, 183.
— Comment on peut distinguer entre les prodiges opérés
par un magicien et les miracles faits par un prophète, 183, 186.
— Aucun effet de la magie ne peut résister à un
miracle, 184.
— La faculté de la magie est innée, mais elle ne passe
de la puissance à l’acte qu’au moyen d’exercices préparatoires, 197.
— Puissance de la magie, 226.
MAGISTRATS DU
CAIRE. Leurs prévarications, I, Introd.
LXXIV et suiv.
MAGOG (Le pays des), I, 163, 164.
— Voyez YADJOUDJ.
MAHAN (IBN). Voyez IBRAHIM EL-MAUCELI.
MAHFOURA. Signification de ce terme, I,
366, note.
MAHMIL (Le), I, Introd. LXXXII.
MAHMOUD, majordome du sultan
Barcouc ; ses trésors, I, 369.
MAHSOUL (EL-), traité de scolastique,
III, 33.
MAÎN (IBN), traditionniste, II, 166,
note.
MAÏORCA, I, 138.
MAISON (Les gens de la), III, 4.
— Ils eurent un système de doctrine qui leur fut
particulier, ibid.
— Cette doctrine fut établie en Égypte sous les
Fatemides, et supprimée par Saladin, 12.
MAISON (Le jour de la), le jour où le
khalife Othman fut tué, I, 422, note.
MAÎTRE (Le). Voyez ISFERAINI (ABOU
ISHAC EL-).
MAITRISE (La) (ﺔﻜﻟﻣﻠﺍ). Signification
de ce terme, I, 382, 383.
MAKEDOUNIYA,
pays, I, 154.
MAKHLEF
EL-ASOUED, poète espagnol, III, 438.
MAKHLOUÉ (EL-), sultan hafside, I, Introd. XVII.
MAKHREMA. Ce Coreïchide, contemporain
du khalife Omar, savait écrire, II, 21.
MAKIL (Les), tribu maghrébine, I, Introd. LVIII.
MAL (Le) est dans la nature de l’homme,
I, 268.
— Dieu est l’auteur tant du mal que du bien, 299.
MALADIES. Leurs causes, II, 388, 389.
MALAGA, ville, I, 139.
MALATIYA, ville, I, 143.
MALEK
IBN ANÈS, l’imam, I, 32, note.
— Il fut maltraité à cause de son opinion au sujet du
serment d’allégeance, 425.
— Date de sa mort, II, 161, note.
— Source de sa doctrine, III, 6.
— Indication des pays où cette doctrine a été reçue,
13, 14.
— Pourquoi sa doctrine fut acceptée dans le Maghreb et
en Espagne, 14.
— Ses disciples en Irac, 15.
— Dans le rite de cet imam il y a trois écoles, 18.
— Son opinion au sujet du terme se poser, en parlant
de Dieu, 75.
MALEK IBN WOHEIB, I, 247, note.
MALEK (IBN), grammairien, I, Introd. XIX, note.
— Ses ouvrages sur la grammaire arabe, III, 311, 312.
— Il composa un traité de rhétorique, 326.
MALETA,
île, I, 141.
MALGA (La) (ﺔﻘﻟﻌﻣﻠﺍ), édifice à
Carthage, II, 242.
— Ses voûtes subsistent encore, 247.
MALTE (La), I, 141.
MALWA, pays, I, 124, note.
MAMER ES-SOLEMI, Motazelite, III, 71.
MAMOUN (EL), le khalife abbacide. Son
aventure avec Bouran, I, 38.
— Son autorité fut répudiée à Baghdad pendant un
temps, 329.
— Il désigne pour son successeurAli Ibn Mouça,
l’Alide, 329, 429.
— Ce qu’il dit des instructions politiques adressées
par Taher Ibn el‑Hosein à son fils, II, 157.
— Il persécuta les docteurs qui regardaient le Coran
comme incréé, III, 11, note.
— Il professa la doctrine de la création du Coran, 57,
note.
— Il fit traduire les livres scientifiques des Grecs,
127.
MANBEDJ, ville, I, 143.
MANIBAR, pays, I, 124.
MANIFESTATION
(ﺭﻫﺎﻆﻤﻠﺍﻭﻰﻟﺠﺗ), terme de soufisme, III, 100, , (ﺭﻮﻬﻅ), loi.
MANIFESTATION ET RECÈLEMENT, III, loi.
MANIFESTATIONS SURNATURELLES. Les anciens
soufis tâchaient d’éviter ces marques de faveur, III, 113.
MANSOUR, souverain de Bougie, II, 58.
MANSOUR (EL-), le khalife abbacide. Son
savoir et sa piété, I, 32.
— Sa lésinerie 33.
— Son opinion des souverains omeïades, 421.
— Il fit demander au roi des Grecs les ouvrages qui
traitent des mathématiques, III, 126.
MANSOUR (EL-). Voyez AMER (IBN‑ABI).
MANSOUR EN‑NEMEÏRI, poète, III, 397,
note.
MANSOUR IBN SOLEÏMAN, prince mérinide,
I, Introd. XXXVI, note.
MANSOUR (YACOUB EL-), souverain almohade,
II, 44, 45.
MANSOURA (La) de Tlemcen, II, 243,
note.
MANUSCRITS des Prolégomènes de
l’histoire universelle, I, Introd.
CIII et suiv.
MAOUERDI (EL-), I, 446, note ; II,
4.
MAOUWAZ (IBN EL-), docteur malekite,
III, 11, note.
MARC, l’évangéliste, I, 474.
MARCHANDISES ; celles qu’il
convient d’exporter, II, 349, 350.
MARCHÉ PUBLIC. La cour et le sultanat
peuvent être considérés comme tel, I, 45.
MAREB, pays, I, 123.
— La digue de Mareb, II, 245.
MAREDINI
(EL-), I, 243, note.
MAROC, I, 126.
— Prise de cette ville par les Mérinides, II, 137,
note.
MARTÎN (IBN), poète espagnol, III, 438.
MARZEBAN
(Satrape), I, 353.
MASLEMA
EL-MADJRÎTI, astronome et alchimiste, I, 217, note à annuler ; III, 128,
172, 173, notice biographique ; 208, 223, 226, 261.
MASMOUDA (Les), peuple berber, I, 55,
note, 126.
MASOUD (ﺩﻭﻌﺳﻣ). Ce mot doit se
prononcer Messô’oud ou Messâoud.
MASOUD, sultan
de la postérité de Soboktikîn, II, 136.
MASOUD (ABD ALLAH IBN), traditionniste
et compagnon de Mohammed, II, 162, note, 176.
MASOUDI (EL-) (ou mieux EL-MESSÂOUDI),
l’historien, I, 5, note.
— Son opinion relativement à la cause de la gaieté et
de la pétulance par lesquelles se distinguent les nègres, 176.
— Il se trompe au sujet des perceptions obtenues du
monde invisible, 223.
— Opinion fantastique des philosophes grecs rapportée
par cet auteur, 361, 362.
MASIAT,
forteresse, I, 142.
MASSA, ville, I, 125, note ; II,
201.
MATHÉMATIQUES
(Les), III, 122, 129 et suiv.
MATIÈRES CONTROVERSÉES. Voyez KHILAFIYAT.
MATR EL-OUERRAC, traditionniste, II,
174, note.
MAUCEL (EL-), ville, I, 145.
MAUCELI (EL-). Voyez IBRAHIM.
MAUCELI (ABOU YALA EL-),
traditionniste, II, 472, note.
MAURITANIE. Ce pays fut envahi, dit‑on,
par les arabes de l’Yémen, I, 303.
— Voyez MAGHREB.
MAZARA, ville, I, 141.
MAZER,
ville, I, 141.
MAZERI (EL-), docteur malekite, I, 392,
note ; II, 475.
MEBDA (EL-)
OUA ’L‑MAAD, titre d’un ouvrage d’Avicenne, III, 238.
MECHEDDALA (Les), tribu, II, 443, note.
MECILA (EL-),
ville, I, Introd. LIII, 127.
MECQUE (La),
I, 123.
— Histoire du temple de cette ville,
II, 254 et suiv.
MEDAÏNI
(ALI EL-), historien, II, 56, note.
MÉDECINE. Chapitre sur cet art, II,
386.
— Elle est une branche de la physique, III, 123.
— Autre chapitre sur la médecine, 162 et suiv.
— La médecine des peuples nomades, 163.
MEDEGHLIS, poète, III, 439, 441.
MEDÎN (BOU), saint musulman, I, Introd. LVI, note ; II, 202, note.
MÉDINA‑CELI, ville, I, 139, 140.
MÉDINA‑TEL-MAMOUN, I, 353, note.
MÉDINA (EL-) EL-MONAOUWERA (Médine), II,
269.
— L’excellence de cette ville, 270.
MÉDINA-T-EN‑NAHHAS, ville fabuleuse, I,
75.
MÉDINA
SALEM, I, 139, 140.
MÉDINE, I, 123.
— L’exemple de cette ville, II, 269 et suiv.
— La coutume de Médine (en jurisprudence), III, 6,
14.
MEDÎNI (ALI IBN EL-), traditionniste,
II, 181, note.
MÉDITERRANÉE (La). Sa longueur, I, 93.
— Indication des peuples qui avaient été maîtres de
cette mer, II, 38.
— Les musulmans y établirent leur domination, 42.
— Les chrétiens ensuite s’en rendirent maîtres et
s’emparèrent des côtes de la Syrie, ibid.
— La flotte du roi Roger s’empara de Tripoli et
d’autres villes de l’Afrique, ibid.
MEDJBOUDA. Signification de ce terme,
II, 80.
MEHDI (ABOU), le cheikh, III, 106, 110.
MEHDI
(EL-), le khalife abbacide, I, 33.
MEHDI
(EL-) OBEÏD ALLAH, le Fatemide, I, 409 ; II, 216.
MEHDI
(MOHAMMED EL-), II, 194.
MEHDI (LE), I, 405, 407, 410.
— Examen des traditions qui se rapportent au Mehdi,
II, 158 et suiv.
— Il y a des docteurs qui croient qu’il n’y aura pas
de Mehdi, 188.
— Opinions des soufis au sujet du Mehdi, 190.
— Voyez FATEMIDE ATTENDU.
MEHDI (Le) DES ALMOHADES. Réfutation
des calomnies dirigées contre lui, I, 53, et suiv.
— Son origine, 55, 56, 280 ; II, 67 ; II,
432, note.
MEHDIYA (EL-), ville, I, 128.
MEHDJEM
(EL-), ville, I, 120.
MEHROUDA (ﺓﺪﻮﺭﻬﻤ). Signification de ce
terme, II, 198.
MEÏAFAREKÎN, ville, I, 154.
MEÏCERA (l’aile gauche d’une armée).
II, 78.
MEÏMENA (l’aile droite d’une armée).
II, 78.
MEÏMOUN (BENI), seigneurs de Cadix, II,
43.
MEKRAN, pays, I, 124, 134.
MEKTOUM (EL-) MOHAMMED, l’un des imams
des Ismaéliens, I, 43, 44, 409.
MELABA, espèce de poème, II, 227,
note ; III, 447, 451.
MELAHIM, recueils de prédictions, II,
191, 205 et suiv., 228.
MELEK
(EL-) ED-DHAHEB, I, Introd. , LXXII,
LXXXIV.
MELEK (EL-) EN‑NACER FEREDJ, Introd. LXXXIV et suiv.
MELHAMA,
recueil de prédiction, II, 205 — Voyez MELAHIM.
MELILI (ABOU
’L-HACEN EL-), cadi de Fez, II, 351.
MELLI,
pays, I, 114, note.
— Époque de la conversion des habitants de Melli à l’islamisme, I, 169.
MÉMOIRE
(La). Nature de cette faculté, I, 199,
200.
— Son siège, 200.
MENAZIL
ES-SAÏRIN, traité de soufisme, III, 103,
note.
MENDAD,
docteur malekite, III, 15.
MENDÈS,
lieu, I, Introd. LXVII.
MENÉLAUS,
mathématicien grec, II, 378 ; III,
142.
MENN, poids, I, 352.
MENSONGES
DANS L’HISTOIRE. Leurs causes, I, 71 et suiv.
MENUISERIE ORNEMENTALE,
II, 377.
MEQUINEZ,
I, 126.
MER
(La) Abyssinienne, I, 95 ; — de Chine, 95 ; — de Colzom, 95 ; —
de Djordan, 97 ; — Environnante, 91, 93, 140, 149, 159 ; — de Fars, 96, 124, 133 ; — de l’Inde,
115, 118, 119, 120 ; — Romaine, 93,
138, 153, et II, 38 ; — Syrienne, I, 93, 138 ; — de Taberistan, 97,
155 ; — de Nîtoch, 154 (Voyez NÎTOCH) ; — de Venise, 94.
MERACH,
ville, I, 143.
MERAGHA
(EL-), ville, 143, 146, 155.
MERANA
(IBN), poète maghrébin, II, 226.
MERCABA
(EL-), traité d’onéirocritique, III, 121.
MERDENICH
(IBN), émir espagnol, I, 339, note.
MERDJA IBN REDJA, traditionniste, II,
186.
MÈRE (La) DU CORAN, III, 361.
MÈRES (Les CINQ), I, Introd, XXI, note.
MÈRES ET
ENFANTS, termes d’alchimie, III, 219.
MERIYA
(EL-), ville, I, 139.
MERIDA,
I, 139.
MÉRÎNIDES
(Les), I, Introd. XXVII.
— Leurs trésors, 368.
— Les hautes charges administratives
chez ce peuple, II, 16.
— Ils reconnurent la suprématie du
khalife hafside, 74, 75.
MERMADJENNA,
ville, I, Introd. XVII, note, XXXI.
MEROUAN
IBN EL-HAKEM. Sa conduite ne saurait lui
être reprochée ; I, 419.
MEROUAN (MOHAMMED IBN), traditionniste,
II, 185.
MEROUANI (ABD
ALLAH EL-), III, 423, note.
MEROUANIDES,
(Les), I, Introd. X, note.
MERV
CHADJAN, I, 147.
MERV
ER-ROUD, I, 134.
MERYEM
(IBN ABI), bouffon de Haroun er‑Rechid, I, 32.
MERYEM
(SAID IBN ABI), traditionniste, II, 212.
MERZOUC
(IBN), khatîb et homme d’État maghrébin, I, Introd. XXXVI, note, et suiv.
XL et suiv.
MESAOUD IBN MAÇAÏ. Voyez MAÇAÏ.
MESDJÎD (EL-) EL-ACSA, le temple de Jérusalem,
II, 263 et suiv.
MESDJID (EL-) EL-HARAM, la mosquée de
Medine, II, 253 et suiv.
MESDJID MASSA, ville, I, 331.
MESÎSA (EL-), ville, I, 143.
MESKÎN (EL-HARETH IBN), docteur
malekite, III, 12, note.
MESNAT, ville, I, 161.
MÉSOPOTAMIE (La), I, 142. — Voyez
DJEZIRA.
MESSAOUDI. Voyez MASOUDI.
MESSIE (Le). Sa doctrine et ses
miracles, I, 472.
MESSINE (La), ville, I, 141.
MESSINI, ville, I, 141.
MESSOUFA (Les), peuple, I, 122.
MÉTAPHORE ;
mots employés métaphoriquement, III, 324.
MÉTAPHYSIQUE (La). Son objet, III, 122.
— Chapitre sur cette science, 166.
— Origine de ce nom, 167.
— La métaphysique ne s’appuie pas sur une base solide,
233, 234.
METHANI. Signification de ce terme,
III, 361.
MÈTRES DE LA PROSODIE. Il n’y en a
qu’un certain nombre qui soient usités chez les Arabes, III, 367.
MEWADJED
(extases), III, 86, note.
MEWALIA, espèce de chanson, III, 451.
MICDAD
(EL-) IBN EL-ASOUED, compagnon de Mohammed, I, 417, note.
MIDMAR, la
qualité d’avoir l’oreille juste, II, 415.
MIEL. Son emploi comme médicament fut recommandé
par Mohammed, III, 164, note.
MIEUX ET BIEN. Une des opinions des Motazelites
est ainsi désignée, III, 58, note, 70, 72.
MIEZEF (la harpe), II, 420.
MIHDJEN (ABOU), poète, III, 390, note.
MIHRAB (Le), II, 72, note.
MIHREDJAN, ville, I, 147.
MIKNAÇA, ville, I, 126.
MILEL OUA’N‑NOHEL,
traité sur les sectes religieuses et philosophiques, I, 410.
MINBER (la chaire), II, 53.
MINES D’OR. Ce ne sont pas les mines
qui font les richesses d’un pays, II, 288, 289.
MINHADJ (EL-), traité sur les bases de
la jurisprudence, III, 34.
MINHADJ (EL-), recueil de tables
astronomiques, III, 149.
MINISTRE. Le ministre qui tient son souverain
en tutelle ne prend jamais pour lui-même les attributs et insignes de la
royauté, I, 379 et suiv.
— Les devoirs d’un ministre, II, 2, 3.
— Comment un ministre devient tout‑puissant, 115, 116.
— Les ministres d’une religion parviennent rarement à
s’enrichir, II, 346 et suiv.
MINORCA,
île, I, 138.
MIRACLES. Leur caractère, I, 189 et
suiv. 192, 193.
— Selon les philosophes, ils se font par les prophètes
sans le concours de Dieu, 192.
— Le plus grand des miracles, 194.
— Signes qui les distinguent des prodiges, III, 111. Voyez
TAHADDI.
MISBAH, traité de rhétorique, III, 326.
MISR,
I, 130.
MITHCAL D’OR ; son poids, II, 56, 59.
MIZAN EL-HIKMA, traité d’hydrostatique,
I, III, note.
MIZMAR (flûte), II, 411, note.
MIZOUAR (EL-),
Mohammed el‑Kordi, I, Introd. XVIII.
MIZOUAR, titre donné au chambellan chez
les Mérinides, II, 16.
MOAFA ou MOAFER (IBN), poète espagnol,
III, 423, note.
MOALLACAS. Leur nombre, III, 400, note.
MOAOUIA IBN HODEÏDJ. Son expédition
contre la Sicile, II, 40.
MOAOUIA (ou MOAWIA) IBN ABI SOFYAN.
Omar lui reprocha de prendre les airs d’un souverain, I, 413.
— Justification de sa conduite envers Ali, I, 418,
note, 428.
— Justifié d’avoir nommé Yezîd comme son successeur,
430.
— Ce qu’il reprochait à Ali, 434.
MOBARRED (EL-), littérateur, III, 330,
note.
MOBYEDDA, terme par lequel on désignait
les Alides, II, 51.
MOCADDEM IBN MOAFER, poète espagnol,
III, 423.
MOCADDEMA, traité de grammaire, III,
312. 68
MOCADDEMA,
l’avant‑garde d’une armée, II, 78.
MOCAFFA (IBN EL-), I, 82,
note ; III, 385.
MOCATTEM, montagne, I, 123.
MOCEÏLEMA,
I, 211, note.
MOCLA
(IBN), II, 399, note.
MOCNÊ
(EL-), traité sur les leçons cora nique,
II, 458.
MOCRI
(ABOU ’L-HACEN EL-), poète espanol, III, 438.
MODAD
(EL-), ancien chef arabe, II, 256, note.
MODAOUENA
(ou MODAOUWENA), traité de droit malekite, I, Introd, XXII, note ; III,
7.
— Ses défauts, 269, 270, 272.
MODELLIS
(ﺲّﻟﺪﻤ). Signification de ce terme, II, 169, note, 483.
MODER
(Idiome de), III, 336 et suiv.
— Comment
l’apprendre, 329, 343 et suiv. 384.
— La faculté de parler la langue de Moder ne doit pas être confondue
avec la grammaire, 345 et suiv.
— Les habitants des villes ne possèdent
pas bien cette faculté, 354, 355.
MODÉRATEUR.
Voyez CHEF SUPRÊME.
MODJAHED
EL-AMERI, roi de Dénia, II, 41.
— Il était très versé dans la connaissance
des leçons coraniques et encourageait beaucoup cette branche d’études, 455,
456.
MODJAHED
IBN DJOBEÏR, commentateur du Coran, II, 183, note.
MODJAHED
(IBN), disciple d’El-Achari, III, 59.
MODJAHED
(ALI IBN), roi de Dénia, III, 317, note.
MODJIZA (ﻩﺯﺠﻌﻣ). Signification de ce
terme, I, 189, 190, note.
MODJTAHED (ﺪﻬﺗﺠﻣ). Signification de ce
mot, III, 8, note.
MŒURS. Causes de la barbarie des mœurs
chez certains peuples, I, 169.
— Les mœurs se corrompent dans la vie sédentaire, II,
302 et suiv.
MOFASSEL, partie du Coran ainsi nommée,
I, 205, note.
MOFASSEL (EL-), traité de grammaire,
III, 312.
MOFLEH, affranchi du khalife
El-Moctader, II, 234.
MOFRAH (IBN), traditionniste, II, 396.
MOGHEÏREBI (IBN EL-), alchimiste, III,
208, 252.
MOGHÎRA (EL-). Conseil qu’il donna au
khalife Ali, I, 423.
MOGHNI ’L‑LEBIB, traité de grammaire,
III, 312, note.
MOGRA, ville, I, 128, note.
MOHABBER (IBN EL- ), traditionniste,
II, 187.
MOHACEBI (EL-), auteur soufi, III, 72,
90, note.
MOHADJER. Signification de ce terme, I,
436, note.
MOHAMMED. Comment la révélation lui
arrivait, I, 185 et suiv.
— Son état en recevant des révélations, 185, 186.
— Son abstinence, 187.
— Il assista à la reconstruction de la Caaba, 186.
— Un ange lui ordonna de lire, 267, note.
— Il ne savait ni lire ni écrire, II, 398.
— Il fut ensorcelé, III, 176.
— Il nia l’influence des astres, 244, 245.
— Il écoutait volontiers les vers qu’on lui récitait,
401.
MOHAMMED, le raïs, souverain de
Grenade, I, Introd. XLII.
MOHAMMED V, roi de Grenade, I, Introd. XLII, XLIII.
MOHAMMED, frère d’ Ibn Khaldoun, I,
XXII, XXXI.
MOHAMMED
(ABOU ABD ALLAH), le Hafside, I, Introd.
XXXV, XLI, XLV, XLVI et suiv.
MOHAMMED IBN
ABD ALLAH, surnommé En‑Nefs ez‑Zekiya, I, 29, 30, 407.
MOHAMMED IBN
ABD EL-AZIZ. Voyez MIZOUAR (EL-).
MOHAMMED IBN ABD EL-DJEBBAR, prince
omeïade espagnol, I, 380.
MOHAMMED IBN ABI AMR, chambellan mérinide,
I, Introd. XXXIII.
MOHAMMED
IBN ARIF, officier mérinide, I, Introd.
LVII, LVIII.
MOHAMMED
IBN DJABER. Voyez BETTANI (EL-).
MOHAMMED IBN HABÎB, père d’El-Mehdi le
Fatemide, II, 216.
MOHAMMED
IBN EL-HACEN, docteur malekite, II, 469, note.
MOHAMMED
IBN IBRAHIM ES-SAHELI, jurisconsulte, I, Introd.
LXXXII, note.
MOHAMMED
IBN ISHAC, I, Introd. XXIII, 5,
note ; II, 187.
MOHAMMED
IBN KHALED. Voyez DJONDI (EL-).
MOHAMMED EL-MEHDI, le douzième imam, I,
405. — Voyez FATEMIDE ATTENDU.
MOHAMMED IBN
MEROUAN EL-EÏDJLI (EL-AKÎKI ?), traditionniste, II, 185.
MOHAMMED
IBN MOUÇA. Voyez KHAREZMI.
MOHAMMED
IBN OTHMAN. Voyez KAS (IBN EL-).
MOHAMMED IBN SAAD, traditionniste, II,
164, note.
MOHAMMEDIEN. Un certain jour est qualifié
par cet adjectif, II, 194, ainsi qu’une certaine vérité, III, 99.
— Avicenne l’emploie en parlant de la loi de Mohammed,
239.
MOHASSEN (IBN EL-), mathématicien, I,
111, note.
MOHEBBER (IBN EL-). Voyez DAWOUD.
MOHELHEL (Les), tribu maghrébine, I, Introd. XXVII ; III, 416.
MOHELLEB (IBN EL-), auteur d’un commentaire
sur Bokhari, II, 475.
MOHENNA (BENI), grande tribu
arabe ; prétend descendre des Barmekides, I, 279
MOHKAM (ﻢﻜﺤﻣ). Ce qualificatif désigne
les versets du Coran dont le sens est certain, III, 2, 64 et suiv.
— Il est aussi le titre d’un lexique arabe, 317.
MOHR (EL-) IBN FERÈS, poète espagnol,
III, 430.
MOHREZ (IBN), docteur malekite, III,
17.
MOHTECEB (agoranome). Fonctions
de cet officier, I, 40, note, 458 et suiv.
MOHTECEB (IBN EL-), un des aïeux d’Ibn
Khaldoun, I, Introd. XIV.
MOÏSE. Sa généalogie, I, 16.
MOIYESSER (IBN), docteur malekite, III,
18, note, 19.
MOKHAMMÈS, espèce de poème, III, 405,
note.
MOKHADREM. Signification de ce mot,
III, 379.
MOKHTAR
(EL-) IBN ABI OBEÏD. Il professa la
doctrine la plus avancée du chiisme, I, 404.
MOKHTECER, traité de droit par Ibn Abi
Zeïd, III, 17.
MOKHTECER (EL-), traité d’Ibn el‑Hadjeb
sur le droit malekite, I, Introd.
XX ; III, 20, 35.
MOKHTECEB (EL-), traité de droit par
Ibn es‑Saati, III, 37.
MOLEM (EL-) BI FEWAID MOSLEM, titre
d’un commentaire sur le Sahîh de Moslem, II, 475.
MOLHIDA (sacrilèges). On
désignait les Ismaéliens par ce nom, I, 410.
MOLOUIA (Le), fleuve, I, 126.
MOLOUK ET-TAWAIF, II, 11, note, 41.
MOLTAN, ville, I, 124.
MOMETTA
(EL-), traité d’onéirocritique, III. I2I.
MONAËM
(IBN), arithméticien, III, 134.
MONAOUELA.
Signification de ce terme, II, 466.
MONASEKHA.
Signification de ce terme, III, 21.
MONCATA ’L‑ACHAIR, une des limites du
territoire de la Mecque, II, 261.
MONDE (Phases du), III, 78 et suiv.
MONDE (Le) des anges, I, 198.
MONDE
(Le) de l’assemblage (ﻕﺗﺮﻟﺍ ﻢﻠﺎﻋ), III, 100.
MONDE
(Le) de la combinaison (ﺐﻴﻜﺭﺗﻠﺍ ﻢﻠﺎﻋ),
III, 100.
MONDE
(Le) corporel (matériel), III, 78.
MONDE
(Le) des éléments (ﺭﺼﺎﻨﻌﻠﺍ ﻢﻠﺎﻋ), III, 100.
MONDE (Le) du prophétisme, III, 79.
MONDE (Le) des
réalités (ﻰﻨﺎﻌﻣﻠﺍ ﻢﻠﺎﻋ), III, 99.
MONDE (Le) de la séparation (ﻖﺗﻔﻠﺍ
ﻢﻠﺎﻋ), III, 100.
MONDE
(Le) de la vision, III, 79.
MONDE
INVISIBLE (Le). Comment on ob tient des
connaissances du monde invisible, I, 184 et suiv., 220 et suiv.
— Erreur d’El-Masoudi à ce sujet, 223.
— Comment on peut. reconnaître les
personnes qui aperçoivent les choses du monde invisible, 240.
— Le raison nement ne saurait atteindre aux choses du monde invisible, III, 233.
MONDJED
(EL-), titre d’un lexique arabe, III,
318.
MONEBBEH (IBN). Voyez OUEHB.
MOEDDJEM (astrologue).
Ce titre est donné aux géomanciens, II, 206.
MONEKKEB (EL-), ville, I, 139.
MONEMMER
(IBN EL-), arithméticien, III, 23, note, 140.
MONKED (IBN). Sa mission à la cour des
Almohades par Saladin, II, 44.
MONKEDER (IBN EL-), traditionniste,
III, 161, note.
MONNAIE (Fabrication de FAUSSE), III,
252, 253.
MONNAIES MUSULMANES. Voyez DIRHEM,
DINAR et MITHCAL.
MONNAIES PERSES, II, 55.
MONOPOLE. Le monopole pratiqué par le
souverain nuit à la prospérité de l’État, II, 95 et suiv.
MONT‑DJOUN (ou
DJOUR, le Jura), I, 151.
MONTAB (IBN
EL-), docteur malekite, III. 15.
MONTADHER (EL-). Voyez IMAM ATTENDU.
MONTE‑MAYOR,
I, 150.
MONTILLA, ville, I, 139.
MONUMENTS. Voyez ÉDIFICES.
MONYA (IBN). Voyez YALA.
MOPSUESTE, I, 143.
MORAHHEL (IBN), littérateur, III, 357.
MORCEL. Signification de ce terme, III,
360.
MORGHAR, montagne, I, 157, 158.
MORNAC, canton de la Tunisie, II, 38,
note.
MOROUDJ
ED-DEHEB. Contenu de cet ouvrage, I, 65,
66. — Voyez MASOUDI.
MORTALITÉS. Les causes des grandes mortalités,
II, 139.
MORTEDA (Le cherif EL-), I, 44, note.
MORTELLA, ville, I, 139.
MOSAB IBN EZ-ZOBEÏB, II, 56, note.
MOSEDDJA. Signification de ce terme,
III, 360.
MOSLEM IBN EL-HADDJADJ, traditionniste,
I, Introd. XXI, note, 291.
— Caractère de son Sahîh, II, 470, 475.
MOSLEM IBN
EL-OUELÎD, poète, III, 396, 397.
MOSLEM
(ABOU), I, 407.
— Parole de ce général, II, 47.
— Aspect astrologique du ciel lors de son apparition,
220.
MOSNED.
Signification de ce terme, II, 185.
— Les Mosneds, 472.
MOSNAD, espèce d’écriture, II,
396 ; III, 266.
MOSQUÉES. Il y en a deux espèces, I,
446.
— Leur administration, ibid.
— Les mosquées et temples les plus illustres, II, 253
et suiv.
— Le temple de la Mecque, 254 et suiv.
— Le parvis de la Caaba forme la mosquée, 260.
— Le temple de Jérusalem, 263 et suiv.
MOSTANCER (EL-), le Hafside. Date de sa
mort, I, Introd. XVI.
MOSTANCERIYA (EL-), nom d’un collège à
Baghdad, III, 20.
MOSUL, I, 145.
MOSWEDDA, terme qui désignait les Abbacides,
II, 51.
MOTAMAOUWEL. Signification de ce terme,
II, 320, note.
MOTAMED (EL-), traité de jurisprudence,
III, 33.
MOTARREF, docteur malekite, III, 18.
MOTARREF, poète espagnol, III, 430.
MOTARREF IBN TARIF, traditionniste, II,
167, note.
MOTASSEL, terme de métaphysique, III,
94.
MOTAZELITES (Les), I, 190, note. Leur
opinion relativement à la possibilité d’un prodige opéré par un saint, I, 191,
192.
— Leur doctrine, III, 56, 58 note.
— Leur opinion au sujet des attributs divins, 70.
MOTECHABEH (ﻪﺑﺎﺷﺗﻤ). Par ce terme on désigne
les mots et les versets du Coran dont le sens est obscur, III, 2, 53, note.
— Éclaircissements à ce sujet, 64 et suiv. ? 67.
— Ce qu’Aïcha en disait, 67.
— La vraie signification des expressions motechabeh
nous est inconnue, ibid.
MOTENEBBI
(EL-). Quelques critiques refusent à ses compositions le titre de poèmes, III,
375, note, 380.
MOTEKELLEMÎN (Les), théologiens dogmatiques,
I, 189.
— Voyez SCOLASTIQUES.
MOTESOUWEFI (aspirant au soufisme),
III, 86, 468.
MOTEZZ (IBN EL-), III, 385, note, 397.
MOTHENNA. Voyez SABBAH (IBN EL-).
MOTI (IBN), grammairien, III, 312,
note.
MOTS. Les vertus secrètes des mots,
III, 191, 192, 193.
— Nécessité de connaître la signification des mots,
280, 303 et suiv.
— Les mots peuvent s’exprimer de deux manières, 280.
— Les mots primitifs et secondaires, 319.
— La signification des mots ne peut pas s’obtenir par
la déduction analogique, 320.
MOUBEDAN (Le), I, 80, note.
— Son songe, 224.
— Fable qu’il raconte au roi des Perses, II, 107.
— Les conseils qu’il lui donna, 107, 108.
MOUÇA IBN ABI ’L‑AFIÂ, émir des
Miknaça, I, 293, note.
MOUÇA IBN CHAKER, III, 143, note.
MOUÇA IBN SALEH, devin, II, 207.
MOUÇA (ABOU) EL-ACHARI, I, 416, note,
449, note ; II, 417, note.
MOUDJEZ (EL-), traité de logique, III,
156.
MOUEDDIN (ALI IBN EL-), poète de
Tlemcen, III, 449.
MOUHEL (IBN), poète espagnol, III, 428.
MOWAHHEDÎN. Origine de cette
dénomination, I, 467.
MOWAÏED
(EL-), khalife omeïade espagnol, I, 380.
MOWALLED. Les deux significations de ce
mot, III, 300, note, et 344, note.
MOWASCHEHA, espèce de poème, III, 422.
— Signification de ce mot, ibid. note.
MOWATTA, titre
d’un corps de traditions recueillies par l’imam Malek, I, Introd. XX, note, 32, note.
— Contenu de ce livre, II, 469.
MOYEN TERME
(Le), en logique, III, 279, 281.
MOZAB (BENI), peuple, I, Introd. LVIII.
MOZAOUWEDJ, espèce de poème, III, 447.
MOZEKKI (LE), I, Introd. LXXVI, note.
MOZENI (ABOU
ISHAC ISMAÎL EL-), docteur chaféite, I, 37, note ; III, 11, note.
MOZNI (MOHAMMED IBN), chef africain, I, Introd. XVIII, XXXII.
MOZNI
(YOUÇOF IBN), I, Introd. XXXII.
MUFTI,
I, Introd. XIX.
— La conduite répréhensible des muftis au Caire,
LXXVIII.
— La charge de mufti, 447 et suiv.
MURCIE, I, 140.
MUSIQUE. Reproche adressé par Ibn Khaldoun
à un prince qui apprenait la musique, I, 39.
— On a prétendu qu’elle prépare l’âme à recevoir des
révélations divines, 236.
— Sa légalité est sujette à doute, 430.
— Théorie des effets de la musique, II, 48, 49.
— Chapitre sur la musique, 410 et suiv.
— Cause du plaisir qui dérive de la musique, 412 et
suiv.
— Utilité de la science de la musique, III, 123.
NABEGHA (EN‑), le poète, III, 391,
note.
NABEL, ville, I, 152.
NABUCHODONOSOR.
Il n’était qu’un simple satrape, I, 15.
NACALIYA
(ﺔﻴﻟﻗﻨ). Signification de ce terme I, Introd.
XXV, note.
NACER (ABD er-RAHMAN en‑), souverain
omeïade espagnol, I, 366.
NACER (EN‑), fils de Calaoun, I, 367.
NACER (EN‑),
fils d’El-Mostadhi, II, 131, note.
NACER (EN‑) EL-OTROUCH, Alide, I, 408.
NACER ED-DÎN
(ABOU ALI), professeur de Bougie, II, 443.
NACHI (EN‑). Il
y avait deux poètes de ce nom, III, 382, note.
NACÎR (ou NASÎR) ED-DÎN ET-TOUSI, philosophe
et mathématicien, III, 162, 302, note.
NADHER EL-DJEÏCH. Sous
les Turcs mamlouks, cet officier était chef du bureau de la solde, II, 24.
NADHER
EL-KHASS, l’intendant du domaine privé, II, 25.
NADJERA, ville, I, 150.
NADJI (ABOU ’S‑SIDDÎK
EN‑), traditionniste, II, lT1, 1I3.
NARRA (ABOU), II, 170, note.
NAHOU (ﻮﺣﻨ), grammaire, III, 308 et
suiv.
NAHOUÏ (IBN EN‑), jurisconsulte, III,
388, note.
NAÏB. Sous la dynastie des Turcs
mamlouks, le naïb, ou vice‑roi, était chargé du pouvoir exécutif et de
l’administration de l’armée, II, 11.
— Le peuple et même tous les individus de la race dominante
étaient soumis à sa juridiction, 17, 18.
— Ses privilèges, 18.
NAIM (ABOU),
traditionniste, III, 24, note.
NAKHAI (IBRAHÎM
EN‑), jurisconsulte, II, 261, note.
NAKÎB. Signification de ce mot, II,
191, note ; III, 104.
NAPLES,
I, 152.
NARBONNE,
I, 141, 151.
NASÎR. Voyez NACÎR.
NATIONS ANCIENNES. Elles ont eu,
chacune, des caractères distinctifs, I, 58.
NATOUS,
pays, I, 154, note.
NATURE (La).
Selon Avicenne, elle prend, dans ses opérations, la voie la plus courte, III,
260.
NAVIRES (Construction des), II, 378.
NAXERA,
ville, I, l50.
NEBID, espèce de boisson, qui est
regardée comme licite par les Hanefites, I, 35, 36, 441, note.
NEBÎH
(IBN EN‑), poète égyptien, III, 386, note.
NEÇAI (EN‑), auteur d’un recueil de traditions,
II, 164, note, 471.
NECEFI (EN‑), docteur hanefite, III,
39, note.
NECHÎT EL-FARECI, musicien, II, 420.
NEDJACHI,
titre par lequel les Arabes dé signaient
le roi d’Abyssinie, II, 6, note.
NEDJAT
(En‑), ouvrage d’Avicenne, III, 161, 236,
note.
NEDJD, pays, I, 123.
NEDJEIREM, ville, I, 133.
NEDJM
(EN‑) EL-ISMAÎLI, poète mystique, III, 103.
NEDJOUD
(ACEM IBN ABI ’N‑), un des sept lecteurs, II, 162.
NEDJRAN, pays, I, 123.
NEFS
(EN‑) EZ-ZEKIYA, Alide, I, 29, 30, 407.
NEFZAOUA, ville, I, 128.
NÉGOCIANTS. Infériorité de leur
caractère moral, II, 355 et suiv.
NÈGRES. Opinions sur la cause de leur
couleur, I, 169.
— Cause de leur pétulance et de leur gaieté, 174 et
suiv.
— Opinion d’El-Masoudi à ce sujet, 1 76.
NEHAOUEND,
ville, I, 146.
NEHROUAN,
province, I, 145.
NEIRÎZI (EN‑), poète espagnol, III,
423.
NEISABOUR,
ville, I, 147.
NEWADER (EN‑), curiosités de la
jurisprudence, par Ibn Abi Zeid, III, 18.
NEWADER (EN‑).
traité philologique par Abou Ali ’l‑Cali, III, 330.
NEWAOUI (MOHI
ED-DÎN EN‑), docteur chaféite, I, 392, note ; II, 468 ; III, 13, 20.
NEZÎF. Signification de ce mot, I, 274.
NICÉE (Le concile de), I, 475.
NÎCER (Le désert de), I, 122, note.
NIDHAM
EL-MOLK. Voyez NIZAM EL‑MOLK.
NÎL (Le), I,
97.
NÎL (Le) des
Nègres, I, 116.
NÎM. Voyez HIÇAB EN‑NÎM.
NISÎBÎN, ville, I, 143.
NÎTOCH. Origine de ce nom, I, 94, note.
NÎTOCH (La mer de), I, 94, 138, 146,
153, 155, 156, 161, 165.
NIZAM EL‑MOLK, le vizir ; II, 219,
note.
NOBLESSE DE FAMILLE. Conditions de son
existence, I, 280 et suiv., 284.
— La noblesse d’une famille se communique aux clients
de cette famille, 283 et suiv.
— Il faut quatre générations pour établir la noblesse d’une
famille, 286.
— Le point culminant de la noblesse, 286 et suiv.
NOÉ. Il enseigna aux hommes l’art de
construire des navires, II, 378, 379.
NOFEIL (ALI IBN), traditionniste, II,
168.
NOMADES. La civilisation chez les
nomades, I, 254 et suiv.
— La vie nomade est conforme à la nature, ibid.
— L’existence de la race des Arabes nomades est un
fait conforme à la nature, 25.
— Les nomades sont plus braves que les habitants des
villes, 263.
— L’esprit de tribu les rend très redoutables, 269.
— Voyez ARABES.
NOMAN (IBN EN‑), docteur chîïte, I, 44.
NOMBRES (Sciences relatives aux), III,
129 et suiv.
NOMBRES. On est porté à les exagérer
beaucoup dans les récits historiques, I, 14 et suiv.
— Manière d’exprimer les nombres au moyen des lettres
de l’alphabet arabe, 242 et suiv.
NOMBRES AIMABLES, III, 178.
— Influence magique qu’on leur attribue, 179.
NOMEIR (IBN)
ES-SEKOUNI, général de Yezîd, fils de Moawîa, II, 257.
NORBAGHA, pays, I, 165, note.
NORIA, roue hydraulique, III, 446,
note.
NORMANDIA, pays, I, 160.
NORMANDIE, I, 160.
NORVÈGE, I, 165.
NOSEÏB IBN RÎAH. Voyez MIHDJEN (ABOU).
NOUAS (ABOU), poète, I, 34, note.
— Un vers de lui cité, 352 ; III, 376, 397.
NOUBAKHT (IBN). Voyez SEHEL.
NODBAKHT
(BENI), I, 65.
— Nature de leur noblesse, 284, 374.
NOUCHERI (EÏÇA EN‑), gouverneur de l’Égypte
pour les Abbacides, I, 40.
NOUF, ville de la Terre Sainte, II,
264.
NOUL,
fleuve, I, 126.
NOURRITURE. Son influence sur l’espèce
humaine, I, 177 et suiv.
— Exemple de deux femmes qui vécurent longtemps sans
nourriture, 183.
NOUVEAU (ﺙﻴﺪﺣ). Ce terme est employé
avec le sens de créé dans la théologie scolastique, III, 73.
NOZHET
EL-MOCHTAC, titre de l’ouvrage géographique d’El-Idrîci, I, 112.
OASIS
(Les), I, 118.
OBBA, ville, I, Introd.
XXXI.
OBBAD (EL-), cimetière, I, Introd. LVI, note,
LXVII ; II, 202, note.
OBEÏD (ABOU),
un des généraux du khalife Omar, II, 87.
OBEÏD ALLAH EL-MEHDI. Voyez
MEHDI (EL-).
OBEÏDITES.
Voyez FATEMIDES.
OBJET (L’)
d’une science, I, 88, note.
OBOLLA (EL-),
ville, I, 133.
OCÉAN
ENVIRONNANT. Voyez MER.
OCÉAN INDIEN.
Voyez MER.
OCHBOUNA, ville, I, 139.
ŒIL. Effets du
mauvais œil, III, 187.
ŒUF, terme
d’alchimie, III, 223.
ŒUVRE (Le
GRAND), 207 et suiv., 210, 211.
OG, fils d’Enak, I, 360, 361 ; II, 244.
OÏOUN
EL-ADILLA, traité sur les questions de jurisprudence qui ont donné lieu à des
controverses, III, 37.
OKADH (OKAD, OKAZ), foire, I, 123 ; III, 400.
OKAÏLI. Voyez AKÎLI.
OKIANOS (Ω̉κεανός), I, 91.
OLEÏYA (IBN), traditionniste, II, 164,
note.
OMAIYA. Voyez OMEÏA.
OMAIYA IBN ABI ’S‑SALT, devin contemporain
de Mohammed, I, 211, note.
OMAN, pays, I, 124.
OMAR (Le khalife). Il ordonna la
destruction des livres trouvés chez les Perses, I, 78.
— Il eut une inspiration divine, 228.
— Il défend à Saad (Ibn Abi Ouekkas) de maltraiter ses
subordonnés, 265.
— Sa harangue aux musulmans qui partaient pour
envahir l’Irac, 303.
— Ce qu’il disait de l’Ifrîkiya, 337.
— Il rapiéçait lui-même son vieux manteau, 415.
— Lettre d’instructions qu’il adressa à un cadi, 449,
450.
— Ses conseils à Abou Obeïd, II, 87.
— Ce qu’il disait de la reconstruction de Koufa, 273.
— Mohammed lui défendit de lire le Pentateuque, 453.
— Son opinion au sujet des châtiments corporels, III,
292.
OMAR, frère de
Zeïd Ibn Ali, l’Alide, I, 408.
OMAR IBN ABD
ALLAH, régent de l’empire mérinide, I, Introd.
LV.
OMAR IBN ABD EL-AZIZ. Parole honorable
de ce khalife, I, 418, 419.
— Sa belle conduite, 420.
OMAR IBN
ABI REBÎA. Voyez REBÎA.
OMAR IBN ALI, officier de l’empire
mérinide, I, Introd. XXXII, XLI.
OMAR
(ABOU HAFS), sultan hafside, I, Introd.
XXVII.
— Sa mort, XXVIII.
OMAR (IBN),
écrivain de l’alama à la cour des Hafsides, I, Introd. XXXI.
OMAR (ABD ALLAH IBN), I, 33,
note.
— Il s’absente quand
Moawîa fait reconnaître Yezîd comme successeur au khalifat, 428.
— Tradition provenant de lui, II, 187,
note.
— Sa mort eut lieu entre les années 55 et
73.
OMARA (IBN
ABI), prétendu hafside, I, Introd. XVI.
OMARI (ABD ALLAH IBN OMAR EL-), traditionniste,
II, 188.
OMARI (OBEID ALLAH EL-), petit‑fils du
khalife Omar, I, 31, note.
OMDA (EL-), traité de l’art de la
poésie, II, 419, note ; III, 327, 378, 380.
OMEÏA IBN ABD
EL-GHAFER, gouverneur de Séville sous les Omeïades espagnols, Introd. I, X.
OMEÏADES ESPAGNOLS ; leurs
richesses, I, 366.
OMM HABÎBA, une des femmes de Mohammed,
II, 187, note.
OMM
EL-KHOLEFA, esclave galicienne, devenue princesse hafside, I, Introd. XIV.
OMM EL-KORA,
un des noms de la Mecque, II, 261.
OMM SELMA, une
des femmes de Mohammed et fille d’Abou Sofyan, II, 168, note.
OMOD (KITAB EL-), traité de
scolastique, III, 33.
ONCE LÉGALE (L’), II, 61.
ONKERIYA,
pays, I, 160.
OPINION. Nature de cette faculté, I,
199 ; III, 97, 102.
OPINION (Gens
de l’), III, 3.
— Ils suivent la doctrine d’Abou
Hanîfa, 6.
OPPRESSION. Un gouvernement oppressif
amène la ruine de la prospérité publique, 106 et suiv.
— Ses divers genres, II, 109, 111, 112.
— Pourquoi le législateur inspiré l’a défendue, 109,
110.
— Les peuples soumis à un régime oppressif tombent
dans la dégradation, III, 291.
OPTIQUE (L’) (ﺓﺭﻅﺎﻨﻣﻠﺍ). Chapitre sur
cette science, III, 144.
OPULENCE. A quelle époque le souverain
et ses officiers commencent à en jouir, II, 99 et suiv.
OR. El-Motazz fut le premier khalife
qui se servit de garnitures en or, I, 35.
— Formation de ce métal par la nature, III, 207, note.
— Sa formation par l’art, 207 et suiv., 257, 258.
OR ET ARGENT. Cause de la rareté de ces
métaux, III, 260.
ORAN,
ville, I, 127.
ORDONN
(EL-), fleuve, I, 132.
ORGANON D’ARISTOTE (L’), III, 151, 236.
— Les Arabes l’ont intitulé El-Fass, ibid.
— Il se compose de huit livres, 152.
— Leurs titres, 152, 153.
ORIENT (L’). Il est plus civilisé que
l’Occident, III, 326.
ORIENTATION (L’) des cartes arabes est
fausse, I, 140, note.
ORIENTAUX (Les). Leur supériorité sur
les Occidentaux, II, 445 ; III, 326.
ORKHAN, souverain des Turcs, I, 143,
154.
ORMEOUÏ (CIRADJ ED‑DÎN EL-),
théologien, III, 33, note.
ORMEOUÏ (TADJ ED‑DÎN EL-), III, 33,
note.
ORNEMENTS (ﻊﻴﺪﺑ) (LA SCIENCE DES), III,
324, 325, 326, 327.
OBOUD EL‑BELED, genre de poèmes, III,
445.
ORTHOGRAPHE du Coran, II, 397, 398, 454
et suiv., 457.
OSAMA (ABOU). traditionniste, II, 178,
note.
OSAMA IBN ZEÏD, II, 212, note, 214.
OSCOF. Signification de ce mot, I, 474.
OSIOUT, ville, I, 123.
OSROUCHNA, pays, I, 136, l48.
OSTAD (L’), docteur chaféite et
jurisconsulte, I, 191, note.
OSTAD ED‑DAR, majordome chez les Turcs
mamlouks, II, 25.
OSTOUL. Signification de ce mot, II,
37, note.
OTAKI (EL-), docteur malekite, III, 11,
note.
OTBI (EL-), docteur malekite, III, 16,
note.
OTBIYA, traité de droit malekite, III,
16, 17.
— Défaut de cet ouvrage, 269.
OTHMAN, le khalife. Ses richesses, I,
416.
— Il défendit à ses amis de tirer l’épée quand on
voulait le tuer, 422.
— Motifs qui portèrent les Arabes à se révolter
contre lui, 436, 437.
— Suites de cette révolte, 437, 438.
OTHMAN IBN KHALED ET-TAOUÎL, Motazelite,
III, 71.
OTHMAN IBN YOUÇOF, chef arabe maghrébin,
I, Introd. LIII.
OTHMAN
(ORKHAN, fils d’), I, 143, 154.
OTRANTE, ville, I, 141.
OUAC‑OUAC (La
contrée des), I, 95, 120.
OUACEL IBN ATA, le Motazelite. I, 403, note ;
III, 71, note.
OUACEI. (ABOU ’L), traditionniste, II,
175.
OUADAÏYA (ﺔﻴﻌﻀﻮ). Signification de ce
terme, I, Introd. XXV, note, III,
313, note.
OUADEH, gouverneur d’Alexandrie pour
Haroun er‑Rechîd, I, 47.
OUADEHA (EL-), traité de droit
malekite, III, 16, 17.
OUADI ’L‑CORA, contrée, I, 416,
note.
OUADI ’L‑HIDJARA, rivière, I, 139.
OUADI ’R‑REMEL, I, 20.
OUAHI (ﻰﺣﻮ), révélation. Dérivation de
ce mot, I, 203. — Voyez RÉVÉLATION.
OUAÏL (ABOU), traditionniste, II, 164,
note.
OUAKCHI (ABOU ’L-OUELÎD EL-), II, 395.
OUAKEDI (EL-), historien, I, 5, note.
OUAKEFIYA (EL-), secte des Chîïtes, I,
404, 405.
OUAKFS. Comment on faisait au Caire
pour les acheter, et les vendre, I, Introd,
LXXVII et suiv.
— Les émirs turcs de l’Égypte en fondèrent un grand
nombre II, 449.
— Leur motif en agissant ainsi, 450.
OUAKHCH
(EL-), pays, I, 135, 136.
OUAKHCH‑AB.
rivière, I, 135, 136.
OUALI (ﻰﻠﺍﻮ), titre donné au chef de la
chenu chez les Turcs mamlouks, I, 452 ; II, 35.
OUANGARA, pays, 116.
OUATHEC (EL-), le khalife. Il songea
que la barrière construite par Alexandre fut rompue, I, 164.
OUATÎL (IBN ABI), disciple d’Ibn Sebaîn
II, 192, 194, 196.
OUCHELAT, montagne, I, 128.
OUECHCA, ville, I, 150.
OUECÎF,
émir turc, I, 49, 374.
OUEDDAN (Les), peuple, I, 122, 128,
129.
OUEDRAR (FARÈS IBN), vizir mérinide, I,
371.
OUEHB (ABD ALLAH IBN), docteur malekite,
II, 469, note.
OUEHB
(IBN), vizir abbacide, II, 234, 235.
OUEHB IBN MONEBBEH, II, 208, note, 461,
note.
OUEKIÂ IBN EL-DJERRAH, traditionniste,
II, 178, note.
OUEKÎL. Au temps de l’auteur, on
donnait ce titre au ministre des finances et de la comptabilité privée du
sultan de Grenade, II, 17.
OUÉLI. Ce mot signifie ce qui est
proche de Dieu, ascète, I, Introd.
XIX .
— Il s’emploie aussi avec le sens de client,
376.
— Actes surnaturels dont les ouélis sont
capables, I, 190, 192.
OUELÎD (EL-) IBN OCBA, gouverneur de
Koufa sous le khalife Othman ; fut accusé d’avoir bu du vin, I, 437.
OUENZEMMAR
IBN ARÎF, Introd. LV, LVI, LXII, LXV.
OUERGLA ou OUERGLAN, ville, 115, note.
OUESÎF, émir turc. Voyez OUECÎF.
OUETTHAB (EL-), titre donné à un prince
hafside, II, 230.
OUEZZAN (IBN EL-), III, 18, note.
OUHRAN, ville, I, 127.
OUKHAN, lieu, I, 135, note.
OUSNAFI (EL-), cheikh maghrébin, I, Introd, XXXI.
OUTRÎGA (Les), peuple, I, 122.
OUVRAGES LITTÉRAIRES. Sujets qu’on peut
traiter dans un ouvrage, III, 264 et suiv.
— La multiplicité d’ouvrages nuit à l’acquisition des
connaissances, tant celles du droit que celles de la grammaire, 271 et suiv.
OWAÏF EL-CAOUAFI, chef arabe et poète,
I, 289, note.
OZEÏR, le nom donné par les musulmans à
Esdras, II, 265.
PALERME,
I, 141.
PALMYRE,
I, 132.
PAMPELUNE,
I, 150.
PAPE. Voyez BABBA.
PAPIER. Sa première fabrication sous le
khalifat, II, 407.
PARAFE, II, 27. — Voyez ALAMA.
PARCHEMIN. Dans le premier siècle du
khalifat, il fut universellement employé pour les écrits de toute nature, II,
407.
PAROLE (La science de la) (ﻡﻼﻜﻠﺍ ﻢﻠﻋ).
Pourquoi la théologie scolastique fut nommée ainsi, III, 59, note, 71.
— Véritable signification de ce mot selon les
Acharites, 72.
PAROLE (La) MENTALE, III, 73.
PARTHIE (La), I, 145, note.
PARTIE (La) GÉNÉRALE. Signification de
ce terme, III, 222.
PARVENUS. Comment ils arrivent à la fortune,
II, 344, 345.
PATRIARCHE. Signification de ce mot, I,
468, 474.
PATRONYMIQUES. Ils ne sont pas toujours
conformes à la vérité, I, 273 et suiv.
— Comment ils perdent leur exactitude, ibid.
— On les usurpe quelquefois, 277.
PAUVRES (Les) des grandes villes, II,
280, 281.
— Pourquoi ils se rendent volontiers au Caire, 281.
PAYS. Causes de la prospérité relative
des divers pays, II, 287, 288.
— La dépopulation des villes amène la ruine du pays,
322, 323.
PÉDÉRASTIE.
Peine que Malek et Chafeï lui appliquent, II, 305, note.
PÈLERINAGE.
Les Omeïades d’Espagne défendirent aux fonctionnaires publics de faire le
pèlerinage de la Mecque sans autorisation, II, 103.
PÉLOPONNÈSE
(Le), I, 138, 141.
PENSÉES
(ﻰﻨﺎﻌﻣ) (La sciences des), III, 393, 394.
PENTATEUQUE
(Le). Le texte de ce livre n’a pu être altéré par les Juifs, I, 18.
— Il en existait une traduction arabe
faite sur le texte de la Vulgate, I, 288, 289, note.
— Omar tenait dans sa main une
feuille du Pentateuque quand Mohammed lui défendit de le lire, II, 453.
PENTATEUQUE
(Les gens du), II, 461.
PERCEPTEUR
(Trésorier), II, 5.
PERCEPTION.
Opinion des philosophes sur la perception de l’être, III, 229 et suiv.
— Il y a deux genres de perceptions,
234, 235.
— Les perceptions du monde invisible
sont recherchées par quelques soufis, 235.
PERCEPTIVITÉ
(La). Comment elle se perfectionne, III, 84, note.
PERMANENCE
(La) des espèces, II, 384, 385.
PERMUTATION
(La) ou transmutation des métaux. Son impossibilité, III, 249.
— Théories de la transmutation, 254, 255.
— Doctrine d’Avicenne à ce sujet, ibid.
— Doctrine d’El-Farabi et
d’E-Toghrai, 255.
— Opinion d’Ibn Khaldoun, 256 et
suiv.
PESTE
(La grande), I, Introd. XIX, note,
XXIX, 66, note.
PETCHNÈGUES
(Les), peuple, I, 162, 166.
PEZDEVI
(EL-), docteur hanefite, III, 34, note,
35.
— Sa méthode de controverse, 39.
PHASES. Indication des phases par lesquelles
passe la nature humaine, III, 78, 79.
— Indication des perceptions que l’homme obtient dans
chacune de ces phases, 80 et suiv.
PHILOSOPHES. Opinion des philosophes
musulmans au sujet des miracles, I, 192 et suiv.
— Réfutation des philosophes grecs, III, 232 et suiv.
PHILOSOPHIE (La), III, 122.
— Elle a pour base sept sciences, 123.
— Les sources des sciences philosophiques sont identiques
chez tous les peuples, 266. — Vanité de la philosophie grecque, 227 et suiv.
PHYSIQUE (La). Son objet, III,
122.
— Chapitre sur la physique, 161.
— Celle des anciens philosophes ne renferme rien de
certain, 232.
— Son étude est défendue, 233.
PIERRE PHILOSOPHALE (La), III, 210 et
suiv.
— Elle ne saurait exister, 249.
— Voyez ALCHIMIE.
PIERRE TRÈS NOBLE (La), III, 250, 251.
PIERRE (SAINT). Sa mort, I, 474.
PIERRE LE CRUEL, I, Introd. XLII, XLIV.
PILIERS DE LA SAGESSE (Les), III, 125.
PISE,
ville, I, 152.
PLANÈTES MALHEUREUSES (Les), II, 218.
PLANÈTES SUPÉRIEURES (Les), II, 219,
note, 227, note.
PLANISPHÈRE (Description du), I, 106 et
suiv.
PLATON. Inscription qu’il avait fait
mettre sur sa porte, III, 142.
— Son opinion au sujet des êtres métaphysiques, 234.
PLOMB. Ce que les alchimistes désignent
par ce mot, III, 225.
POÈME sur l’art des vers, attribué à
Ibn Rechîk, III, 380.
— Autre poème sur le même sujet, attribué à En‑Nachi,
382.
— Poème bédouin du Hauran, 421.
POÉSIE. Sur cet art et la manière de
l’apprendre, III, 365 et suiv.
— La poésie existe dans toutes les langues, 365, 402,
403.
— Comment composer un poème en arabe, 366, 367.
— En arabe, la poésie a une allure particulière, 365,
366.
— Les anciens Arabes la regardaient comme la forme la
plus noble du discours, 367 ; et leurs poèmes servaient de dépôts à toutes
leurs connaissances, ibid.
— Les modernes acquièrent difficilement la faculté de
composer en vers, ibid.
— Dans la poésie, les mêmes pensées peuvent s’exprimer
de plusieurs manières, 371.
— Définition formelle de la poésie, 375.
— Les termes de cette définition discutés, 375, 376.
— Poème sur la poésie, 381.
— Pour acquérir la faculté de composer des poèmes, il
faut apprendre par cœur beaucoup de bons vers, 385 et suiv.
— La culture de la poésie est maintenant dédaignée par
les grands, 400 et suiv.
— Dans les premiers temps de l’empire musulman, les
Arabes composaient des poèmes en l’honneur des khalifes, 401.
— Ils obligeaient leurs enfants à apprendre des poèmes
par cœur, ibid.
— La poésie fut encouragée par les Omeïades et les
Abbacides, 402.
— La poésie contemporaine chez les nomades et chez les
habitants des villes, 402 et suiv.
— Poèmes des Arabes nomades de la Mauritanie, 407 et
suiv., note.
POÉSIE ZEDJÉLIENNE, II, 227 et
note ; III, 468, 441.
POÈTES (Les six), I, Introd. XXI, note.
POÉTIQUE D’ARISTOTE (La), III, 154.
POISSON (Le). Pourquoi il cesse de
vivre lorsqu’il est hors de l’eau, I, 74.
POITOU (Le), I, 159.
POLITIQUE D’ARISTOTE (La). L’ouvrage en
arabe qui porte ce titre est supposé, I, 81.
POLOGNE (La), I, 160, 165.
POPULATION D’UN PAYS (La) ; à
quelle époque elle atteint son maximum, II, 138.
POSSÉDÉS ; ils reçoivent des
inspirations du monde invisible, I, 218.
POSTE (Le MAÎTRE DE), Ses devoirs sous
le gouvernement des Turcs mamlouks, II, 13.
POULETS. Deux recettes pour en faire
éclore de très gros, I, 184.
POUVOIR. Ce qui s’entend par ce terme
en parlant d’un oppresseur, II, 111.
— Ce qu’on entend en mathématiques par une quantité
qui peut une quantité, III, 141, note.
PRÉCEPTEUR. Voyez ENSEIGNEMENT.
PRÉDESTINATION (La). Sa définition,
III, 57, note.
PRÉDESTINÉS (Les DIX) AU PARADIS, I,
426, note.
PRÉDICTIONS. Voyez MELAHIM.
— Prédiction relative à la ville du Caire, 231.
— Les prédictions qui concernent les dynasties, 205
et suiv.
— Changement opéré par un copiste dans un livre de
prédictions, 225.
— Prédictions forgées à Baghdad, 234, 235.
PRÉFÉRABLE. Une maxime porte qu’il faut
se détourner du préférable pour prendre le préféré, I, 402, 427.
PREMIER INSTITUTEUR (Le), III, 127,
167, 231.
PRÉSENCES (Les), dans la doctrine des
soufis, III, 99, note.
— La présence des sens, 107, note.
— La présence amaïenne, 99, note, 194.
— La présence hebaïeime, ibid.
PRÉSENT (Le). Voyez ABSENT (L’).
PREUVE. Selon El-Bakillani, la nullité
de la preuve implique la nullité de ce qu’on prétend prouver, III, 59, 61.
PRIÈRE. Sur la puissance de la prière,
I, 445 et suiv.
PRINCES. Comment certains princes sont
parvenus à fonder des empires sans l’appui de leur propre peuple, I, 322.
— Comment les descendants de grandes familles tombent
dans l’indigence, II, 303, 304, 345.
PRIVATIFS. Versets du Coran ainsi nommés,
III, 53, 54.
PRIVATION (ﺐﻠﺳ). Signification de ce
terme, III, 53, 54.
PRIX. Sur le prix des denrées et des
marchandises dans les villes, II, 282 et suiv.
PRODIGES OPÉRÉS PAR DES SAINTS. Voyez
KERAMA.
— Opinion des Motazelites à ce sujet, I, 191, 192.
PRODIGES OPÉRÉS
PAR DES SOUFIS, III, 111, 184.
PROLÉGOMèNES
D’IBN KHALDOUN. Lieu où l’auteur les acheva, I, Introd. LXVII.
— Indication des manuscrits dont on
s’est servi pour reconstituer le texte des Prolégomènes, CV et suiv.
— Ils se divisent en six sections,
CX, 85.
— Édition de Boulac, CVII.
— Ils forment la première partie de
l’Histoire universelle, CX.
— Traduits partiellement en turc par
Péri Zadé, CXIII, et achevés par Djevdet Efendi, CXV.
— Extraits qu’on avait déjà publiés,
CXV et suiv.
— Ils forment une Introduction à la science de
l’histoire, 10.
— But de l’auteur, 77.
— Indication des six sections dont
les Prolégomènes se composent, 85.
— Motifs de cette classification, 85.
— Date de la composition des Prolégomènes,
III, 455, et de leur achèvement, ibid.
PROMISSEUR, terme d’astrologie, II,
219, note.
PRÔNE (KHOTBA), II, 73 et suiv.
— Parole de Yaghmoracen à ce sujet, 74.
PROPHÈTE. Comment un reconnaît les prophètes,
I, 185, 186, 188 ;
— Tout prophète doit jouir d’une haute considération
chez son peuple, 188.
— Il y a pour les prophètes trois manières de recevoir
les révélations divines, 235 et suiv.
— Un prophète doit toujours avoir un fort parti pour
le seconder, 411.
— Les connaissances surnaturelles des prophètes, II,
436.
— Comment ils prennent connaissance du monde
spirituel, 437.
PROPHÉTISME (Le). Selon quelques philosophes,
la faculté prophétique est naturelle à l’homme, I, 89, 90.
— La nature du prophétisme, 184 et suiv. 196 et suiv.
— En quoi il consiste, 208.
— Indication des perceptions qui se recueillent dans
les diverses phases du prophétisme, III, 81, 82.
PROPOSITIONS NOMINALES ; exemples,
III, 323, 324, 335.
PROSE ET VERS. Il est rare de trouver
quelqu’un qui compose également bien en prose et en vers, III, 364, 365.
PROSE LIBRE (La). Elle tient le premier
rang pour l’exacte expression de la pensée, III, 363.
PROSE RIMÉE, III, 362.
— Elle ne doit pas s’employer dans des pièces émanant
du souverain, 363.
— Elle est plus facile à écrire que la prose libre, ibid.
— Abus de ce style dans l’Orient, 364.
PROSPERITÉ (La) de divers pays, II,
287, 288.
— Celle de l’Ifrîkiya et de la Cyrénaïque sous les
Fatemides et les Zîrides, 290.
— Elle a décliné dans le Maghreb, 290.
PROVINCES DE L’EMPIRE MUSULMAN ;
leurs redevances, I, 364 et suiv.
PROVINCES
OCCIDENTALES DE L’EMPIRE HAFSIDE, II, 104, note.
PSALMODIE (La), II, 415.
PTOLÉMÉE. Il partagea la terre
habitable en climats, I, 92.
— Selon lui, la région australe du globe est habitée,
105.
— Sa doctrine relativement à l’influence des astres,
III, 241.
PUISSANCE MARITIME. Celle de la Syrie
et de l’Égypte demeura anéantie à partir du Ve siècle de l’hégire, II, 42.
— Celle des chrétiens espagnols, 45.
— Affaiblissement de celle des Mérinides, ibid.
PURETÉ DE RACE. Elle ne se trouve que
chez les peuples nomades, I, 271 et suiv.
— Indication nominative des tribus arabes chez
lesquelles elle s’est conservée, 272.
— Tribus qui l’ont perdue, ibid.
PYRAMIDES (Les). El-Mamoun entreprit de
les démolir, II, 246.
QUATRE (Le
LIVRE DES), OU TETRABIBLION, III, 241, note.
QUATRIÈME (Le), terme d’astrologie, II,
218 ; III, 179, note.
RABBANI. Diverses significations de cet
adjectif, III, 146, 174, 387, note.
RABBOU (IBN ABD), littérateur, I, 30,
note, 38 ; III, 356.
RACCA, ville, I, 143.
RACES D’HOMMES. Opinions des généalogistes
à ce sujet, I, 173.
RACHED (IBN), docteur tunisien, III,
21 ; 121.
RADOUA, montagne, I, 132.
RAFÉ IBN
KHODEIDJ, II, 270, note.
RAFECA, ville, I, 143.
RAFEDITES (Les). Origine de leur nom,
I, 403. — Voyez CHÎÏTES.
RAFÊI (ABOU ’L-CACEM ER-), docteur malekite,
III, 12, 13, note, 20.
RAHEBA,
ville, I, 144.
RAHHOU (IBN). Voyez MAÇAÏ (IBN),
RAHOUÏ (ABOU ’L-CACEM EL-), poète, I. Introd.
XXIX ; III, 247.
RAIYA, traité sur les leçons du Coran,
I, Introd. XX, note.
RAÏS, chef d’équipage à bord d’un navire
de guerre, II, 40.
RAÏS (IBN
ER-), III, 431.
RAISONNEMENT. Il ne saurait atteindre
aux êtres du monde spirituel, III, 233.
RAKÎK (IBN ER-), Littérateur, I, 7,
note.
RAM‑HORMUZ,
ville, I, 133.
RAZI.
Voyez FAKHR ED‑DÎN.
RAZI (ABOU HATEM ER-), traditionniste,
II, 164, note.
REÂÏA, traité de soufisme, III, 90.
RÉALISATION (ﺔﻏﻼﺒ) (Science de la), art
de parler avec précision, III, 325, note, 393, 394.
— Les jurisconsultes et les autres savants ne peuvent
jamais atteindre à la réalisation, 388.
REBAB, instrument de musique, II, 412.
REBAB
(AOULAD), tribu, I, 277.
REBAH
IBN ADJLA, devin, I, 225.
REBIA IBN ZÎAD, général au service des
Omeïades de l’Orient, I, Introd. X,
note.
REBIÂH IBN NASR, roi de l’Yémen, I,
224 ; II, 207.
REBIÂH‑NIZAR,
tribu, I, 25.
REBIA (OMAR IBN
ABI), poète, III, 376, note, 401.
RECA, une des portions dont se compose
la prière, I, 32, note.
RECACHI
(YEZID ER-), II, 172, note.
— Voyez REKACHI.
RECÈLEMENT, terme du soufisme, III,
101.
RÉCEPTION. Les khalifes abbacides
avaient deux salles de réception, II, 115.
RECHÎD
(ER-). Voyez HABOUN.
RECHÎD, ville, I, 130.
RECHÎK (IBN), littérateur, I, 8,
note ; II, 419, note ; III, 327, 378, 380.
RECHÎK (IBN), docteur malekite, III,
note, 19.
RÉCIT. Ce qui indique qu’un récit n’est
pas authentique, I, 76.
— Règle pour y distinguer la vérité de l’erreur, 77.
REDRESSEMENT DES GRIEFS ; charge
ainsi nommée, I, 451, 452.
REDEVANCES (Les) payées par chaque province
de l’empire musulman, I, 364 et suiv.
REDOUBLÉS (Les SEPT). Certains passages
du Coran sont ainsi nommés, III, 361.
REFA ’L‑HIDJAB, traité d’arithmétique,
III, 132, 133.
REFAA (IBN ER-), docteur chaféite, III,
13, note.
RÉFLEXION (La). Siège de cette faculté,
I, 200.
— Chapitre sur la réflexion, II, 426 et suiv.
— Sans elle l’intellect ne pourrait embrasser toute la
catégorie des choses, 428 et suiv.
— Observation sur la faculté de la réflexion, III,
279.
RÉFORMATEURS. Ce qui leur arrive, I,
328, 329.
— Sort de ceux qui ont paru dans le Maghreb, II, 203
et suiv.
REÏ (ER-), ville, I, 147.
REÏDANIYA (ER-), mosquée, I, Introd. LXXXIV.
REKACHI (BICHR ER‑), traditionniste,
II, 176, note.
— Voyez RECACHI.
REKÎK. Voyez RAKÎK.
RELIGION. Ce fut par elle que les
Arabes devinrent capables de fonder un empire, I, 313.
— La religion est la meilleure base sur laquelle on
puisse fonder un empire, 324.
— Elle double la force d’une dynastie qui commence,
325.
— Pour fonder une religion, il faut être soutenu par
un fort parti, 326.
RELIGION MUSULMANE. Prédictions relatives
à sa durée, II, 209 et suiv.
RELIGION (Verset de la), I, 206.
RENOMMÉE (La) ; comment elle
s’acquiert, II, 91.
REPRÉSENTATION,
terme de soufisme, III, 99.
RÉPUBLIQUE. A une époque, la ville de
Séville eut un gouvernement républicain, I, Introd. XIV, note.
RESSI (ER-), prince alide, I, 121,
note.
RÉSURRECTION (La). Le dogme de la résurrection
ne saurait être démontré par la simple raison, III, 239.
RETBA‑TEL-HAKÎM, traité d’alchimie, I,
217, note ; III, 172, note, 208, 227, 252.
RETOUR (La
doctrine du), II, 196, note.
RÉUNION ET
EMPÊCHEMENT, terme grammatical, III, 159, note.
RÉVÉLATION (La). Description de l’état
d’un prophète au moment où il reçoit une révélation, I, 185.
— Comment elle se présente aux prophètes, 185, 186,
203.
— Ce que Mohammed en a dit, 185.
— Elle est instantanée, 202, 203.
— Souffrances qu’elle fait éprouver aux prophètes,
204, 205.
— Elle se communique aux prophètes de plusieurs
manières, 203, 204.
REVENU. Celui de l’empire musulman, I,
364.
— Ce qui fait augmenter ou diminuer le revenu d’un
empire, II, 91 et suiv.
RHASES.
Voyez FAKHR ED-DÎN ER-RAZI.
RHÉTORIQUE (La). Voyez EXPOSITION et
RÉALISATION.
RÎADA (exercices spirituels), I,
217, note.
RIAH (Les), tribu arabe de la
Mauritanie, I, Introd. LV, LVII.
RIBAT, vulg. RABAT ou ROBOT (poste
militaire), I, 125, note ; II, 201, note.
RIFAT EL-FATH, ville marocaine, II,
243.
RIBAT MASSA, I, 125 ; II, 201.
RÎÇALA,
ouvrage sur le soufisme, I, 465, 456, note ; III, 90.
RICHES (Les). Dans les grandes villes,
ils ont besoin de protecteurs, II, 293.
RICHESSE.
— La richesse d’un peuple ajoute d’abord à la force du
gouvernement, I, 355 et suiv.
— Amasser des richesses est réprouvé par la loi, 417.
— En quoi elles consistent, II, 321, 322.
RIDA (ALI IBN MOUÇA ER-), le cherîf, I,
429
— Le titre d’Er-Rida lui fut donné par El-Mamoun, ibid.
RIDA (MOHAMMED ER-), le cherîf, I, 44,
note ; III, 376, note, 385.
RIDOUA, montagne, I, 404, 405.
RIDOUAN (IBN), docteur malekite, I,
XXVI ; III, 388.
RISLANDA, pays ; II, 165 :
ROCHD (IBN), grand‑père d’Averroès,
III, 17, note.
— Voyez aussi AVERROÈS.
ROGER (Le LIVRE DE) ; c’est la
géographie d’El-Idrîci, I, 105.
— La flotte du roi Roger s’empare de Tripoli et
d’autres villes de l’Afrique, II, 42.
ROHA, ville, I, 143.
ROIS. Déterminer par un calcul cabalistique
lequel de deux rois vaincra l’autre, I, 241.
— Voyez ROYAUTÉ et EMPIRE.
ROKN, endroit dans le temple de la
Mecque, II, 168.
ROMAHÈS (IBN), commandant de la flotte
maure espagnole, II, 40.
ROME,
I, 152.
ROSEAUX.
Manière d’en produire, III, 256.
ROSETTE, ville, I, 130.
ROSTEM. Parole de ce général en voyant
les troupes arabes faire la prière, I, 315.
— Comment il mourut, II, 80.
ROUAHA (Les),
tribu, I, 129.
ROUCIYA (ER-), pays, I, 160.
ROUDAN (ER-), ville, I, 134.
ROUH IBN ZINBÂA (ABOU ZERÂA), II, 69.
ROUM (Les), c’est‑à‑dire les Grecs.
— La culture des sciences chez ce peuple, III, 125.
ROUM (Les) QUI PARLAIENT LATIN. Ils traduisirent
dans leur langue le Pentateuque et les livres des prophètes israélites, III,
268.
ROUM (Le pays de), I, 142, 143.
ROUMA, I, 152.
ROYAUTÉ (La). Sa nature et ses espèces,
I, 380 et suiv.
— Le législateur inspiré ne l’a pas approuvée, mais il
l’a tolérée sous certaines conditions, 413.
— Les Compagnons la repoussèrent, 414.
— Insignes et emblèmes de la royauté, II, 48 et suiv.
— La royauté s’établit avant la cité, 238 et suiv.
RUBIS (La presqu’île des), I, 137.
RUINE. Les
Arabes ruinent les pays dont ils font la conquête, I, 310, 311, 312, 314.
— Indication des pays qu’ils ont
ruinés, 312.
RUSSIE (La), I, 160, 165, 166.
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