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I N D E X G É N É R A L 2 des P R O L É G O M È N E S d’ I B N K H A L D O U N

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S T U V W X Y Z
S

SAAD IBN ABADA, un des Ansars, I, 394.
SAAD IBN ABD EL-HAMÎD, traditionniste, II, 182.
SAAD IBN ABI OUEKKAS, général du kha­life Omar, I, 265.
— Il fait faire le dé­nombrement du peuple qui habitait au-­delà d’El-Medaïn, 308.
— Ses richesses et les édifices qu’il fit construire, 417, note.
SAAD (BENI), tribu maghrébine ; elle pré­tend descendre d’Abou Bekr, I, 279.
SAATI (IBN ES-), docteur hanefite, III, 35, note.
SABA, pays, I, 123.
SABA IBN YACHDJOB, Himyerite, II, 245.
SABBAH (EL-HACEN IBN ES-), Ismaélien, I, 410.
SABBAH (EL MOTHENNA IBN ES-), traditionniste, II, 188, note.
SABI (HILAL ES-), épistolographe, III, 386, note.
SABI (IBRAHÎM IBN HILAL ES-), secrétaire des souverains bouïdes, III, 399.
SABÎAÏ (ES-), traditionniste, II, 166, note, 167.
SABLE (La rivière de), I, 20, 22.
SABOUNI (IBN ES-), poète espagnol, III, 432.
SABOUR, ville, I, 133.
SACA (L’arrière-garde d’une armée), II, 52.
— Son utilité, 69, 78
— Elle est employée comme point de ralliement, 80.
SACHANTS (devins), I, 196, note, 218.
— Comment ils essayaient d’obtenir des perceptions du monde spirituel, 223.
— Il y en avait chez les anciens Arabes, 224, 225 ; II, 207.
— Le Sachant de l’Yémama, I, 225.
— Le Sachant du Nedjd, ibid.
SÂDA, ville, I, 120, 121, note.
SADGHÎAN (BENI), II, 43.
SADI (EL-HACEN ES-), traditionniste, II, 175.
SAED (ﺪﻋﺎﺻ), le cadi, III, 173, note.
SAFFAR (IBN ES-), natif de Maroc et pro­fesseur des leçons coraniques. I, Introd. XXXIV.
SAFI, porte de mer, I, Introd. LXIV, note.
SAFÎHA, montagne, I, Introd. XXXVI.
SAHÂH (Le), dictionnaire arabe, III, 317.
SAHEB EL-ACHGHAL, ministre des finances, II, 14, 15, 23.
SAHEB ES-CHORTA, commandant de la police armée, II, 35.
— Ses attributions, ibid. 36.
— Sa juridiction sous les Al­mohades hafsides, ibid.
— Ses attributions sous les Turcs mamlouks, 37.
SAHEB EL-INCHÂ, rédacteur en chef de la correspondance officielle, II, 29.
SAHER EL-MEDÎNA, litre donné en Espagne au Saheb es‑Chorta, II, 35.
SAHEB ET-TIRAZ, docteur malekite, III, 19.
SAHELI (IBRAHÎM ES-), voyageur et littérateur, I, Introd. LXXXII, note ; III. 357, note.
SAHÎH (authentique), I, 18, note.
           — Il y a six recueils de traditions qui portent ce titre, II, 159, note.
           — Les deux Sahîhs, 160.
           — Caractère du Sahîh d’El-Bokhari, 470, 473, 474, 479.
           —  Caractère de celui de Moslem, 470, 475, 476.
           — On doit accepter avec confiance tout ce qui est contenu dans les deux Sahîhs, 479.
SAÏB KHATHER, musicien, II, 420, note.
SAÎD. Voyez MERYEM (IBN ABI).
SAÎD IBN EL-MOSEÏYEB, légiste, II, 21, note.
SAÎD (ABOU). Voyez KHODRI (EL-).
SAÎD (ALI IBN), historien espagnol et géographe, I, Introd. X, note, 117 ; II, 23, note ; III, 428, note, 429, 436, 440.
SAÎD (BENI), famille espagnole, II, 23, note.
SAÎD (ES-), sultan mérinide, I, Introd. XXXVII, LXII, LXIII.
SAÎD (HATEM IBN), poète, III, 428, note.
SAÎD (Le), pays, I, 123.
SAÎDA, ville, I, 131.
SAÏGH (IBN ES-), Avenpacé, philosophe espagnol, III, 127, note.
           — Il se dis­tingua aussi comme poète, 426, 427.
SAÏMERA, ville, I, 145.
SAÏMERI (ES-), docteur chaféite, I, 44, note.
SAINTE‑MARIE DES ALGARVES, I, 139.
SAÏYAD (IBN), devin, I, 208, 211.
SAKHRA (La) de la mosquée d’Omar à Jé­ rusalem, II, 263, note, 267.
           — Les Francs érigèrent une église sur la Sa­khra, 268.
           — Cette église fut abattue par Saladin, qui reconstruisit la mos­quée en sa forme actuelle, ibid.
           — On dit que les Sabéens avaient érigé sur cette roche un temple qu’ils dédièrent à Venus, 269.
SALADÎN (Salâh ed-Dîn).
           — Il fit demander au gouvernement almohade le secours d’une flotte, II, 44.
           — Il supprima les impôts extraordinaires, 95.
           — Ses con­quêtes, 268.
           — Il reconstruisit la mosquée de Jérusalem, ibid.
SALÂH (IBN ES-), traditionniste, I, Introd. XXIII ; II, 468, note.
SALAMANQUE, I, 150.
SALÉ, I, 126.
SALEH (ABOU KHALÎL), traditionniste, II, 168.
SALEH (BENI), dynastie africaine qui ré­gnait à Ghana, I, 115.
SALEH IBN ABD ER-RAHMAN, secrétaire d’El-Haddjadj, II, 22.
SALEH (MOUÇA IBN), devin berber, II, 207.
SALEM, affranchi d’Abou Hodeïfa, I, 395, 396.
SALEM (ABOU), sultan mérinide, I, Introd. XXXVI et suiv.
SALEMI (ES-), auteur d’un traité d’onéiro­critique, III, 121, note.
SALOMON. Sa généalogie, I, 16.
— Nombre d’hommes dont se composait sa garde, 17.
— Son exemple et celui de David montrent que la royauté n’est pas dé­fendue par la loi divine, 413, 419. ­
— Son temple, II, 264, 265.
SALT (IBN ES-), mathématicien, III, 141, note, 147.
SAMARCAND, I, 148.
SAMOSATE, I, 143.
SANÂA, ville, I, 121.
SANDJAC (drapeau), II, 52.
SANHADJA (Les). On a dit qu’ils descendent des Himyerites, I, 20.
— Durée de l’empire sanhadjien, 336.
— Titres por­tés par les émirs sanhadjiens, 465, 466.
SANTAREM, ville, I, 139.
SANTIAGO, I, 150.
SAOUDA. Anecdote de cette femme, III, 75, note.
SARACOSTA, ville, I, 140.
SARAGOSSE, I, 140.
SARDAIGNE (La), I, 138, 141.
SARDANIYA, île, I, 138, 141.
SARÏA IBN ZONEÎM, I, 228.
SATALIE, ville, 143.
SATÎH, devin, I, 224 ; II, 207.
SAUTERELLES. Elles obéissent à un roi, I, 89.
SAUVAGES. Les tribus à demi sauvages sont plus capables que les autres d’effectuer des conquêtes, I, 290 et suiv.
— Ils font des conquêtes très étendues, 303.
SAVANTS. Liste des savants qui accompagnèrent le sultan mérinide Abou ’l-Ha­cen en Ifrîkiya, I, Introd. XXX, note.
— De tous les hommes, les savants sont les moins capables d’administrer un pays, III, 294 et suiv.
— La plu­part des savants chez les musulmans ont été de naissance étrangère, 296 et suiv.
SAXE (La), I, 160.
SCEAU (Le) du caillou, III, 179.
— Ce­lui du lion, 179.
— Celui des prophètes, II, 193, 194.
— Celui des saints, 193, 194.
SCEAU IMPÉRIAL, II, 61 et suiv.
— Le mot sceau désigne aussi le vizirat, 64.
— Le sceau de Mohammed, 61.
SCIENCE. Les trois conditions que toute science doit remplir, I, 77, note. ­
— Chapitre sur la science, II, 448.
— Les sciences cultivées dans les pays musul­mans à l’époque où Ibn Khaldoun écri­vait, 450 et suiv.
— Elles forment deux classes : les sciences qui dérivent de la réflexion (ou raison), et celles qui dé­rivent de la tradition (ou foi), ibid.
— Les sciences traditionnelles sont très ­nombreuses, 451, et très encouragées chez les musulmans, 453.
— Les sciences coraniques, 454 et suiv.
— ­Celles qui se rapportent aux traditions, 463 et suiv.
— Les diverses classes des sciences intellectuelles ou philoso­phiques, III, 121.
— Il y en a sept, 123.
— Elles furent cultivées en Perse et en Grèce, 123, et chez les Chal­déens et Assyriens, 124 ; ainsi que chez les Coptes, ibid.
— Elle florissent dans l’Irac, dans la Transoxiane et dans le pays des Francs, 128, 129.
— Il faut beaucoup de temps pour apprendre même une seule science, 272, 273.
— Il y en a qu’on étudie pour elles-­mêmes, et d’autres qui servent uni­quement à l’acquisition de celles‑là, 283.
— Celles de la première classe méritent d’être développées longue­ment, ibid. ; mais celles de la seconde classe ne doivent pas être étudiées dans toutes leurs ramifications, 284.
— L’étude des sciences religieuses rend nécessaire l’acquisition d’autres con­naissances, 298.
— Sciences à facultés, 299, note.
— La culture des sciences fut méprisée par les premiers musulmans, 300.
— Les professeurs des sciences religieuses furent maltraités par les gouvernements qui remplacèrent le khalifat, 301.
— La première appari­tion des sciences philosophiques chez les musulmans, ibid.
— Indication des pays où la culture des sciences et des arts est encore prospère, 302.
— Les sciences qui se rapportent à la langue arabe, 307 et suiv.
SCIENCE DIVINE (La). Voyez MÉTAPHY­SIQUE.
SCIENCE NOUVELLE (La), ou la PHILOSO­PHIE DE L’HISTOIRE ET DE LA CIVILISA­TION.
— C’est celle dont on voit l’ap­plication dans les Prolégomèdes d’Ibn‑Khaldoun, I, 71.
— Elle n’est utile que pour les études historiques, 79.
— Problèmes et arguments qui lui sont communs avec d’autres sciences, ibid.
— L’auteur fut conduit à la connaissance de cette science par une inspira­tion divine, 83.
SCIENCE PREMIÈRE (La), I, 282, note.
SCIENCES (Les SEPT), III, 123.
SCOLASTIQUE (La THÉOLOGIE). Ses prin­cipes et l’histoire de son progrès chez les musulmans, III, 40 et suiv.
           — Ap­plication de la logique à la scolastique, 60.
           — On a confondu la scolas­tique avec la philosophie, 61, 62.
           — Cette science n’est plus nécessaire, 43.
           — Principes de la scolastique musul­mane, 157
           — La différence entre elle et la philosophie, 169, 170.
SCOLASTIQUES (Les). Ils préféraient ré­soudre des questions au moyen de preuves fournies par la raison, III, 32.
           — Ils mêlaient les problèmes de la théologie avec ceux de la philosophie, 161.
SCOUCIYA, pays, I, 165, note.
SEADA, réformateur des mœurs, qui parut dans le Maghreb, II, 205.
SEBA (AOULAD), tribu maghrébine, I, IntrodLVII.
SEBAÏN (IBN), philosophe mystique, II, 192, note ; III, 103.
SEBOKTEGUÎN (ou mieux SOBOCTIKÎN), II, 132, 136.
SECRÉTAIRE D’ÉTAT. Le secrétariat n’exis­ tait pas chez les premiers musulmans, II, 6, 7.
           — Le secrétaire d’État chez les Hafsides, 15.
           — Cet emploi fut très­ honorable chez les Abbacides, 26.
           — Qualités requises dans un secrétaire, 28.
           — Épître d’Abd el‑Hamîd à ce su­jet, 29 et suiv.
SECTES ORTHODOXES (Les QUATRE). Voyez ÉCOLES DE JURISPRUDENCE.
SECTEUR. Signification de ce terme astro­logique, II, 221, note.
SECTION, terme astrologique, II, 221, note.
SECTIONS CONIQUES, III, 142.
SEDJÂ (prose cadencée), I, 208.
— Signifi­cation de ce terme, III, 360, 361, note.
SÉEZ, ville, I, 159.
SEFA (ES-), lieu, III, 410, note.
SEFFAH (ES-) ; les noms de ce khalife, I, 407.
SEGOURA, ville, I, 140.
SÉGOVIE, I, 150.
SEGURA, I, 140.
SEHEL. Voyez SEHL.
SEHL IBN ABDALLAH, I, 250.
SEHL IBN HAROUN, bibliothécaire du kha­life El-Mamoun, III, 386, note.
SEHL IBN MALEK, littérateur espagnol, III ; 428, note, 431, 440.
SEHL IBN NOUBAKHT, vizir abbacide, I, 65, note ; II, 22.
SEHL IBN SELAMA, I, 329.
SEHL (ABOU BEKR IBN), III, 386, note.
SEHL (BENI), famille vizirienne, I, 65, note ; II, 101, note.
SEHL (IBN), poète de Séville, III, 433.
SEHL (IBN). Voyez HACEN.
SEÏD EN‑NAS (IBN), ministre hafside, I, Introd. XV, XVII, XVIII.
SEÏF ED‑DÎN. Voyez AMEDI.
SEÏF ED-DOULA, III, 231, note.
SEÏF IBN OMAR EL-ACEDI, historien, I, 5, note.
SEÏS, ville, I, 159.
SEIYID (ES-) EL-HIMYERI, I, 406, note. — Voyez SEÏD.
SEKCÎOUA (Les), tribu berbère, I, 126.
SEKCÎOUÏ (OMAR ES-), chef de tribu, I, 331 ; II, 202.
SEKÎFA ou SKÎFA (Journée de la), I, 394, note.
SEKKAKI (ES-), grammairien, III, 270, 326, note.
SELAM (ABD ALLAH IBN), juif converti et un des Compagnons, II, 461, note.
SELAMA, interprète au service du khalife abbacide El-Ouathec, I, 164.
SELAMA (IBN), interprète du Coran, II, 464 ; note.
SELAR, émir mamlouk. Ses trésors, I, 367.
SELEMIYA, ville, I, 142.
SELEUCIE, I, 142, 143.
SELIT, personnage contemporain du kha­life Omar, II, 87.
SELMA IBN EL-ABRECH, traditionniste, II, 187, note.
SELMA IBN EL-AKOUÂ. Son aventure avec El-Haddjadj, I, 260, 261, 263.
SELOUKIYA, I, 142, 143.
SEMH (IBN ES-), médecin et mathémati­cien, III, 138, note, 147, 174, note, 210.
SEMMAK (IBN ES-), prédicateur, I, 31, note.
SEMMAKI (ES-), grammairien, III, 326.
SEMMOURA, ville, I, 150.
SENA ’L‑MOLK (IBN), poète, III, 435, note.
SENAD, espèce d’accord musical, II, 419.
SEND SAHEB ET-TIRAZ, légiste, III, 19.
SENS. Comment le voile des sens est écarté pendant le sommeil, I, 214 et suiv.
           — Voyez DÉGAGEMENT.
SENS COMMUN (Le), I, 199, note.
SENSATION (La). Son siège dans le cerveau, I, 199.
SENTERIYA, oasis, I, 122, note.
SÉPARATION, terme de théologie scolastique, III, 94 et suiv.
SEPTIÈME (Le), terme d’astrologie, III, 179, note.
SERAKHCHI (ES-), auteur d’un traité de musique, II, 418, note.
SERAKHS, ville, I, 134.
SERAYA (ABOU), chef alide, I, 121, note, et III, 467 ; II, 263, note.
SEBENDÎB, île, I, 120.
SERHOUN, secrétaire du khalife omeïade Abd el‑Melek, II, 22.
SÉRIE DES ÊTRES (La), II, 436.
SÉRIES. La sommation des séries, III, 130, 315.
SERÎR, royaume, I, 156, note.
SERÎR (le trône), II, 53.
SEROUDJ, ville, I, 143, 144.
SERVIE (La), I, 160.
SERVILITÉ (La) est un moyen de parve­nir, II, 338 et suiv.
SERVITUDE. Un peuple qui a vécu dans la servitude est incapable de fonder un empire, I, 295, et dépérit rapidement, 307, 308.
SÉVÉRITÉ. Trop de sévérité dans un sou­verain nuit ordinairement à l’empire, I, 382 et suiv. — Trop de sévérité dans l’enseignement nuit au progrès de l’élève, III, 290 et suiv.
SÉVILLE, I, 139.
           — Prise de cette ville par les chrétiens, II, 23, note.
SÎAÇA. Ce qu’on entend par le terme sîaça civique, II, 141.
— La sîaça qui est fondée sur la raison, 142.
SIADJ. Signification de ce terme, II, 68, 70.
SÎAH‑KOUH, montagne, I, 157, note.
SIBAOUAIH, grammairien, III, 272, note, 273, 299, note, 311, 347.
SIBT. Signification de ce mot, I, 403, note, 405.
SIBTA, ville, I, 138.
SIBTI (ABOU ’L-ABBAS ES-), soufi et devin maghrébin, I, 245 et suiv. III, 199 et suiv.
SIBTI (ABOU ’L-CACEDI ES-), cheïkh et cherif, III, 399, note.
SICCA, le contrôle et la fabrication des monnaies, I, 460 et suiv. ; II, 54, 55.
SICILE (La), I, 138, 141.
           — Première invasion de cette île par les musulmans, II, 40.
           — Sa conquête par les chré­tiens, 41.
SIDDÎK (ABOU ’s‑) en‑NADJI, traditionniste, II, 171, 173, 175.
SIDDÎKIN. Signification de ce terme, I, 229, note.
SIDJILLAT. Signification de ce terme, II, 406, note.
SIDJILMESSA, ville, I, 126.
SIDJISTAN, pays, I, 124, 134.
SIDON, ville, I, 131, 132.
SÎER, titre d’ouvrage, I, Introd. XXIII.
SIERRA, chaine de montagnes, I, 139.
SÎFAWAIH, I, 25, note.
SIFFÎN, ville, I, 144.
SIFFÎN (Bataille de), II, 84.
SIGLES. On les emploie dans les bureaux du gouvernement, II, 405.
SIGNES DU ZODIAQUE (Les), I, 100 et suiv.
SIGNIFICATEUR, terme d’astrologie, II, 219, note.
SIGNIFICATION DES MOTS. Voyez DÉDUCTION ANALOGIQUE.
SIHAN (Le), fleuve, I, 143, 154.
SIKILIYA, île, I, 141.
SIKKA. Voyez SICCA.
SIKKÎT (IBN ES-), philologue et grammai­rien, III, 320, note.
SILA, îles, I, 120, note.
SILCELA, montagne, I, 142.
SILENCE DU PROPHÈTE en jurisprudence. III, 7.
SILLA, ville, I, 114, note.
SILO, endroit dans la Terre Sainte, II, 264.
SILVES, ville, I, 139.
SÎMÎA (La), III, 188, note.
— Elle est une branche de la magie, 196.
— On désigne quelquefois la magie par ce nom, 198, 199.
SIMT, terme de prosodie, III, 423, note.
SÎNA (IBN). Voyez AVICENNE.
SINAN (IBN). Voyez BETTANI (EL-).
SIND (Le), pays, I, 124.
SINOBOLI, ville, I, 161.
SINOPE, I, 161.
SIRACOUSA, ville, I, 141.
SIRADJ EL‑MOLOUK. Caractère de ce livre, I, 82.
SÎRAF, ville, I, 133.
SÎRAFI (ABOU BEKR ES-). Son poème sur l’art de la guerre, II, 85, 86.
SIRDJAN (ES-), ville, I, 134.
SÎRÎN (MOHAMMED IBN), traditionniste. III, 121, note.
SIRR (ES-) EL-MEKTOUM, traité sur les amulettes, III, 181.
SISSAH IBN DAHER, roi indien, II. 3.
SITTI (ES-), docteur malekite, I, Introd. XXIII ; III, 140.
SKANDEROUN, ville, I, 142.
SKÎFA (vestibule), III, 418, note — Voyez SEKÎFA.
SLA, ville, I, 126.
SBEÏTLA ou SBAITLA, ville, I, 126.
SOBKI (TEKI ED-DÎN ES-), docteur chaféite, III, 13, note.
SOC DE CHARRUE. Ce que Mohammed en a dit, I, 297, note ; II, 347.
SOCIABILITÉ (La). Ce qu’elle est, I, 84.
SOCIÉTÉ HUMAINE (La). Phénomènes qu’elle présente, I, 71 et suiv.
SOCRATE, III, 125.
SODA (ABOU), émir zenatien, III, 411, note.
SOFALA, pays, I, 119.
SOFFA (Gens de la), III, 86.
SOFYAN IBN OÏAÏNA, traditionniste et ju­risconsulte, I, 31, note.
SOFYAN ETH-THAURI, traditionniste et soufi, II, 163, note.
— Son caractère comme traditionniste, 184.
SOFYAN (ABOU). Sa conversation avec Hé­raclius, I, 187, 188 ; III, 49.
SOGHD (Le), pays, I, 136, 148.
SOHEÏLI (ES-), docteur, II, 160, note, 162, note.
— Moyen qu’il employa pour déterminer la durée de la religion musulmane, 210 et suiv.
SOHNOUN ou SEHNOUN, docteur malekite, III, 16, note.
SOHREWERDI (OMAR ES-), Soufi, III, 90.
SOLEIL (Le) n’est ni chaud ni froid, I, 361.
SOLEIM (BENI). Cette tribu arabe de la Mauritanie a toujours conservé son esprit de corps, I, 291.
SOLEÏMAN IBN KETHÎR, partisan des Ah­bacides, I, 407.
SOLEÏMAN IBN NEDJAH, lecteur, II, 458.
SOLEÏMAN IBN OBEÏD, traditionniste, II, 173, 174.
SOLEÏMAN IBN SAAD, gouverneur de la province du Jourdain sous le khalife omeïade Abd el‑Mefek, II, 21.
SOLEÏMANI (ES-), traditionniste, II, 167, note.
SOLTAN IBN MODAFFER, chef des Doua­ouida, tribu arabe de la Mauritanie, III, 413.
SOMADIH (IBN), prince espagnol, III, 424, note.
SOMAÏSAT, ville, I, 143,
SOMMEIL. L’homme, au moment de s’en­dormir, laisse quelquefois échapper des paroles qui expriment des notions pro­venant du monde invisible, I, 225.
SONGES (L’interprétation des), III, 114.
SONGES ou VISIONS. En quoi ils consistent, I, 211.
— Le genre de songes qui est particulier aux prophètes, 212.
— Ce que Mohammed a dit des songes, 213.
— Il y en a trois espèces, 216.
— L’inter­prétation des songes, III, 114 et suiv. ­Théorie des songes, 115. Ils forment une partie du prophétisme, ibid
— Ils font obtenir des perceptions du monde invisible, 115.
 — Il y a deux classes de songes, 117.
— Marques qui font re­connaître les songes vrais, ibid.
SONGES CONFUS, I, 215, 216 ; III, 117, 118.
SONNA (La). Les gens de la Sonna, I, 436, note.
— Tentatives faites dans le Ma­ghreb pour assurer l’exécution des pres­criptions imposées par la Sonna, II, 203, 204.
— Écoles sonnites, III, 6 et suiv.
— Importance de la Sonna, 26.
— Le style des doctrines qui composent la Sonna est inimitable, 391.
— Voyez TRADITIONS.
SONNA (Gens de la), III, 7.
SONS ARTICULÉS. Manière dont l’auteur dépeint certains sons ou consonnes qui n’existent pas en arabe, I, 68 et suiv.
SOREÏDJ (AHMED IBN), docteur chaféite, III, 321, note.
SOREÏDJ (OBEÏD IBN), musicien, II, 420, note.
SORT, ville, I, 129.
SOUAKEN, île, I, 119.
SOUÇA, ville, I, 128.
SOUDAN. Signification de, ce nom, I, 171, 173.
SOUDI (ES-), auteur d’un traité sur le partage des successions, III, 140.
SOUEÏCA IBN METKOUD, ville, I, 128.
SOUFIS. Leurs exercices, I, 226 et suiv. 
— Les soufis qui essayent de laisser vaguer leur âme dans le monde invi­sible commettent un acte répréhensible, 227.
— Leurs opinions et doc­trines au sujet du Mehdi ou Fate­mide attendu, II, 190, 192.
— Déri­vation du mot soufi, III, 86.
— Les soufis ont une terminologie particulière, 89.
— Quelques‑uns d’entre eux adop­tèrent des opinions propres aux Chîïtes, 104, 105.
— Prodiges opérés par des soufis, 184
— Quelques soufis recher­chent les perceptions fournies par le monde invisible, 235.
SOUFISME (Chapitre sur le), III, 85 et suiv.
SOUÎS, ville, I, 123, 130.
SOUI, ville de l’Égypte, I, 123.
SOUL, ville du Caucase, I, 156.
SOUR, ville, I, 131.
SOURATE. La dernière qui fut révélée à Mohammed, I, 206.
SOURATES PRÉSERVATRICES (Les), III, 176.
SOURD (NOMBRE), III, 132.
SOUS (ES-), ville de la province de Fars, I, 133.
SOUS (Le), province marocaine, I, 125 ; II, 290.
SOUVERAINETÉ (La). Son origine, I, 89.
— Quand elle échappe à une famille, elle passe ordinairement à une autre famille de la même race, 304 et suiv.
— Cette institution n’est pas défen­due par la loi divine, 390.
— Voyez ROYAUTÉ.
SOUVERAINS. Les souverains sont naturel­lement portés à s’emparer de toute l’autorité, I, 340 et suiv.
— Progrès de leur domination, 357 et suiv.
— Quand ils s’engagent dans une lutte avec leur propre tribu (ou peuple), ils se font appuyer par leurs clients et leurs affranchis, 372, 373.
— Ce qui arrive quand un souverain est tenu en tutelle, 377
— Les devoirs d’un sou­verain, 383.
SPÉCULATION ET INVESTIGATION, III, 37.
SPHÈRE (Divisions de la), I, 99 et suiv.
SPHÈRES (Les). Selon les philosophes, chaque sphère a une âme et une intel­ligence, III, 230.
SPHÈRES ARMILLAIRES, III, 146.
STATION, terme de soufisme, III, 87,
STATION DE LA CONNAISSANCE, III, 46.
STATION DE LA PROFESSION DE L’UNITÉ, III, 87.
STATION DE LA REALITÉ, III, 46.
STATION DE LA SÉPARATION, III, 103.
STATION DE L’UNION, III, 103.
STYLE. Comment on acquiert un beau style, III, 329, 343 et suiv.
— Le style naturel et le style orné, 392 et suiv.
STYLE ÉPISTOLAIRE. Comment il se gâta, III, 399, 400.
STYLE NATUREL. Ce que les rhétoriciens entendent par ce terme, III, 395.
STYLE ORNÉ. En quoi il consiste, III, 395.
— Exemples offerts par le Coran, 396.
— Il s’en trouvait déjà quelques exem­ples dans les poèmes de Zoheïr, ibid.
— Noms des écrivains qui l’ont succes­sivement cultivé, ibid.
— En quels cas il peut s’employer, 398, 399.
— Les rhétoriciens qui ont du goût le trouvent ridicule, 398.
SUBSTANCE (La). Elle se compose de ma­tière et de forme, II, 107, note.
SUBSTANCE SIMPLE (LA). Voyez ATOMES.
SUCCESSION (Droit de) DANS L’IMAMAT, I, 426.
SUCCESSIONS (Le partage des), III, 21 et suiv., 138 et suiv.
SUEZ, I, 123, 130.
SUITE (La) DES DYNASTIES MUSULMANES, I, 305.
SUJETS QU’ON PEUT TRAITER DANS UN OU­VRAGE, III, 264 et suiv.
SULTAN. Signification de ce titre, I, 382.
— On le donnait quelquefois aux kha­lifes, 387.
— Les devoirs d’un sultan, II, 2, 3.
— Il fera bien de se faire as­sister par un de ses parents ou par un des clients de sa famille, 2.
— Ce titre fut donné à Djafer Ibn Yahya le Barmekide, parce qu’il avait l’entière admi­nistration de l’empire, 9.
— Les princes qui avaient enlevé aux khalifes le pou­voir temporel prirent le titre de sultan, 10.
— Progrès et déclin de l’autorité d’un sultan, 99, 100.
— Ce titre fut porté par les souverains de l’Orient et de l’Occident, III, 465.
SULTANAT (autorité temporelle, royauté). II, 1.
— Les charges et titres qui ap­partiennent au sultanat, 2, 3.
— Les charges qui dépendent du sultanat ren­trent, chez les musulmans, dans la classe de celles qui se rattachent au khalifat, 3.
SURNOMS ET TITRES. Leur origine, I, 465.
SYLLOGISME (Le), III, 152.
— Son utilité, 239.
SYNONYMES. Nécessité de connaître les nuances qui les distinguent, III, 319.
SYBAGUSE, I, 141.
SYRIE (La), I, 130, 142, 113.
— État de ce pays lors de la conquête musulmane, 337.
— Son état lors de sa conquête par les Israélites, ibid.

T

TABATABA (MOHAMMED IBN), Alide, I, 121, note ; II, 263, note.
TABERANI (ET-), traditionniste, II, 159, note, 175, 178.
TABERI, espèce de dirhem, II, 57.
— Son poids, 59.
TABERI (ET-), historien et commentateur du Coran, I, 5, note ; II, 459.
TABERISTAN, pays, I, 147.
TABERISTAN (La mer de), I, 97, 147, 155, 156, 162.
TABERIYA, ville, I, 132.
TABERNACLE (Le) fabriqué par Moïse, II, 263.
— Son histoire, 264.
TABEST, pays, I, 165. i.
TABÎS (Les), I, 15, note.
TIBIYA (ordre de bataille chez les anciens musulmans), II, 78, 79.
TABLES ASTRONOMIQUES, III, 123, 148.
— Leur usage, 149.
TAC, ville, I, 134.
TACHEFÎN, sultan mérinide, I, Introd. XLI, note.
TACHEFÎN IBN ALI, sultan almoravide, II, 85, note.
TACHEFÎN (ABOU), prince abd el‑ouadite ; ses trésors, I, 368.
TACHEFÎN (YOUÇOF IBN). A quelle occasion il obtint le titre d’émîr el‑Moslemîn, I, 466, 467.
TACOUÎM, en astronomie, rectification, III, 148.
TÂDÎL. Voyez JUSTIFICATION.
— En astro­nomie, ce terme signifie équation, III, 148.
TADJ ED-DÎN EL-ORMÉOUÏ, III, 33.
TADJA, fleuve, I, 139.
TADJOUA (Les), peuple, I, 116, 122, 123.
TADMOR, ville de la Syrie, I, 132.
TAFRAGUÎN (IBN), ministre hafside, I, Introd. XXVIII, XXIX ; III, 417, note.
TAGE (Le), I, 139.
TAGHAZGHAZ (Les), I, 136, 137, 172, note.
TAGHBÎR. Signification de ce terme, II, 419.
TAGUEMMOUNT, lieu, I, Introd. LIX, note.
TAHADDI, annonce préalable d’un mi racle, I, 190, 193, 228 ; III, 111, 186.
TAHAOUÏ (ET-), docteur chaféite, II, 479, note.
TAHER IBN EL-HOCEÏN, général abbacide, I, 329 ; II, 101, note.
           — Lettre adres­sée par lui à son fils, 142.
TAHER (BENI), famille puissante sous les premiers Abbacides, II, 101, note.
TAHERIYA, contrée, 148, note.
TAHMÎD. Signification de ce mot, II, 57, note.
TAHYATEN IBN OMAR, chef mérinide, I, IntrodXXXIII.
TAÏF, ville, II, 393, note.
TAILLEUR (L’art du), II, 379 et suiv.
TAKHT (le trône), II, 53.
TALABEÏRA, ville, I, 139.
TALAMENKI (ABOU OMAR ET-), tradition­ niste, II, 395, 396.
TALAVERA, ville, I, 139.
TALEB. Signification de ce mot, II, 329, note.
TALEB (ABOU), de Cairouan, auteur d’un ouvrage sur l’interprétation des songes, III, 121.
TALECAN, ville, I, 134.
TALHA IBN OBEÏD ALLAH, compagnon de Mohammed ; ses richesses, I, 416, 417, note.
TÂLICAT, titre d’un traité sur la jurispru­dence, III, 37.
TALISMANS. La fabrication de talismans est condamnée par les lois de divers peuples, III, 171.
           — Chapitre sur les talismans, ibid.
           — L’art talismanique, 175
           — Sur l’influence des talismans et leur confection, 191 et suiv., 194.
TALKHÎS, titre d’un livre de jurisprudence, III, 37.
TALOUT (SAUL). Anecdote racontée le lui dans le Coran, II, 180, note.
TAMBOURS. Leur utilité, II, 48, 50.
— Leur nombre chez les Almohades et chez les Mérinides, 52.
TAMERLAN, I, IntrodLXXXIV et suiv.
TANBOUR (pandore), instrument de mu­sique, II, 420.
TANGER, ville, I, 127, 137, 138.
TAOUALÊ EN‑ANOUAR, traité de théologie scolastique, III, 62.
TAOUGHZOUT, château, I, Introd. IV, LXVII, note.
TAOUHÎD ou TAUHÎD, terme de soufisme, III, 87, note, 96, note.
— Signification de ce terme chez les Motazelites, III, 70.
TAOUKÎA (ﻊﻴﻘﻮﺘ). Explication de ce terme, I, Introd. XXXIV, note, XXXV ; II, 2 7.
— Celles de Djafer le Barmekide étaient très recherchées à cause de l’élégance de leur style, 27.
TARABLOS, ville, I, 131.
TARABNA, ville, I, 141.
TARAFA, poète, III, 391, note.
TARAGOUNA, ville, I, 140.
TARAZ, ville, I, 149.
TARCHÎCH, un des noms de Tunis, III, 418, note.
TARÎF, ville, I, 139.
TARIFA, I, 138, 139.
— Prise de cette ville par les chrétiens, II, 474, note.
TARMI, lac, I, 166.
TARRAGONE, ville, I, 140.
TARSUS, I, 143.
TAUHÎD. Voyez TAOUHÎD.
TAURUS, montagne, I, 141.
TAXES. Voyez IMPÔTS.
TAZA, ville, I, 126.
TAZOUAGAÏT. Signification de ce mot, II, 49, note.
TEBALA, ville, I, 123.
TEBESSA, ville, I, 128.
TEBOUK, lieu, I, 132.
     — Nombre des musulmans qui prirent part à l’expédi­tion de Tebouk, 334.   
TEBRÏZ, ville, I, 146.
TEDELLIS, ville, I, Introd. XXXIII.
TEDJRÎH (improbation). Explication de ce terme, I, Introd. LXXVI, note, 72, note.
TEDLA, ville, I, 126.
TEFASSI, titre d’un ouvrage sur les tradi­tions, I, Introd. XX.
TEFTAZANI (SAAD ED‑DÎN ET-), III, 129, note, 302.
TEHAMA (Le), pays, I, 119, 120.
TEHDÎB (EL-), traité de droit malékite, III, 21.
TEHDÎB EL-ESMÂ, dictionnaire biogra­phique des premiers traditionnistes, I, 392, note.
TEHLÎL. Signification de ce terme, II, 57, note.
TEHMÎD. Signification de ce mot, II, 57, note.
TEÏALICI (ET-), docteur en traditions, II, 472, note.
TEÏCÎR, traité sur les leçons du Coran, II, 456.
TEÏIBI (CHEREF ED-DÎN ET-), commenta­teur du Keschaf, II, 463, note.
TEÏMA, ville, I, 132.
TEINTURES (Les), terme d’alchimie, III, 218.
TEKMILA, dictionnaire biographique, II, 394, note.
TEKRÎT, ville, I, 145,
TEKROUR, pays, I, 115.
— Conversion des habitants de Tekrour à l’islamisme, 169.
TELHÎN, air de musique, III, 426, 427.
TELL (Le), au pluriel TOLOUL, I, Introd. LXVIII, 177, 256, note.
— Les gardes du Tell, 177.
TELMÎD IBN ZEÏDOUN, professeur tunisien, I, Introd. XXV.
TEMHÎD, traité de droit, I, Introd. XX, note, XXII.
TEMÎMI (ABOU ’L-ABBAS), jurisconsulte, III, 148, note.
TEMMAM (ABOU), poète, III, 376, note.
TEMPÉRAMENT. En quoi il consiste, I, 341.
— Pourqu’un tempérament existe, il faut qu’un des quatre éléments pré­domine sur les autres, III, 257.
TEMPLE DE JÉRUSALEM (Le). Bâti par Salo­mon, II, 264.
— Rebâti par les Juifs après leur retour de la captivité, 265, 266.
— Rebâti encore par Hérode, 266.
— Détruit par Titus, ibid.
— Rebâti par Omar et ensuite par El-Ouelîd, 267, 268.
— Les Francs y construisirent une église que Saladin fit abattre afin d’y reconstruire la mosquée dans sa forme actuelle, 268.
TEMPS. Changements opérés par le temps, I, 58 et suiv.
— Les anges connaissent les événements en dehors du temps, 198.
— La proposition que Dieu créa le temps semble impliquer une con­tradiction, III, 108.
TENAÏM, endroit près de la Mecque, II, 261.
TENKÎHAT (Le), traité des principes fon­damentaux de la jurisprudence, III, 34.
TENTES. Leurs diverses espèces, II, 68, note.
— De quoi on les faisait, 69.
— Leurs diverses formes, 70.
— Tentes de campagne, 71.
TERDJEM, nom d’une tribu arabe de la Mauritanie, III, 417 ; note.
TERKECH (Les), peuple, I, 163.
TERME (Le) d’une planète, en astrologie, II, 221, note.
TERMES TECHNIQUES. Leur emploi dans les sciences et dans les arts, II, 440.
           — Ceux des maîtres anciens différaient de ceux des modernes, ibid.
           — Ceux qui sont employés dans la science des tra­ditions, 467, 481 et suiv.
           — Divers systèmes de termes techniques nuisent à l’acquisition de connaissances scien­tifiques, III, 271.
           — Les termes tech­niques varient selon les écoles, 293.
TERMID, ville, 136.
TERMIDI (ET-), traditionniste, I, 37, note.
TERNOUT, ville, I, 130, note.
TEROUMÎT (IBN), chef d’une tribu berbère, I, Introd. XXV.
TERRE (La). Description de sa partie ha­bitée, I, 90 et suiv.
— Le quart sep­tentrional de la terre a une population plus forte que le quart méridional, 99 et suiv.
— Limites de la partie habi­table de la terre, 101 et suiv., 107.
TERRE à CACHETER, II, 26.
TERRE SAINTE (La), terme d’alchimie, III, 225.
TESHÎL (Le), traité de grammaire, I, Introd. XX, note ; III, 311.
TETRABIBLION (Le), III, 241, note.
TEZA, ville, I, Introd. LV, note, 126.
TEZKIYA (purification). Signification de ce terme, I, Introd. LXXVI, note.
THAALEBI (ABOU ISHAC AHMED ETH‑), commentateur du Coran, I, 23, note.
THAALEBI (ABOU MANSOUR ABD EL-MELEK), auteur du Yatima et du Fikh el‑Logha. III, 319, note.
THARET (IBN), docteur chaféite, III, 23, note, 140.
THABET IBN COBRA, II, 418, note ; III, 141, note.
THAHERIYA. Voyez TAHERIYA.
THALEB, grammairien et philologue, III, 320, note.
THAMOUD (Pays des), I, 132.
THAUBAN, affranchi de Mohammed, II, 184, note.
THAUR, montagne près de la Mecque, I, 3, note.
THAURI. Voyez SOFYAN.
THEMISTIUS, philosophe grec, III, 125.
THEMOUD. Leurs demeures, I, 362 ; II, 244.
THENÎA, défilé, I, Introd. LVII.
THÉODOSE, géomètre grec, III, 142.
THOUR. Voyez THAUR.
TÎARET, ville, I, Introd. XCVI.
TIBÉRIADE, (La), I, 132.
TIBET. Il faut regarder comme une fable le récit de la conquête de ce pays par les Himyerites, I, 22, 23, 135, 136.
TIFELOUÎT (IBN), prince almoravide, III, 426, note.
TIFLÎS, ville, I, 155.
TÎGOURARÎN, bourgade, I, Introd. LXII, 115, note.
TIGRE (Le), fleuve, I, 98, 133, 144, 145, 154.
TILIMÇANI (IBN ET-), théologien dogma­tique, III, 95, note.
TILIMCEN, ville, I, 127,
TÎMOUR, I, IntrodLXXXVI et suiv.
TINMELEL (Les), peuple, I, 126.
TIRAZ, un des insignes de la souveraineté, II, 66, 67, 68.
TISSERAND (L’art du), II, 379 et suiv.
TÎTAOUÎN, ville, I, 138.
TÎTERI, montagne, I, Introd. LIII.
TITRE. Explication du titre qu’Ibn Kkhal­doun donna à son ouvrage historique, I, 11.
TITRES D’HONNEUR, I, 465, 466.
— Ori­gine de leur emploi, ibid.
TITUS. Il prend Jérusalem, II, 266.
TLEMCEN, I, 127.
           — Siège de cette ville par le sultan mérinide Abou ’l-Hacen,  I, Introd. XXIV, note ; et par le sultan mérinide Youçof Ibn Yacoub, II, 203, note.
TOBBÂ. Fables racontées de ces princes, I, 19 et suiv.
— Un des Tobbâs fabri­quait des cottes de maille, II, 86, note.
TOBBAIYA, titre d’un recueil de prédictions en vers, II, 226, note.
TOFAÏL. Signification de ce mot, I, 4, note.
TOFAÏI. (ABOU), un des Compagnons et partisan dévoué d’Ali, II, 165, note, 180, 181.
TOGHARGHAR, I, 172, note.
TOGHDJ (ﺞﻐﻄ). Comment prononcer ce nom, I, 135.
TOGHDJ (BÉNI), I, 354.
TOGHRAÏ, le vizir. Il a écrit sur l’alchimie, III, 208, note.
— Sa théorie de la transmutation des métaux, 255, 260.
TOLÈDE, I, 139, 140.
TOLEÏHA EL-ACEDI, faux prophète, I, 211, note.
TOLEÏTELA, ville, I, 139.
TOMTOM, philosophe indien, III, 172.
TOR, montagne, I, 130.
TORDJÊLA, ville, I, 139.
TORTOSE, I, 140.
TORTOUCHA, ville, I, 140.
TORTOUCHI (ABOU BEKR ET-), I, 82, note.
— Il fait consister la force des empires dans le nombre de leurs troupes sol­dées, 321.
— Ce qu’il dit des choses qui amènent la victoire à une armée, II, 89, 90.
— Il enseigna le droit malekite à Jérusalem, III, 19.
TOSTER, ville, I, 133.
TOTÎLA, ville, I, 150.
TOUAREGS (Les), I, 115, note.
TOUAT, pays, I, 115 :
TOUBERAN, pays, I, 124.
TOUCI. Voyez NACÎR ED-DÎN.
TOUDJÎN (BENI), tribu berbère, I, 278.
TOUEÏDJEN (ET-), littérateur et voyageur, I, Introd. LXXXII, note ; III, 357, note.
TOUFEL ER-ROUMI, astrologue, II, 222, note.
TOUÏZERI (ET-), imposteur, I, 331 ; II, 202.
TOULOCHA, ville, I, 151.
TOULOUN (IBN), I, 374.
TOULOUSE, I, 151.
TOUMERT (IBN), II, 67 ; III, 432, note. Voyez. MEHDI DES ALMOHADES.
TOUNICI (EL-) (Ibn Mahrez ?), docteur ma­lekite, III, 17.
TOUR, ville. I, 147.
TOURNURES. Ce sont les idiotismes de la langue, III, 368, et les expressions conformes au génie d’une langue, 369.
— La poésie et la prose ont chacune des tournures qui leur sont propres, 369.
— Les règles de la rhétorique et de la grammaire ne peuvent pas les enseigner, 372.
— Manière de les ap­prendre, 373, 374.
TOUZER, ville, I, 128 ; II, 202, note.
TOWAÏS, musicien, II, 420, note.
TRABEZONDA, ville, I, 156.
TRABLOS, ville, I, 142.
TRADITION (Gens de la). Les disciples de Malek, III, 6.
TRADITION DES DRAPEAUX, II, 176, 177.
TRADITION DE YACÎN, II, 178.
TRADITIONS. Les six recueils de traditions, I, Introd. XXIII et note.
           — Traditions concernant le Fatemide attendu et leur peu de valeur, II, 158 et suiv.
           — Note sur les recueils de traditions, 159.
           — Classification des traditions, 4, 6. ­
           — Nombre des traditions que les quatre grands imams ont transmises, 477,  478.
           — Règles qui ont présidé à la classification des traditions dans les recueils, 478, 480.
           — Les traditions abrogeantes et abrogées, III, 28.
TRADITIONNISTES. Indication de plusieurs qui furent compagnons de Mohammed, II, 159.
           — La plupart des traditionnistes étaient de race persane, III, 299.
TRAITEMENTS. Leur diminution amène une diminution dans le revenu. II, 105 et suiv.
TRANSACTIONS COMMERCIALES (Arithmétique des), III, 137.
TRANSCRIPTION DES LIVRES, II, 406 et suiv.
TRANSCRIPTION DES NOMS ÉTRANGERS. Sys­tème employé par Ibn Khaldoun, I, 68 et suiv.
TRANSOXIANE (La). Les habitants de ce pays ont toujours conservé quelques usages de la civilisation de la vie sédentaire, III, 302.
TRANSPORT, terme technique de philologie, III, 68, note.
TRAPANI, I, 141.
TRAVAIL. Nécessité de se partager le travail, II, 277, 278.
           — C’est par le travail qu’on gagne sa vie, 321.
           — Dans la vente des marchandises on tient compte de la valeur du travail qui les a produites, 322.
TRÉBIZONDE, I, 156.
TRÉSOR. Celui qui était renfermé dans le temple de la Mecque, II, 262.
TRÉSORS CACHÉS. Chapitre sur la recherche des trésors, II, 328 et suiv.
— Ce qui porte à les chercher, 330.
— C’est une folie que de les chercher, 334.
— En Égypte, il y en avait dans les anciens tombeaux, 335.
TRIBUS. Voyez ARABES.
TRIBUS NOBLES, I, 272, 289.
TRIGONE, terme d’astrologie, II, 217.
TRINE. Voyez TRIGONE.
TRIPOLI, I, 142.
TRIPOLI D’AFRIQUE, I, 128.
TROMPETTES ; leur utilité, II, 48, 50.
TRÔNE (Le), II, 53 — Maouîa, fils d’Abou Sofyan, fut le premier souverain qui en fit usage dans l’islamisme, 53.
— Celui d’El-Macaucas, 54.
TROUPES ÉTRANGÈRES. Motifs de leur em­ploi, I, 346 ; II, 82, 83.
TRUXILLO, I, 139.
TUDÈLE, ville, I, 150.
TUNIS, I, 128
— État des arts dans cette ville, II, 362.
TURCOMANS (Les), I, 143.
TURCS (Le pays des), I, 135, 137.
— Il faut regarder comme une fable l’his­toire de la conquête de ce pays par les Himyerites, 22, 23.
TUTELLE. Ce qui arrive dans un empire quand le sultan est tenu en tutelle, I, 377 et suiv.
TYR, I, 131.
TYRANNIE. Voyez OPPRESSION.

U

UBEDA, ville, I, 139, 140.
UNÉITÉ, III, 99, note.
UNIFICATION, terme de soufisme, III, 96.
UNITÉ ABSOLUE (L’), terme de soufisme, III, 97.
UNITÉ DIVINE (L’), III, 43, 48, 99, note.
UNITISME, III, 99, note.
UNIVERS. Tout y est rangé dans un ordre régulier, II, 436.
UNIVERSAUX (Les). La faculté de les con­cevoir est ce qui distingue l’homme des autres animaux, III, 150
— Com­ment on parvient à les reconnaître, ibid.
— Les cinq universaux, 154.
UNIVERSEL (L’) NATUREL DU DEHORS (les universaux objectifs). , III, 158.
USAGES. Les musulmans de l’Espagne, ont adopté les usages des chrétiens, I, 307.
— Les khalifes et leurs lieute­nants adoptèrent les usages des Perses, II, 50.
— Quelques usages de la civi­lisation se retrouvent encore aujourd’hui ­dans la Transoxiane, I, 302.
USURPATEURS. Conduite ordinaire d’un chef qui usurpe le pouvoir dans une ville, II, 314, 315.

V

VAINCUS. Un peuple vaincu s’efforce d’i­miter les mœurs du vainqueur, I, 306.
— Un peuple vaincu dépérit rapide­ment, 307.
VALENCE, ville, I, 140.
VENISE (Le GOLFE ou CANAL DE), I, 94, 138, 153.
VÉNITIENS, leur pays, I, 141.
VERS. Chaque vers, en arabe, se compose de deux hémistiches et doit offrir un sens complet, III, 366, 367.
— Voyez ENJAMBEMENT.
— Comment on apprend à composer en vers, 376 et suiv. 379.
— Pour bien composer des vers, il faut vivre dans la retraite, au milieu d’un beau jardin, et entendre des sons agréables, 378.
— Ibn Rechîk est le premier auteur qui ait écrit sur l’art de faire des vers, ibid.
VERS CABALISTIQUE, employé par les de­vins, I, 247, note, 249.
VERT ET BLANC. Ce sont les couleurs spé­ciales aux anges, I, 187.
VÊTEMENTS COUSUS. Pourquoi le législa­teur a défendu de les porter pendant les cérémonies du pèlerinage, II, 380.
VICTOIRE. Elle est une affaire de hasard et dépend de plusieurs causes. II, 88.
— Ces causes, ou moyens, sont de deux classes, les naturelles et les surnatu­relles, 88, 89.
VIDE (Le). Son existence fut admise par les Acharites, III, 59, et rejetée par les scolastiques plus modernes, 160.
VIE DES EMPIRES (La), I, 347.
VIE NOMADE (La), I, 254, 255 et suiv.
— Elle a précédé celle des villes, 257 et suiv.
— C’est par elle que la civili­sation commence, ibid.
— Elle n’est possible que pour des tribus animées d’un fort esprit de corps, 268 et suiv.
VIE SÉDENTAIRE (La). Son caractère, I, 350, 351.
— Ses usages se transmettent d’un peuple à un autre, 354.
— Elle fait fleurir la civilisation et rend un pays riche et prospère, II, 295, 296.
— La civilisation qui lui est propre marque le plus haut degré du progrès auquel un peuple puisse atteindre, 300.
— Effets de cette civilisation, 301, 302.
— Elle amène la corruption des mœurs, 303, 304.
VILLE DE CUIVRE (La), I, 75.
VILLE‑NEUVE DE FEZ (La), I, Introd. XXV, note ; II, 249, note.
VILLES. Les habitants des villes jouissent de trop d’aisance pour être braves, I, 263.
— La prospérité d’une capitale dure tant que l’empire se maintient, II, 238.
— Pourquoi certaines capitales se sou­tiennent après la chute de l’empire, 238.
— Les grandes villes et les gros édifices ne peuvent être construits que par des souverains très puissants, 241 et suiv.
— Le meilleur emplacement pour une ville, 247 et suiv.
— L’em­placement qui convient le mieux à une ville maritime, 251, 252.
— Pourquoi les villes sont peu nombreuses en Ifrî­kiya et dans le Maghreb, 271 et suiv.
— Comment les villes tombent en ruine, 276 et suiv.
— La prospérité de cer­taines villes tient à la grandeur de leur population, 277 et suiv. — Une ville qui surpasse une autre en population la surpasse aussi en richesses, 279, 280.
— La prospérité des grandes villes dépend de la durée des dynasties qui y ont régné, 294.
— Les villes tombent en ruine lors de la chute des empires dont elles furent les capitales, 307 et suiv.
— Causes de leur ruine, ibid.
— Exemples, 309.
— Certaines villes se distinguent par la culture de certains arts, 312.
— Les dialectes des villes, 316 et suiv.
— Les habitants des villes ne parlent pas l’arabe correctement, III, 354.
— Voyez LANGUE ARABE.
VISION (La phase de la), en soufisme, III, 79, 80, 81.
VISION SPIRITUELLE : Voyez SONGES.
VIZIR. Signification de ce mot et sa déri­vation, II, 4.
— Les fonctions du vizi­rat dans les temps anciens, 4, 5.
— Les Arabes paiens désignaient Abou Bekr par le titre de vizir, 6.
— Omar servait de vizir à Abou Bekr, et Ali à Omar, ibid.  Les devoirs d’un vizir sous les Omeïades et les Abbacides, 8, 9.
— Sous les Turcs mamlouks, ce titre fut porté par le directeur des contribu­tions, 11.
— Les attributions du vizir sous les Turcs mamlouks, II, 18, 24, 25.
— Sous les Omeïades d’Espagne, les attributions du vizir furent partagées en plusieurs classes, ayant chacune un vizir spécial, 11.
VIZIRAT DE DÉLÉGATION, II, 9.
VIZIRAT D’EXÉCUTION, II, 9.
VOIE. Signification de ce mot chez les sou­fis et les derviches, II, 191, note.
— Chez les traditionnistes il signifiait la filière par laquelle une tradition leur était parvenue, II, 469 ; III, 28.
VOILÉS (Les PEUPLES), I, 115, 122.
VOLGA (Le), I, 157, 162, 163, 166.
VOLONTAIRES DE LA FOI, corps de troupes au service des sultans de Grenade, I, 340, note.
VOYAGES. Un étudiant qui veut compléter son éducation doit voyager, afin d’entendre les professeurs d’autres pays et, de travailler sous leur direction, III, 293 et suiv.

W

WOHEÎB (MALEK IBN), savant docteur espagnol, I, 247, note.

X

XATIVA, ville, I, 140.
XENIL, rivière, III, 441.
XÉRÈS, I, 139.
XUCAR, ville, I, 140.

Y

YACEB (ABOU), II, 211, 212.
YACHBEK, émir turc, I, IntrodLXXXV.
YACÎN EL-EÏDJLI, traditionniste, II, 178.
YACOUB IBN ALI, chef arabe maghrébin, I, Introd. XLIX, LIII, LVI.
YACOUB IBN CHEÏBA, auteur d’une collec­tion de traditions, II, 182, note.
YACOUB EL-HADRAMI, lecteur coranique, I, Introd. XX, note.
YACOUB IBN SOFYAN, traditionniste, II, 164, note.
YACOUB (ABOU), le ouéli, II, 199.
YACOUT, presqu’île, I, 137.
YACOUT EL-HAMAOUÏ, géographe, I, 117, note ; II, 400, note.
YACOUT EL-MAUCELI, calligraphe, II, 400, note.
YADJOUDJ (Le rempart de), I, 135, 149.
YADJOUDJ ET MADJOUDJ, I, 92, note ; 158, 159, 164, 167.
YAGHMORACEN IBN ZIAN. Ce prince ne par­lait que berber, I, 279.
— Ce qu’il di­sait du prône, II, 74.
YAHYA. Voyez YOUNOS (IBN).
YAHYA, frère d’Ibn Khaldoun. Voyez KHAL­DOUN (YAHYA).
YAHYA EL-KHAZRADJI, littérateur espagnol, III, 431.
YAHYA EL-MAMOUN. Voyez DHÎ ’N‑NOUN (IBN).
YAHYA EL-MAMOUN IBN DHI ’N‑NOUN, prince espagnol et souverain de Tolède, I, 353, note ; III, 424.
YAHYA IBN ABD ALLAH, prince alide, I, 29, 30.
YAHYA IBN AKTHEM, le cadi. Calomnies qui furent dirigées contre lui, I, 26 et suiv.
YAHYA IBN KHALED, le Barmekide. Il jouis­sait d’un grand crédit auprès d’Er-Re­chîd, I, 28.
— Il fut consulté par Er-Rechîd au sujet de l’Eïouan Kisra, II, 246.
YAHYA IBN SAÏD, docteur en tradition. II, 165, note, 214, note.
YAHYA IBN YAHYA, docteur malekite, III, 15, note.
YAHYA IBN ZEÏD, I, 407, 408
— La mort de cet alide lui fut prédite par Djafer es‑Sadec, II, 215.
YAHYA (ABOU) ABOU BEKR, souverain haf­side, I, IntrodXVIII, note, XXVII ; II, 16, note.
YALA (ABOU), docteur en traditions, II, 159, note, 186, 472.
YALA (BENI), famille qui régna à Tlemcen, III, 411, note.
YALA IBN MONYA, un des Compagnons, I, 417, note.
YALAC (Territoire de), I, 148.
YASER, fils de Dhou ’l-Adaar, I, 20.
YATHREB, ville, I, 123 ; II, 269.
YELEMLEM, montagne, I, 123.
YEMAMA, pays, I, 123, 133.
YÉMEN, I, 120.
YÉMENI, espèce de dirhem, II, 57.
YEMLOUL (IBN), chef maghrébin, I, Introd. LXIX.
YERMOUK (Bataille de), I, 325.
YESTASB, roi des Perses, I, 20, 22.
YEZÎD, fils de Moaouîa. Motifs qui por­tèrent son père Moaouîa à lui léguer son autorité, I, 419, 427.
— Il aimait la musique, 430.
— Appréciation de sa conduite envers Er-Hoceïn, 439 et suiv.
YEZÎD IBN ABI ZÎAD, traditionniste, II, 176, 177, 178.
YEZÎD IBN ZOREÏA, traditionniste, II, 170, note.
YEZÎD (ABOU), ennemi des Fatemides, 1. 337, note ; II, 216, note.
YEZÎD (IBN ABI), généalogiste des Berbers, I, 337, note.
YOUÇOF IBN OMAR, officier des Omeïades de l’Orient, II, 56, note.
YOUÇOF IBN YAHYA, docteur chaféïte, III, 11, note.
YOUNOS, fils d’Abou Ishac es‑Sabîaï, II, 181, note.
YOUNOS (YAHYA IBN), docteur malekite, III, 17, 272.
YOUNOS (AHMED IBN), traditionniste, II, 166, note.

Z

ZA (Le), rivière de la Mauritanie, I, Introd. LXII.
ZAB (Le), appelé maintenant le Ziban, province de la Mauritanie, I, IntrodXVII, I, XXXII, 127 ; II, 200 ; III, 411.
ZAB (Les), deux rivières qui se jettent dans le Tigre, I, 145, 146.
ZADAN‑FERROUKH, secrétaire d’El-Had­djadj, II, 22.
ZAGAOUA (Les), peuple nègre, I, 116, 122.
ZAHED (IBN EZ-), poète de Séville, III, 437.
ZAHER(EZ-) (ﺮﻫﺍﺯﻠﺍ), titre d’un vocabulaire arabe, III, 318.
ZAÏDA IBN CODAMA, traditionniste, II, 163, note.
ZAÏM (ﻡﻳﻋﺯ), titre donné au régent d’un royaume, I, Introd. XIV.
ZAÎRDJA (La) D’ES-SIBTI, tables cabalis­tiques, I, 245 et suiv. ; III, 199 et suiv.
ZAÎRDJA TEL-AALEM. Voyez l’article précé­dent.
ZALA, pays africain, I, 119.
ZAMAKHCHERI (EZ-), philologue et commen­tateur du Coran, I, 23, note ; II, 462, note.
— Son traité de grammaire, III, 312.
— Son dictionnaire des métapho­res, 318.
— Son commentaire du Coran et éloge de cet ouvrage, 326, 328.
ZAMORA, ville, I, 150.
ZANAGA (Les), peuple, I, 126.
ZEBÎD, ville, I, 120.
ZEDDJADJ (EZ-), philologue et grammai­rien, II, 419, note.
ZEDDJADJI (EZ-), grammairien, III, 299, note, 311.
ZEDJEL, espèce de poème, III, 422 et note, 436, 441.
ZEFTA, ville, I, 130.
ZEHRA IBN HAOUWÎA, officier arabe qui prit part à la bataille de Cadeciya, I, 265.
ZEHRAOUÎ (ABOU ’L-HAKEM), mathémati­cien espagnol et élève de Maslema, III, 174, note.
ZEHRAOUÏ (EZ-). Voyez CACEM (ABOU ’L‑).
ZEÏD IBN ALI, l’Alide, I, 403, 407.
ZEÏD EL-AMMI, traditionniste, II, 171, note, 172.
ZEÏD IBN THABET, un des Compagnons. Ses richesses, I, 416, note.
ZEÏD (ABOU), prince hafside, I, IntrodXXX, XXXII.
ZEÏD (IBN ABI), auteur d’un traité sur la jurisprudence malekite, I, 227, note.
— Tradition rapportée par lui, 267.
— Il mit en ordre le Modaouwena, III, 17, 269.
ZEÏDITES (Les), secte chîïte, I, 121, note, 402, 403, 407.
ZEÏDIYA. Voyez ZEÏDITES.
ZEÏN EL-ABEDÎN, I, 403 ; II, 262, note.
ZEÏTOUN (IBN), cadi marocain et élève de Fakhr ed‑Dîn er‑Razi, II, 442.
ZEÏYAT (ABOU MEHDI EIÇA IBN EZ-), ouéli espagnol, III, 106.
ZEÏYAT (IBN EZ-), vizir et littérateur, III, 386, note.
ZÉKÉRIYA (ABOU), le Hafside, I, Introd. XIV, XV.
— Date de sa mort, XVI.
— Il fonde un empire en Ifrîkiya, II, 119.
ZELLACA (Bataille de), I, Introd. XIII.
ZEMM, ville, I, 148.
ZEMREK (IBN), vizir espagnol, I, Introd. LXV, LXXXII, note.
ZEMZEM (Le puits de), II, 254, 256, 262.
ZENATA (Les), peuple africain.
— Vaincus d’abord par les Almohades, ils en fu­rent ensuite vainqueurs à leur tour, I, 326.
ZENATI (EZ-), auteur d’un traité sur la géomancie, I, 234, note.
ZEDJ (Les), I, 119.
— Ce qu’Avicenne a dit de leur couleur, 172.
— Peuples qu’on désigne par ce nom, 171, 172.
ZERÂA (ABOU), surnom d’AMR IBN DJABER, traditionniste, II, 179, 185.
ZERÂA (ABOU ABD ER-RAHMAN ED-DIMACHKI), traditionniste, II, 164, note.
ZERÂA (ABOU). Voyez ROUH IBN ZINBÂA.
ZERÂA (OBEÏD ALLAH ER-RAZI ABOU), traditionniste, II, 164, note.
ZERCALA (EZ-). Voyez ARZACHEL.
ZERKECH, espèce de brocart, II, 68.
ZERZALI (EZ-), professeur tunisien, I, Introd. XXI.
ZERZER (IBN), médecin et astronome espagnol, I, Introd. XLIV.
ZÎAD, fils d’Abou Sofyan ; il fut restitué par le khalife Omar, I, 384.
ZÎAN (BENI), famille abd el‑ouadite ; prétendait descendre d’Idrîs l’Alide, I, 278.
ZÎAN (ABOU), prince abd el‑ouadite, I, Introd. LII, LIII, LVIII.
ZÎBAN. Voyez ZAB.
ZIBIRCAN (IBN), III, 397, note.
ZINAD (ABOU), traditionniste, II, 55, note.
ZÎRIDES (La dynastie des), I, 293, note ; II, 57, note.
ZIRR IBN HOBEÏCH, traditionniste, II, 162, note.
ZIRYAB, musicien, II, 421, 422.
ZOBEÏDI (ABD ALLAH EZ-), traditionniste, II, 184, note.
ZOBEÏDI (ABOU ABD ALLAH EZ-), mufti tunisien, I, Introd. XIX.
ZOBEÏDI (ABOU BEKR EZ-), lexicographe et littérateur, III, 316, note.
ZOBEÏR (EZ-), émir de Cordoue, III, 426, note.
ZOBEÏR (EZ) IBN EL-AOUWAM, un des Compagnons. Ses richesses, I, 416.
ZOBEÏR (ABD ALLAH IBN EZ-). Sa conduite examinée, I, 442, 443.
           — Il rebâtit le temple de la Mecque, II, 257, 258.
ZOBEÏR (IBN EZ-). Voyez HICHAM IBN OROUA.
ZOCAC (EZ-), le détroit de Gibraltar, I, 93.
ZODIAQUE (Le), I, 92.
ZOGHBA (Les), tribu arabe de la Mauritanie, I, Introd. LIII, 278, note ; III, 421 ; note.
ZOHEÏR IBN ABI SELMA, poète, III, 391, note.
ZOHEÎR (ABOU BEKR IBN), espagnol, III, 424.
ZOHEL (La planète), I, 2, note.
ZOHÉRIENS (Les), classe de géomanciens, I, 240.
ZOHR (ABOU BEKR IBN), III, 427, note, 429.
ZOHR (ABOU MEROUAN IBN), médecin espagnol, III, 163, note.
ZOHR (ABOU ’L-KHATTAB IBN), poète espagnol, III, 426, note, 427.
ZOHRI (IBN CHIHAB EZ-), traditionniste, I, 15 ; note.
ZOLAMI (hautbois), II, 411.
ZOMMOUM (EZ-), pays, I, 133, note.
ZONEÏM (IBN). Voyez SARÏA.
ZOREÏA (IBN). Voyez YEZID.
ZOU ’L‑CARNEÏN. Voyez DHOU ’L‑CARNEÏN.
ZOUAOUA (Le pays des), II, 443, note.
ZOUAOUÏ (ABOU ’L-ABBAS EZ-), lecteur du Coran, I, Introd. XXIV.
ZOUAOUÏ (ABOU ALI NACER ED-DÎN EZ-), savant de Bougie, III, 21.
ZOUÎLA IBN KHATTAB, bourg, I, 129.



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LISTE DES TERMES
expliqués par l’auteur ou le traducteur
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ﻥﺎّﺑﺍ . Ce mot, signifiant « le temps où une chose doit arriver ou se faire, prend, au pluriel, la forme ﺖﺎﻨ ﺎّﺑﺍ . Voyez le texte arabe de la IIe partie, p. 16, l. 3.
ّﺲﺍ . Ce mot s’emploie en algèbre pour dé­signer « l’exposant » d’une puissance ; en astrologie il désigne le nombre de de­grés qui se trouvent entre « l’ascendant » et la fin du dernier signe du zodiaque. Voy. trad. I, 248, note.
ﻢّﻬّﻟﺍ . Quand ce mot est employé avec le sens de « Il est cependant vrai que », ou « Il se peut que », on doit le faire suivre de la particule ّﻻٍﺍ .Voyez l’Abd­-Allatif de M. de Sacy, p. 12. Notre au­teur n’a pas toujours observé cette règle. Voy. trad. I, 17, note, et 454, note.
ﻢﺎﻣﺍ . Le terme ﻡﺎﻣﻻﺍ ﺔﻔﺭﻌﻣ est expliqué dans la trad. Ie partie, 403, note.
ﺲﻤﺧﻠﺍ ﺖﺎﻬّﻣﻻﺍ « les cinq mères ». On dé­signait par cette appellation certains ouvrages renfermant les éléments de la grammaire arabe. On trouvera les titres de ces traités dans la trad. I, XXI, note 6, de l’Introduction.
ْﻥٍﺍ . Adverbe négatif ; exemples de son em­ploi : trad. I, XXXVIII, note ; III, 319, note.
 ﺔّﻴِّﻨَأ « quoddité », » voy. trad. III, 107, note. Ce mot, dérivé de la particule َّﻥَأ « que », a sans doute été employé par un traducteur de l’Organon d’Aris­tote pour rendre le terme ότι.
ﻞﺁ .  Ce que les mystiques entendent par ce mot ; trad. II, 193.
ﺐﺎﺑ  . Ce mot s’emploie comme synonyme de ﺭﺍﺪ , « maison, lieu de séjour », II, 151, note.
ﺓﺭﺪﺑ « dix mille », I, 352.
ﻊﻴﺪﺑﻠﺍ . La science ainsi nommée a pour objet les figures de rhétorique et les ornements du discours, III, 325.
ﻞﺪﺑ , au pluriel ﻞﺍﺪﺑﺍ et ﺀﻻﺪﺑ . Note sur les personnages désignés par ces termes, II, 168 ; voy. aussi II, 179, 190, et III, 104, 106.
ﻂﺑﺭﺑ . Espèce de guitare, II, 412.
ﺪﺭﺍﻮﺒ . Espèce de sauce, I, 34, note.
ﻥﻮﺟﺎّﻌﺑ  « creveurs ». Les sorciers qui font crever le bétail, III, 181.
ﻊﻐﺑ « quelques ». Ce mot désigne un nombre quelconque, depuis trois jusqu’à neuf, ou, selon d’autres, depuis trois jusqu’à dix, II, 197.
ﺔﻏﻼﺒ . La faculté d’exprimer ses pensées d’une manière claire et précise, III, 325, note.
ﻯَﻭْﻠَﺑ . Ibn Khaldoun emploie ce mot dans le sens de ﺔﺟﺎﺤ « nécessité », texte ar. II, 295, l. 8 ; trad. III, 253.
ﻖﻮﺑ . Espèce le trompette, II, 411.
ﺖﻳﺑ « famille noble », I, 280.
ﺽﻴﺑﺍ . Synonymes de cet adjectif, III, 319.
ﺔﻌﻳﺑ « inauguration », I, 424 et suiv.
ﻥﺎﻳﺑ « l’exposition », c’est‑à‑dire la rhéto­rique, III, 264, 265, 311 et suiv.
ﻥﻳﺎﺑﻣ « séparé », terme de métaphysique, III, 94.
ﻥﺎﻗْﺗِﺇ . Ce terme s’emploie pour désigner la faculté de retenir exactement ce qu’on a appris, II, 465 ; voy. aussi Abd‑Alla­tif, p. 536, 1. 8.
ﻞﻳﻮﻣﺘ . Voy. ﻰﻠﻮ  .
ﺞﺑﺛ . L’expression ﻥﻣ ﺞﺑﺛ ﻰﻠﻋ ﻥﺎﻛ signifie « se tenir sur ses gardes, se tenir prêt », afin d’obtenir un avantage ou d’éviter un danger, texte ar. I, 24, l. 17. Voy. aussi texte ar. III, 92, l. 16, où on a imprimé par erreur ﺞﻬﻨ , contre l’auto­rité des manuscrits. Ce mot est presque toujours altéré ou mal ponctué par les copistes.
ﻰﻨﺎﺛﻣ . Ce mot s’emploie pour désigner tous les versets du Coran, et, dans une ac­ception plus restreinte, il signifie les sept versets dont se compose la première sourate, III, 361.
ﺭﺗﺟ . Ce mot se trouve texte ar. II, 46, l. 4, et représente le mot persan  « parasol ».
ﻞﺪﺠ « la dialectique, les topiques », III, 38, note.
ﺢﻴﺭﺠﺗ « improbation », I, LXXVI, note, 72, note.
ﺀﺍﺯْﺠَﺃ. Ce mot, pluriel de ﺀْﺯُﺠ , est de la seconde déclinaison, II, 180, note.
ﻖﻠﻁﻤﻟﺍ ﺀﺯﺠﻟﺍ « la partie générale ». Signifi­cation probable de ce terme, III, 222, note.
ﻢﺳﺠ . Selon les physiciens, ce mot désigne un corps quelconque, organisé ou non ; on désigne un « corps animé » par le mot ﺪﺴﺠ , III, 207, note.
ﻰّﻟﺠﺗ « manifestation ». Les Soufis emploient ce terme pour désigner la manifestation de la présence divine, texte ar. III, 69, l. 6.
ﻉﺎﻤﺠﺍ « consentement général, accord gé­néral » des musulmans relativement à un dogme ou à un point de droit, III, 7.
ﺭﺩﻨﺠ et au pluriel ﺓﺭﺪﺎﻨﺠ . Officiers du Sultan qui étaient à la fois huissiers de la porte, valets de pied et bourreaux, II, 16, note.
ﺩﻬﺗﺠﻣ . Docteur qui se rapporte à son propre jugement et travaille conscien­cieusement à résoudre des questions de droit, III, 8, note.
ﻩﺎﺠ . « considération, crédit, influence », II, 336, note, 340, 343.
ﺪﺭﻔﻟﺍ ﺭﻫﻮﺠﻠﺍ « la substance isolée, ou sim­ple ». Ce terme s’employait chez les sco­lastiques pour signifier « atome », texte ar. III, 40, l. 9 ; 114, l. 9. Voyez le Guide des Égarés, édition de M. Munk, vol. I, p. 186.
ﺙﻴﺪﺤ « nouveau ». Chez les scolastiques ce mot signifie « ce qui a été créé, qui a eu un commencement », III, 73, note.
ﻥﺎﺛْﺪِﺤ « prédictions », II, 206, note.
ﺚﱠﺪﺣﻣ « inspiré, qui a eu une vision », I, 228, note. Voyez les Séances de Hariri, p. ۶۰۱ .
 ﻯّﺪﺤﺗ « annonce préalable d’un miracle, I, 190, note, 193, 228 ; III, 111, 186.
ﺔﺑﺍﺮﺣ « brigandage », II, 110, note.
ﺏﺭﺎﺣﻤ « brigand », II, 110, note.
ﻒﻮﺮﺤ . Mots du texte coranique dont la prononciation était incertaine. On peut rendre ce terme par variantes, II, 457, note. — Le même terme s’emploie en algèbre pour désigner les signes de no­tation, III, 134, note.
ﺏﺴﺣ « noblesse », I, 280, note.
ﺭﺿﺣ « les habitants des villes », I, 255.
ّﻯﺮﺿﺤ « un habitant de ville », II, 317.
ﺓﺭﻮﻓﺤﻣ . Espèce de tapis, I, 366, note.
ّﻗﺤﻣ . Un docteur qui résout des questions par des preuves démonstratives, I, 196, note. — Chez les Soufis, ce terme dési­gnait une personne qui était arrivée à la connaissance des grandes vérités, III, 103, note.
ﻢﻛﺤﻣ . Les mots et versets du Coran qui of­frent un sens clair et certain sont ainsi désignés, III, 2, 64.
ﻞﻮﻟﺤ . « incarnation », III, 67.
ﺓﻮﻟﺤ . Espèce de nougat ; I, 34, note.
ﺔﻤﻮﻟﺤ . Nom d’un certain charme composé de paroles barbares, I, 217.
ﺩﻴﻤﺤﺘ « louer Dieu », II, 57, note.
ّﻰﺠﺎﺤ . Ce qui est nécessaire pour le sou­tien de la vie, sans être indispensable, I, 254, note.
ﻝﺎﺤ . « état ». Signification de ce terme chez les Soufis, III, 87. — Chez les astrologues, il signifie matrice ou gangue, III, 242.
ﻞﺍﻮﺣﺍ « états ». Chez certains Motazelites réalistes et quelques Acherites, on dé­signait les « universaux » par ce terme, III, 158, note.
ﻕﺍﻮﺴﻻﺍ ﺔﻠﺍﻮﺤ . Gagner de l’argent en pro­fitant de la fluctuation du cours du marché, II, 96, note.
 ﻰّﻨﺍﻭﻴﺣ « vital », I, 214.
ﺚﺒﺧ. dissimulation, duplicité, III, 291, note.
ﻢﺘﺎﺧ , ﺔﻣﺗﺎﺧ , ﻢﺎﺗﺧ . Diverses significations de ces mots, II, 62 et suiv. 193.
ﻢﺪﺎﺧ . Ce mot, dans le dialecte arabe‑maghrébin, signifie « négresse ». Notre au­teur lui donne le sens « d’esclave noir »,  III, 291, note.
ﺝّﺮﺧ « extraire » une tradition d’un livre, la « reproduire et publier », II, 158, note.
ﻰﻨﺯْﺧَﻣ « appartenant au gouvernement, à l’administration de l’état », II, 351, note.
ﻥﻣﺪﻠﺍ ﺀﺍﺭﻀﺧ « (l’herbage) vert du fu­ mier, c’est‑à‑dire « ce qui est beau de­hors et mauvais dedans », I, 358, note.
ﻢﺭﻀﺧﻣ . On désignait par ce terme tout poète qui avait vécu avant et après la promulgation de l’islamisme, III, 379, note.
ﺀﺎﻔﺧ « recèlement ». Terme de soufisme, III, 101.
ﺭﻣﺧ . Signification véritable de ce mot, III, 29, note, 320.
 ﺭﺎﻴﺗﺧﺍ « libre arbitre », I, 189, note.
ﺕﺍﺭﺎﻴﺗﺧﺍ « élections ».Terme d’astrologie, II, 223, note.
ﺔّﻤﺎﻌﻟﺍ ﺭﺍﺪ . Salle de réception pour le pu­blic, chez les khalifes abbacides, II, 17, note.
ﻞﺠﺪ « fausseté, mensonge », II, 192.
ﺐﺮﺪ au pluriel ﺏﻮﺭﺪ . Rue ou passage dont chaque bout est fermé par une porte, I, 51, note.
ﺭﺳﺪ . Une certaine manière de fermer et attacher les lettres, II, 65, note.
ﺭﺗﺎﺴﺪ « chevilles de bois », II, 373, note ; texte ar. II, 321, l. 4 ; 354, l. 8.
ﺓﺭﺷﺪ , au pluriel ﺭﺷﺍﺪﻣ . Mot berber qui signifie « village », I, 84, note.
ّﻗﺪﻣ « subtil », se dit de jurisconsultes et de philosophes, I, 196, note.
ﻞﻴﻠﺪ « significateur ». Terme d’astrologie, texte ar. II, 187, l. 15 ; trad. II, 219, note. 
ﺲﻟﺪﻣ . Terme employé dans la science des traditions, sa signification, II, 169, note ; 483, note.
ﺔﻴﺪﺎﺒﻟﺍ ﻮﻟﺪ . Nom dont la signification est incertaine et qui désignait le pays de l’Occident (El-Gharb), II, 198, note.
ﺲﺎﻣﻳﺪ . Nom d’un cachot dans la ville de Ouacet, II, 198, note.
ﻥﺎﻗْﻫِﺪ . Voyez I, 353, note.
ﺭﻜِﺬ . Récitation de litanies et de prières, III, 91, note.
ﻕﻮﺫ « goût ». Ce terme est employé par les Soufis, III, 88 ; et. par les rhétori­ciens, III, 345, 349 et suiv.
ﺐﺎﺑﺭ . Espèce de guitare, II, 412.
ﻰﻨﺎّﺒﺮ « versé dans la loi divine », III, 46, note ; « ayant acquis les connaissances les plus élevées, un mystique transcen­dant », , III, 174, note, 387, note.
ﻖﺗﺮ « assemblage ». None donné à, un cer­tain monde ou catégorie d’êtres par les Souks qui admettaient. la doctrine de l’émanation, III, 100.
ﻪﻌﺠﺭ « retour ». Certains mystiques ensei­gnaient que le monde reprendrait son premier état et que tout ce qui s’y était déjà passé aurait lieu de nouveau, II, 196, note.
ﻞﺎﺠﺭ . En soufisme : « les hommes avancés dans la vie spirituelle, , III, 89, note.
ﺖﻻﺎﺠﺭ « les hommes haut placés, les grands de l’empire », II, 18, note.
ﻖﺯﺭ « bénéfice ». Explication de ce terme, II, 319 et suiv.
ﺯﻜﺭﻣ « pilon », II, 372, note ; texte ar. II, 320, l. 11.
ﻥﻮﺪﻴﺭﻤﻠﺍ « les aspirants ». Dénomination d’un parti politique qui s’était formé en Espagne peu de temps avant la chute de l’empire almoravide, I, 327, note.
ﺔﺿﺎﻴﺭ « exercices spirituels, I, 217, note.
ﻯﺍﺭﻠﺍ ﻝﻫﺍ »  les gens de l’opinion », c’est‑à-­dire les Hanefites, III, 3.
ﻞﺠﺯ  (zedjel). Espèce de poème propre aux musulmans de l’Espagne, III, 422, note, 436, 441.
ﺮﺠﺯ (zedjer). En quoi consiste ce genre d’augure, I, 222.
ﻢﻴﻋﺮ « régent d’un royaume », I, XIV.
ﻢﻋﺯﻤ . Terme d’astrologie que les traités européens ont rendu par le mot « pro­misseur », II, 219, note.
ّﻢﺯ , au pluriel ﻢﻮﻣﺯ . Les cantonnements des Kurdes dans la province de Fars, I, 133.
ﺮﻫﺯﺍ  (azher) « blanc », en parlant des hommes, III, 319.
ﻎﻴﺯﻠﺍ ﻞﻫﺍ « les gens de la déviation », c’est-­à‑dire qui se détournent de la vérité, III, 66.
ﻚﺎﺷﻠﺍ ﺪﻴﺯ . Explication probable de ce terme, II, 171, note.
ﻂْﺒِﺴ « petit‑fils, né de la fille », I, 403, note. — Un poète chîïte a employé ce mot au lieu d’imam 405, note.
ﻞﻴﺑﺴ . L’expression ﻚﻠﻴﺑﺴ ﻰﻔ ﻮﻫ ﻯﺬﻠﺍ signifie : « Celui que vous rencontrez souvent », II, 326, note.
ﻊﺠﺴ « incantation », I, 208, note.
ﺖﻻﺠﺴ . Diverses significations de ce mot, II, 406, note.
ّﺮﺴ . Ce mot prend quelquefois la signifi­cation de ﻰﻨﻌﻣ ,  « la nature réelle d’une chose », III, 40, note.
ﻞﻮﻂﺴﺍ « navire, flotte », II, 37, note.
ﻁﻮﻗﺴ « chute, déjection ». Terme d’astro­logie, II, 219, note.
ﺐﻟﺴ « privation, dépouillement. Terme de théologie scolastique, III, 53, note.
ﺪﻨﺳﻣ . Recueil de traditions accompagnées de leurs appuis, II, 185, note. Le plu­riel de ce mot est ﺪﻴﻨﺎﺳﻣ , 471, note.
ﺝﺎﻴﺴ « clôture en toile » qui entoure les tentes d’un chef d’armée, II, 68, 70.
ﺮﻴﻴﺴﺗ  « direction ». Terme d’astrologie, II, 219, note.
ﺎﻣّﻴﺴ . Notre auteur a employé ce mot sans le faire précéder de ﻻ , I, 4, note.
ﻪﻳﺎﺸﺗﻣ « assimilation », c’est‑à‑dire anthro­pomorphisme, III, 54.
ﻪﺑﺎﺷﺗﻣ . Terme de théologie musulmane qu’on peut rendre par obscur, III, 53, note, 164.
ﻒﺭﺷ « dignité, exaltation ». Terme d’as­trologie, II, 219, note.
ﻖﺍﺭﺷٍﺇ  « l’illuminisme », III, 167, note.
ﻥﻭﻴﻗﺍﺭﺷﻻﺍ « les illuminés », III, 167, note.
 ﺖﺎﺣﻂﺷ « des paroles en l’air », III, 110, 112.
ﺔﻔﻂﺷ . Espèce de drapeau, II, 52, note.
ﺔّﻴﻌﻔﺷ « appariement, dualisme », III, 109, note.
ﻢﺎﻣﺸٍﺇ . Prononcer une lettre de manière à faire sentir quelque chose du son d’une autre lettre, I, 69, note.
 ﺏﻬﺸﺍ « blanc », en parlant de chevaux, III, 319.
 ﺓﺪﻫﺎﺷﻣ « contemplation spirituelle ». Terme de soufisme, III, 100, note.
ﻥﻴﺗﺪﺎﻬﺷﻠﺍ « l’homme dont le témoi­gnage en vaut deux ». Surnom donné à Khozeïma Ibn Thabet, I, 262, note.
ﺓﻮﻬﺷ « l’appétit concupiscible », I, 385, note.
ﺐﺎﺤﺼﺘﺴﺍ . En droit musulman : juger que l’état actuel d’une chose est semblable à son état passé, III, 7, note.
ﺭﻮﺪﺼ « émanation ». Terme de soufisme, III, 99.
ﻖﻴّﺪﺼ  « un individu qui tient un degré de sainteté supérieur à celui de wéli et in­férieur à celui de prophète », I, 229, note.
ﻖﻴﺪﺼﺘ  « croyance ». Premier degré de la foi, III, 50. — « Affirmation, jugement, ­proposition », I, 201, note.
ﻥﻴﻋﺎﻔﺻ , pluriel de  ﻥﺎﻌﻔﺼ « parasite, souffre‑gourmades », I, 330, note.
ﺔﻴﺤﻻﻃﺼﺍ « conventionnelle », II, 399. — Note sur les sciences appelées con­ventionnelles, ibid.
ّﻰﻋﺎﻨﺼ « ce qui s’enseigne comme un art », II, 460, note.
ﺔﻌﻴﻨﺻ « client », I, 377.
ﻊﻴﺎﻨﺻ « clients, protégés, créatures », I, 64, note.
ﺖﻮﺼ  « son, note de musique », II, 411.
ﺪﻴﺻ . L’expression ﺪﻴﺻ ﻢﻬﻠ ﺭﻨﻴ ﻻ  signifie à la lettre : « pour eux le gibier ne s’en­fuit pas ». Cela veut‑il dire : « ils ne chassent pas ? » Voy. texte ar. I, 228, l. pénult.
ﺮﻳﻮﺼﺘ « concept, simple idée », I, 203, note.
ﻯﺮﻮﺮﺿﻟﺍ « l’indispensable », I, 254, note.
ﻞﺩﻨﻣﻠﺍ ﺐﺮﺎﻀ « un devin », qui opère au moyen d’un miroir ou d’un liquide, II, 206.
ﺮﻴﺎﻤﻀﻟﺍ ﺝﺍﺮﺧﺗﺴﺍ. Obtenir, par un procédé cabalistique, la réponse à une question qui préoccupe l’esprit, I, 233, note.
ﺭﺎﻣﻀﻣ  « avoir l’oreille juste ». Terme de musique, II, 415.
ﺖﺎﻌﻴﺑﻂﻠﺍ « la physique », III, 161.
ﻊﻴﺎﺑﻄ . En alchimie : « les quatre éléments, les quatre humeurs », III, 211, note.
ﺡﺮﻁ . Le « retranchement » du plus grand multiple d’un nombre, I, 242, note.­ — La division en arithmétique, III, 132.
ﺪﺭﻃ « généraliser », III, 159, note.
ﻢﻠﺎﻅﻣﻠﺍ . L’institution appelée  ﻢﻠﺎﻅﻣﻠﺍ ﻰﻔ ﺮﻇﻨﻠﺍ « l’examen des plaintes d’oppri­més » était une haute cour de justice et d’appel jouissant de pleins pouvoirs, I, 451, note.
ﺭﻫﺎﻅ . Chez les Ismaîliens : « l’externe, le sens littéral » du texte coranique, III, 105.
ﺭﻫﺎﻅﻣ « apparences ». Doctrine ainsi nom­mée, III, 98, note.
ﺔﻨﻴﻌﻆ . Signification de ce mot, II, 69, note.
ﺔﻴﺑﻌﺗ »  ordre de bataille », II, 78, 79.
ﻰﺒﺎّﺗﻋ « tabis ». Espèce d’étoffe, I, 365, note.
ﺓﺯﺠﻌﻤ « ce qui surpasse le pouvoir de l’homme », I, 190, note.
ﻢﺠﻋ « non arabe, persan, turc », III, 10, note, 296, note.
ﺔﻤﺠﻋ « accent étranger », III, 306.
ﻞﺪﻋ « assesseur de cadi » et « notaire », I, LXXVI, note, 456, 457.
ﻝﻴﺪﻌﺗ « justification ». Terme de droit, I, LXXVI, note, 72, note. — En astrono­mie : « équation ». III, 148.
ﺐﺍﺮﻋﺇ « Syntaxe des désinences », III, 310.
ﺽﺭﻋ « lire un écrit ou livre devant un professeur », afin de profiter de ses ob­servations, II, 182.
ﺀﺎﻔﺭﻋ . Les « notables » d’un endroit, I, XII.
ﻑﺯْﻌِﻤ « harpe », II, 420.
ﻯﺭﺷﻌﻟﺍ « le décemviral ». Titre usité chez les Almohades ; son origine et sa signi­fication, II, 43, note.
ﺔﻳﺑﺼﻋ « esprit de corps, parti qui soutient un individu », I, 320, note.
ﺔﻣﺼﻋ « impeccabilité », I, 186 ; III, 50.
ﺵﻮّﻃَﻋ , au pluriel ﺶﻴﻂﺎﻃِﻋ . Espèce de « palanquin », II, 69, note.
ﻒﺎﻔِﻋ « pureté de mœurs », I, 188.
ﺩﻗﻋ , au pluriel ﺪﻮﻗﻋ . Les dix premiers nombres et leurs produits quand ils sont multipliés par dix, I, 243, note.
ﻞﻘﻋ « intelligence ». Ce mot s’emploie pour désigner la faculté de la raison, I, 230.
ﺔﻴﻟﻗﻌﻟﺍ ﻡﻮﻠﻌﻟﺍ . Les sciences qui sont fon­dées sur la raison, I, XXV.
 ﺮﺎّﻗﻋ . drogue, ﺔﻴﻨﺪﻌﻣ ﺭﻴﻗﺎﻘﻋ  « drogue minérale », II, 335 ; III, 220.
ﻝﻮﻻﺍ ﻡﻟﻌﻟﺍ « l’Organon » d’Aristote, I, 282, note.
ﻝﻮﻻﺍ ﻡﻟﻌﻣﻟﺍ  « le premier des instituteurs », c’est‑à‑dire Aristote, III, 126, 127, 231.
ﻢﻴﻟﺎﻌﺗ « les mathématiques », I, XXIV ; III, 122.
ﺯﻬْﻠِﻋ « espèce de mets », I, 415.
 ﺪﺎﻤﻋ « les poteaux de tentes », I, 25.
ﻥﺍﺭﻤﻋ « culture, population, civilisation » d’un pays, I, 86, note.
ﻞﻤﻋ  « liste, état, document écrit », I, 364, note ; II, 405. — En alchimie : « le grand œuvre », III, 210, note.
ﻝﺎﻣْﻋَﺃ  « les produits du travail », II, 278, note.
ﺖﻼﻣﺎﻌﻣ . L’arithmétique appliquée aux « transactions commerciales, etc ». III, 137.
ﻥﻌﻨﻋ « déguiser » la provenance d’une tra­dition, II, 169, note, 485.
ﻥﻌﻨﻌﻣ . Tradition dont la provenance est « déguisée », II, 169, 485.
ﺐﺭﻌﻤ  ﺀﺎﻗﻨﻋ « le phénix », II, 192, note.
ﺝﻮﻌﻴ ﺝﺎﻋ . Ce verbe, construit avec ﻰﻟﺍ , signifie « se tourner vers », et, par une anomalie singulière, il porte la même signification quand il est construit avec ﻰﻟﻋ , I, 212, note.
ﻞﻮﻋ « réduction proportionnelle », Terme qui s’emploie dans le partage des suc­cessions, III, 139.
ﺖﺎﻴﺎﻌﻣ . Problèmes qui sont « difficiles » à résoudre, des « casse‑têtes », I, 251, note.
ﺶﺎﻌﻣ « Travailler pour gagner sa vie », II, 323.
ﺹﻳﻋ « prince » d’une famille royale, I, 323, note.
ﻥﻳﻣﺴﻮ ﺙﻏ « maigre et gras », c’est‑à‑dire des choses de toute espèce, bonnes et mauvaises, I, 13, note.
ﺔﻳﺒﻀﻏ « l’appétit irascible », I, 385, note.
ﺓﻼﻏ « outrés, extravagants ». Secte de Chîïtes, I, 404, 405.
ﺔﻴﺮﻴﻏ « non‑identité », littér. « autruiété ». Terme de soufisme, texte ar. III, 68, l. 5 et 6.
ﺭﻴﺒﻐﺗ  . Espèce de psalmodie, II, 419.
 ﺢﺘﻔ . Significations de ce terme chez les Soufis, III, 91, note.
 ﻕﺘﻔﻟﺍ ﻡﻠﺎﻋ « le monde de la séparation ». Terme de haut mysticisme, III, 100.
 ﺔﺴﺍﺭَﻔ « connaissances provenant du monde spirituel ». Terme de soufisme, I, 227.
 ﺭﺎﺗﺧﻣﻠﺍ ﻞﻋﺎﻔﻠﺍ « l’agent qui a le libre ar­bitre », c’est‑à‑dire « Dieu ». Terme de théologie dogmatique, I, 189, note, II, 385.
 ﻝﺼﺍﻭﻔ « séparantes ». Terme par lequel on désigne les syllabes qui terminent les versets du Coran, III, 361, note.
 ﻞﺼﻔﻨﻣ « discret ». Se dit de certaines quantités, III, 122.
 ﺭﺎﺑﺪﺍﻮ  ﻝﺎﺑﻗﺍ « mouvement de la trépi­dation » dans l’astronomie du moyen âge, III, 145, note.
 ﺭﺩﺎﻘ « ayant le pouvoir ». Terme de droit musulman, II, 110, 111.
 ﺀﺍﺭﻗﺗﺴﺍ « induction », III, 131, note.
 ﻯﺮﺎﻗ « lecteur » du Coran. Origine et si­gnification de ce mot, III, 297, 298.
 ﺭﻴﺮﻗﺗ . Le silence ou approbation tacite de Mohammed quand on lui soumettait un point de droit, III, 7.
  ﻥﻴﻌﻟﺍ ﺓّﺮﻗ « fraîcheur de l’œil », c’est‑à‑dire satisfaction, plaisir, III, 48, note.
 ﻉﺯﻗ « des flocons ». Ce mot, qui est le plu­riel de ﺔﻋﺯﻗ , est de la seconde décli­naison, II, 180, note.
 ﺐﻴﻀﻘ « la baguette », ou sceptre de Mo­hammed, II, 66.
 ﺔﻋﺎﻣﺠﻟﺍ ﻰﺿﺎﻗ « grand cadi », I, 22, note.
 ﺐﻄﻘ « axe ». Titre du personnage mystérieux à qui Dieu a confié l’inspection du monde, II, 190, note — Le chef des « connaissants », III, 104.
 ﻉﺎﻄﻗﺍ « fief, apanage », I, XV, note.
 ﻥﻮﻨﺎﻗ « tympanon ». Instrument de mu­sique, II, 412.
 ﺔﻴﻨﻗ « gain, profit », II, 322.
 ﺔﻣﺎﻴﻗ « invocation des astres », III, 195, 197.
 ﺔﺑﺎﺗﻜ « orthographe », II, 397, note, 457.
 ﺝّﺮﻜ « cheval à jupon ». Espèce de jouet, II, 421, note.
 ﺲﻮﺪﺮﻜ « bataillon », II, 77, note.
 ﺔﻣﺍﺭﻜ « prodige » opéré par un ouéli, I, 190, 227.
 ﺐﺴﻜ « acquisition ». Signification de ce terme en économie politique, I, 12 ; II, 319 ; et en théologie, III, 249, note.
 ﻒﺷﻛ « dévoilement, dégagement ». Terme de soufisme, I, 227 ; III, 90 et suiv.
ﻢﻼﻜﻠﺍ « la théologie scolastique », III, 40 et suiv., 71.
ّﻰﻟﺎﻤﻜ « parfait, le superflu », I, 254, note.
ﻥﻴﻮﻜﺗﻠﺍ ﻢﻠﺎﻋ « le monde de la création, ­c’est‑à‑dire le monde sublunaire, I, 197, note.
ﺔﺴﻳﺎﻜﻤ « ruse, tromperie ». Singulier em­ploi de ce terme, II, 113.
ﻒّﻴﻜﺗ « s’assimiler » une qualité, III, 46, note.
ﻥﻣ ﻻﻮ ….. ﻥﻣ ﻻ « non‑seulement dans ....... mais aussi dans », texte ar. I, 247, l. 15, 16, et 367, l.17 ; III, 270, l. 11 ; trad. I, 286, note ; III, 297, note.
ﺔﻣﺣﻠﻤ  , au pluriel ﻢﺣﻼﻤ , « recueil de pré­dictions », II, 191, 205 et suiv. 228.
ﻥﻴﺣﻠﺗ « air de musique », III, 426, 427.
 ﻰّﻨﺪﻠ « faveur spontanée de Dieu », I, 202, note, « connaissances déposées près de la divinité », III, 91.
 ﻡﺯﻻ « l’effet nécessaire », III, 146, 147.
 ﻢﻮﺯﻠﻤ « la cause nécessitante », III, 146, 147.
 ﻥﺎﺴﻠ . Comme ce mot signifie non‑seule­ment « langue », l’organe de la parole, mais aussi « langage », on y ajoute l’ad­jectif ﻖﻃﺎﻨ quand on veut indiquer qu’il s’agit de la première signification, III, 280, note.
 ﺔﺑﻌﻠﻣ . Espèce de poème, II, 227, note ; III, 447, 450.
 ﺔﻌﻟ « la lexicologie », III, 308, 313.
 ﺏﻘﻠ , au pluriel ﺏﺎﻗﻟﺍ « espèce, classe, chapitre, titre », II, 96, note, 351, note ; III, 397, note.
 ﻢﺎﻬﻠﺍ « instinct », texte ar. II, 331, l. 12, 15.
 ﺎﻣ . Cette particule est quelquefois explé­tive, texte ar. I, 189, l. 2, 368, l. 14, si la leçon du texte imprimé est bonne.
 ّﻰﻨﻳﺋﻤ « centenaire, composé de cent », III, 185, note.
ﻞﺎﺛﻣ  « représentation ». Terme de soufisme, III, 99, 100.
 ﺪْﺠﻤ « puissance, autorité », I, 299, note.
 ﻝﺎﺧﻴﻣ « engin, machine », II, 242, note.
 ﻥﻳﺗّﺭﻣ ﺓّﺭﻣ. Emploi de ces mots dans le but de bien assurer la transcription de certains nombres, I, 364, 443.
 ﺢﻠﻣﺍ « blanc ». Se dit de moutons, III, 319.
 ﻰﻠﻋﻻﺍ  ﺀﻼﻤﻠﺍ « la compagnie sublime », c’est‑à‑dire la hiérarchie céleste, I, 200, note.
ﻊﻨﺎﻤﺗ « empêchement mutuel ou conflit des volontés ». Un des arguments employés pour démontrer l’unité de Dieu, III, 52, 72.
ّﻯﺪﻬﻣ « étant au berceau », II, 189, note.
ﻝّﻮﻣﺗﻣ « fonds, choses ayant de la valeur », II, 320, note.
ﻞﺎﻣ « le carré de l’inconnu », en algèbre, texte ar ; III, 98, l. 2.
ﻥﻳﺪﺠﻨﻠﺍ « le bien et le mal », I, 268, note.
ﻒﻴﺯﻨ « intrus, parasite », texte ar. I, 239, l. 3 ; trad. I, 274, 277.
ﻪﻴﺯﻨﺗ « exemption ». Terme de théologie. III, 51, note.
ﻪﺨﺴﺎﻨﻣ . Certains problèmes qui se présen­tent dans le partage des successions, III, 21 et suiv.
ﻒﻄﻨﻣﻠﺍ . Le nombre entier rationnel, texte ar. III, 95, l. 18.
ﺓﺮﻅﺎﻨﻣ « l’optique », texte ar. III, 104, 1. 6.
ﻖﻃﺎﻨﻠﺍ ﻥﺎﺴﻠﻠﺍ . Voy. ﻥﺎﺴﻠ  .
ﺔﻗﻁﺎﻨﻠﺍ  ﺲﻔﻨﻟﺍ « l’âme raisonnable », I, 199, note.
ﺲﻔﻨﻟﺍ « lui-même, elle‑même, etc ». ﺖﺎﻓﺼ ﺲﻔﻨﻟﺍ « les qualités elles‑mêmes » ; texte ar. I, 170, l. 1 ; trad. III, 111, note.
ﻝﻗﻨ « transport ». Terme de philologie, III, 68, note.
ﺔﻳﻠﻗﻨ « traditionnelle », I, XXV, note.
ﺔﻴﺎﻬﻨ . Observations sur la double signifi­cation de ce mot, I, 286, note.
ﺔﻠﻮﺎﻨﻣ « recevoir » de son professeur des traditions ou autres renseignements mis par écrit, II, 466.
ﻁﻮﺑﻫ « chute, déjection ».  Terme d’astro­logie, II, 219, note.
ﺓﺪﻭﺭﻬﻣ . Espèce de robe, II, 198.
ﻝﻳﻠﻬﺘ « crier Alléluia », II, 57, note.
ﺔّﻣﻫ « prière, souhait favorable ». Terme de soufisme, III, 91, note.
ﻡﺍﺪﻨﻣ « engin, machine », II, 242, note.
ﻊﺑﺳﺍﺪﻨﻫ . Mot désignant une certaine pierre ou substance métallique, III, 179, note.
ﺔّﻴﻮﻫ « ipseïté », III, 95, note.
ﺪﺠﻮ , au pluriel ﺩﺠﺍﻮﻣ , « extase ». Terme de soufisme, III, 86, note.
ﺪﻮﺠﻮ « existence ».Terme de métaphysique, II, 414, note.
ﺔﻴﻨﺍﺩﺠﻮ . Ce qui s’aperçoit au moyen des sens intérieurs, III, 93, note.
ﺓﺪﺤﻮ . Terme de soufisme, III, 99, note.
ﺔﻗﺎﻃﻣ ﺓﺪﺣﻮ « unité absolue », c’est‑à‑dire l’identité de Dieu avec le monde ; doc­trine des panthéistes, III, 100.
ﺔﻳﻨﺍﺪﺣﻮ « unitisme ». Terme de soufisme. III, 99, note.
ﺔﻳ ﺪﺣﺍ  « unéité ». Terme de soufisme, III, 99, note.
ﺩﻴﺣﻮﺗ . Profession de l’unité de Dieu, unification de Dieu et de l’homme, III, 87, note, 96, note.
ﺩﺣﺗﻤ « identique » avec la créature, en parlant de Dieu, III, 96.
ﺔﺷّﺣﻮﻣ . Espèce de poème, « ode », III, 422 et suiv.
ﻰﺣﻮ « révélation ». D’où dérive ce mot, I, 203.
ﺓﺪﺭﺍﻮ . Les lumières surnaturelles qui arri­vent spontanément au cœur, III, 88, note.
ﺩﻳﻔﻨﺘﻠﺍ  ﺓﺭﺍﺯﻮ « vizirat d’exécution », II, 9.
ﺽﻳﻮﻔﺗﻠﺍ  ﺓﺭﺍﺯﻮ  « vizirat de délégation », II, 9.
ﻑﺍﺻّﺗﺍ « appropriation ». Terme de mé­taphysique. III, 46, note.
ﻞﺍﺻّﺗﺍ  « contact ». Terme de métaphysique, III, 197.
ﻝﺼّﺘﻣ « joint ». Terme de mé­taphysique, III, 94. — « continu », se dit des quantités en géométrie, III, 122.
ﻊﺿﻮ « institution ». Terme de philologie, III, 313, note.
ﺔﻴﻌﺿﻮ « imposées » par l’enseignement. Se dit des connaissances traditionnelles, I, XXV, note.
ﻉﻮﺿﻮﻤ « l’objet » d’une science, I, 77, note, 88, note.
ﺪّﻠﻮﻤ « métis », III, 300, note. Les poètes musulmans de la première époque sont. ainsi désignés, 344, note, 397, note.
ّﻰﻠﻮ « favori de Dieu, saint », I, 193.
ﻝﻴﻮﻤﺘ . Donner à quelqu’un le titre de Monseigneur, I, 377, note.
ﻕﻓﻭ « espèce d’amulette, carré magique », III, 180, note, 185, note.
ﻊﻴﻗﻮﺘ « apostille » renfermant la décision d’un ministre ou d’un souverain, I, XXXIV, note.
ﺖﻴﻗﺍﻮﻤﻠﺍ ﻞﻫﺍ « faiseurs de calendriers », I, 102, note.
ﻢﻬﻮ . Chez les Soufis : « illusion », III, 97. — Chez les philosophes : « opinion », I, 199, note.
ﺔّﻳﻣﻫﻮ « la faculté de se former des opinions, la faculté estimative », I, 199, note.

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